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 [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI

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MessageSujet: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyDim 23 Juin - 17:32

"Please don't die, don't leave me!"
Choi Eun Ae - Son Jung Hwa


Comment avait-elle pu manquer de discernement, à ce point ? Pourquoi n’était-elle pas en mesure d’apprendre de ces erreurs. Eun Ae se trouvait résolument terrifiée par ce qu’elle venait de faire, tant qu’elle s’en voulait du plus profond de son cœur. Son faible cœur qui battait pour ainsi dire très peu, s’affolait, semblait lui faire perdre toutes les notions qu’elle avait pu apprendre au cours de sa transformation en tant que « level 2 ». Elle avait certes apprise à contrôler, avait même pleinement conscience de ce qu’elle faisait mais une fois de plus, elle avait été incapable de prendre soin d’elle. En effet, sa condition en tant que vampire était résolument un enfer pour elle. Depuis ce jour où elle avait manqué de perdre définitivement la vie, elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle aurait du mourir sous les crocs de ce monstre, qui lui servait de maitre et qui l’avait laissé seule. Elle avait du affronter elle-même la cruauté de la vie de vampire, ces états de folies, cette totale incapacité de se contrôler, de ne point arracher la vie à une pauvre âme à la dérive. Combien en avait-elle tué au cours de sa vie lors de cette période ? Son esprit était incapable d’y songer, s’y refusant corps et âme et pourtant même maintenant, trois ans après, elle commettait toujours cette même erreur. Pourquoi était-elle si idiote ? Incapable de canaliser ses larmes de se fondre sur sa joue, elle courrait actuellement le long des rues de la ville à la recherche d’une épicerie qui pourrait lui permettre de redonner des forces à la personne à qui elle venait de faire perdre la vie.

Résolument livrée à elle-même, incapable de contacter la moindre personne qui pourrait l’égailler sans lui porter préjudice, elle s’était efforcée de trouver une solution… Elle ne pouvait pas le perdre, non surtout pas lui ! Le cœur comprimé dans sa poitrine, elle entra dans la première épicerie en vue, achetant de grandes quantités de viandes, des produits laitiers, des Betteraves, des feuilles de fenugrec, des épinards, du miel, des fruits permettant de traiter l’anémie. Tellement prise dans sa panique et son désir de venir en aide à son meilleur ami, qui avait eu le malheur de tomber au mauvais endroit, au mauvais moment, elle n’avait nullement prêté attention aux tâches de sangs qu’on pouvait voir sur sa robe, remarquant à peine le regard effaré du caissier lorsqu’elle passa en caisse lors de son paiement.

Une fois ses achats effectués à la vitesse de l’éclair, elle avait refait le chemin averse avec beaucoup plus de précipitation, son esprit étant totalement obnubilé par cette pensée qui ne la quittait plus : et si il mourrait ? Cette pensée la terrifiée totalement, lui faisant perdre le peu de couleur qu’elle pouvait espérer avoir. Ces larmes apparaissant de nouveau au niveau de ses yeux, elle s’était efforcée de les garder muettes, remontant les marches jusqu’à la porte de son loft qu’elle ouvrit précipitamment en la refermant derrière elle. Elle y retrouva le corps presque sans vie de son ami, respirant à peine tant son cœur semblait battre si faiblement. Elle n’y était pas allée de main morte et il était fort à parier qu’il serait déjà mort si son cœur n’avait pas prit conscience qu’il s’agissait de lui. Mettant ses courses sur la seule table que disposait son loft, elle avait immédiatement sorti des pommes pour les presser, lui confectionner un verre de jus de ce dernier, tandis qu’elle faisait cuire quelque chose à manger, quelque chose qui lui permettrait résolument d’augmenter la formation de l’hémoglobine et de globules rouges.

Une fois ce dernier réalisé, elle s’avança rapidement vers lui, soulevant sa tête avec délicatesse pour lui faire boire le jus, murmurant toute tremblante.

« S’il te plait Hwannie, bois-ça ! Ne meurs pas… je ne veux pas, je ne m’en remettrai pas… S’il te plait, hwannie… »

Sa voix était suppliante, secouée de larmes alors qu’elle le voyait offrir la bouche, prendre entre ses lèvres le breuvage qu’il buvait. Le sang l’importait peu à cet instant, la seule chose qu’elle désirait était qu’il respire, qu’il ne l’abandonne pas. Elle savait pas comment elle allait pouvoir faire pour le sauver mais elle n’allait pas le lâcher une seconde, quitte à le gaver pour qu’il reprenne des forces, quitte à ce qu’il la méprise par la suite. Elle ne voulait pas qu’il meurt, elle ne pouvait le supporter.

TENUE : 01.


Dernière édition par Choi Eun Ae le Sam 17 Aoû - 20:30, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyDim 23 Juin - 23:36

Jung Hwa ignorait dans quel lieu il séjournait en cet instant, son esprit et son corps se trouvait à des milliers de kilomètres l’un de l’autre tant il lui semblait ne plus être sur terre. La seule chose dont il se souvenait était qu’on l’avait autorisé exceptionnellement à rentrer plus tôt chez lui en ce jour. Pressé et particulièrement fiévreux, il avait voulu prendre un raccourci qu’il connaissait pour se reposer le plus rapidement possible. Sa mémoire ne pouvait nullement lui permettre de remonter plus loin, la fièvre l’empêchant tout simplement de réfléchir. Il supposait alors qu’il avait réussi rejoindre son appartement et que sa petite amie était venue prendre soin de lui, bien incapable de s’occuper de lui où de préparer quoique ce soit. Il devait simplement se trouver dans les draps de leur lit à se reposer, même s’il ne lui semblait nullement aller mieux au fur et à mesure des minutes. Le peu de force qui lui avait permis d’arriver jusqu’à son appartement semblait avoir disparu aussi rapidement. Malgré son corps musclé et puissant, habituellement résistant en raison de ces entrainements intensifs dans la base aérienne. Peut-être que son corps avait atteint le sommet de résistance et avait lâché prise ? Il n’en savait rien, la seule chose qui l’importait à cet instant était que ces maux de têtes disparaissent, comme cette sensation de mal-être et son corps qui lui paraissait si froid. Que lui arrivait-il ? Il ne le savait nullement, il souhaitait seulement retrouver sa forme habituelle. Pour lui qui n’était que très rarement malade, ces heures lui semblaient interminables alors qu’il tentait comme il le pouvait de reprendre un souffle régulier à défaut du reste. Son esprit ne lui permettait pas de penser rationnellement, ni de s’inquiéter sur le fait qu’il se trouvait réellement chez lui.

Ce fut une voix qui le fit sortir quelque peu de son monde, même si son corps refusait pour l’instant de lui permettre ne serait-ce que d’ouvrir ces yeux pour voir la personne. C’est lorsqu’il crut identifier la voix de sa meilleure amie qu’il se rendit compte qu’il se trouvait définitivement fiévreux. Le fait de la recontacter par messages ses dernières semaines l’avait définitivement perturbé pour qu’il puisse croire entendre sa voix. Sa petite amie n’avait nullement cette voix. Ainsi, il ne chercha nullement à comprendre lorsqu’il crut entendre le surnom que seul Eun Ae connaissait et prononçait. Il vint seulement obéir et ouvrit sa bouche pour recevoir ce qui semblait être du jus de pomme d’après le goût du liquide. Le jus de fruit eut le mérite de lui donner quelques forces quelques instants pour lui permettre de venir serrer dans ses bras Eun Ae, bien qu’il croyait qu’il s’agissait de sa petite amie qui prenait soin de lui en cet instant. Souriant faiblement, collant son front contre sa nuque il était venu murmurer d’une voix tout aussi faible : « Merci… merci Eun Jeung de... prendre soin… de moi… »  Il ne put nullement continuer sa phrase alors qu’il sentait les effets du jus de pomme disparaitre aussi rapidement qu’ils étaient apparus. Son corps se trouvait faible, si faible qu’il était incapable de résister plus longtemps alors qu’il se sentait déjà s’endormir à nouveau contre sa silhouette, s’accrochant à elle comme pour ne pas tomber dans un monde trop obscur.

La présence de cette silhouette le rassurait certainement alors qu’il s’accrochait à elle malgré le peu de force qu’il disposait. Son visage se trouvait tiraillé par une certaine douleur, son corps n’arrivant nullement à fonctionner normalement, réclamant un élément qui semblait peut-être impossible à trouver dans son corps. Dormir lui semblait être une activité toute aussi plaisante, se laisser emporter et oublier chacune des douleurs lancinantes de son corps si faible. A présent qu’il se trouvait si près du corps de sa petite amie, il ne voulait nullement s’éloigner d’elle, elle qui avait le mérite à ce jour de lui donner un minimum de chaleur et de bien-être ainsi calé contre son corps. A défaut d’aller mieux, le contact entre leurs deux chairs semblait tout aussi plaisant et appréciable pour le jeune homme. Dormir, il lui semblait seulement être capable de le faire en cet instant, son corps étant bien trop touché pour songer à se lever ou même ouvrir les yeux.


Tenue de Jung Hwa
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyLun 24 Juin - 21:33

Paniquée, elle ne pouvait nier l’être. Tremblante, ses mains n’avaient de cesse de bouger, possédées par un fait totalement indépendant de sa volonté. La peur de perdre son meilleur ami était si puissante qu’elle ne parvenait pas à quitter son esprit. Il avait l’air si faible actuellement, qu’il semblait être sur le point de rendre l’âme. Une idée qui la tétanisait de tout être tandis qu’elle l’intimait à boire le jus de pomme qu’elle avait pressé pour lui. Sa voix suppliante, secouée de larmes muettes qu’elle s’efforçait plus que tout de contenir, elle l’aidait à boire,  désirant plus que tout qu’il reprenne des forces. Pourquoi diable s’était-elle de nouveau oublier durant cette semaine ? Pourquoi diable n’avait-elle pas lâché son projet pour se nourrir convenable sans mettre en péril la vie d’une âme humaine, celle qui se trouvait désormais être celle de son meilleur ami. La culpabilité qui l’habitait était si profonde qu’elle ne pouvait s’empêcher d’avoir la gorge nouée, se mordant fortement les lèvres pour contenir ses pleurs qui avaient de plus en plus du mal à rester silencieux.

Ce fut donc avec surprise qu’elle sentit les bras de son ami l’enlacer faiblement, le sentant nicher sa tête au creux de sa nuque. Ce simple geste de la part de son ami vint la dérouter totalement, ses larmes s’échouant sur ses joues alors qu’elle prenait conscience que ce dernier avait assez de force pour agir ainsi. Un geste qui vint atténuer sensiblement son angoisse alors qu’elle l’enserrait à son tour, simplement heureuse qu’il ne soit pas dans un plus mauvais état qu’elle ne le pensait. Elle remarqua cependant la chaleur relativement élevée de son front alors qu’elle l’entendait remercier une personne, qu’elle supposa être sa petite amie sans pour autant en avoir la certitude. Cela faisait plus de trois ans qu’elle ne faisait plus partie de la vie de ce dernier, il n’y avait rien à ce que ce dernier ne se trouve une petite amie. Elle avait cependant beaucoup de chance de l’avoir, elle ne pouvait le nier alors qu’elle le sentait de nouveau lâcher prise, ses forces le quittant de nouveau.

Alarmée par ce changement soudain de l’état de son ami, elle vint doucement placer l’une de ses mains sur son front, remarquant la chaleur excessive de ce dernier alors qu’elle lui murmurait doucement.

« Hwannie, ne t’endors pas maintenant… s’il te plait… Il te faut absolument regagner des forces sinon tu vas t’éteindre… tu ne peux pas… tu ne dois pas ! Je t’en prie… reste conscient encore quelques minutes que tu avales quelque chose à manger, laisse moi prendre soin de toi, s’il te plait. »

Sans doute devait-elle semblée désespérée à cet instant mais elle ne pouvait nullement camouflée son émoi, sa détresse de le voir si mal. La culpabilité qu’elle ressentait au sein de son cœur était si profonde qu’elle se haïssait du plus profond de son cœur, l’intimant à boire le reste de sa boisson avant de l’abandonner quelques secondes pour faire cuisiner un repas qu’elle vint couper en fins morceaux pour le lui donner. Remarquant que ce dernier était dans un plus mauvais état, gémissant de douleur, c’est avec précipitation qu’elle vint remplir un bol d’eau fraiche pour y tremper une serviette humide. A en voir l’état actuel dans lequel se trouvait son appartement, on pouvait avoir la sensation qu’une tornade venait d’y passer, n’en prenant même pas consciente.

Arrivant rapidement au chevet de son ami, elle vint dans un premier temps lui retirer son t-shirt afin qu’il n’ait pas plus chaud. Une opération quelque peu difficile mais dans laquelle elle s’appliqua à être douce, découvrant ainsi comme auparavant le corps sportif de son ami. Un corps finement musclé comme il l’avait toujours été dès lors qu’il avait éprouvé le désir d’entrer dans l’armée de l’air. Un torse qu’on ne pouvait que trouver magnifique, d’autant plus lorsqu’on n’avait pas eu la possibilité d’en voir un durant des mois. C’est pour cette raison qu’elle se laissa quelque peu obnubilé par ce dernier, un simple instant, se réprimant immédiatement d’avoir fais cela alors qu’elle s’intimait à le dévêtir de son pantalon, frôlant par inadvertance dus à ses tremblements, le bas ventre de son ami. Rougissant malgré elle à ce fait, s’en sentant quelque peu navrée, elle vint lui retirer ce dernier, le laissant en simple boxer pour le placer sous les draps, évitant de le couvrir de la couverture, afin de conserver une température tempérée. Quand bien même ses gestes et ses idées se faisaient brouillons, elle s’évertuait à lui porter de l’aide, venant désormais poser une serviette humide pour lutter contre cette mauvaise fièvre qui avait pris possession de l’être de son meilleur ami. Elle avait tant de maux à traiter à la fois qu’elle paniquait, ne sachant pas par quoi commencer alors qu’elle ne voyait aucune amélioration dans l’état de son ami. C’est donc dans une voix ô cristalline qu’elle vint plusieurs fois prononcer son prénom, espérant qu’il ait une réaction et qu’elle puisse enfin le nourrir convenablement.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptySam 29 Juin - 19:37

A cet instant, Jung Hwa aimait particulièrement le contact avec la chair de sa petite amie ; ce contact avait le don de venir atténuer ses douleurs le temps d’un échange. Depuis l’établissement de leur couple, celle-ci avait su panser une partie de ces blessures, venant comprendre cet être qui paraissait plus froid et moins enchanté qu’auparavant depuis la disparition de sa meilleure amie.  Il n’avait jamais cru en l’amour d’une quelconque façon, c’était d’ailleurs la première fois qu’il restait autant de mois avec une demoiselle au cours de sa vie. Sa beauté et sa froideur avait sans aucun doute attiré de nombreuses jeunes filles mais, aucune n’avait réussi à supporter son caractère autant de temps, sans n’avoir à se plaindre de son caractère. Eun Jeung état bien la seule à avoir ce mérite, celui de supporter un homme peu enjoué mais pourtant fidèle envers les personnes qu’il aimait sincèrement, elle y compris. Ainsi, le jeune homme ne pouvait qu’apprécier ce contact, apaisant partiellement ces maux de têtes et cette fièvre qui l’emmenait à être si faible. Pour lui qui avait une constitution physique forte, se sentir si faible était particulièrement nouveau.  Le jus de pomme qu’il avait bu lui avait permis de lui redonner des forces quelques instants, le temps de venir remercier sa petite amie de prendre soin de lui. Seulement, la fièvre reprenant le contrôle sur son corps, sa prise s’était amoindrie sur son corps, l’emmenant à fermer les yeux et se laissant malgré lui dans ses rêveries, dans l’unique souhait de se rendormir et d’oublier toutes les douleurs qui pouvaient traverser son corps. Sa tête reposant sur la nuque de sa petite amie, il ne souhaitait nullement quitter le contact entre leurs deux chairs.

Le contact de la main de sa petite amie sur son front eut le mérite de rafraichir son front quelques instants, l’emmenant à laisser échapper un gémissement un instant. A nouveau, il crut entendre cette voix qu’il n’avait plus entendu depuis de nombreux mois. Une voix qu’il aimait ô combien, après avoir grandi pendant des années à ses côtés, dans la demeure familiale des Choi. Ainsi, même s’il savait que la fièvre avait pris part de sa conscience, il se trouvait bien heureux d’entendre sa voix, s’en enchantant, l’emmenant à sourire contre son échine. Les hallucinations, liée à sa fièvre, n’était peut-être pas si désagréable qu’il ne le pensait, si elle lui permettait d’enfin pouvoir voir au moins pendant ces instants cette personne qui  l’avait tant manqué ces derniers mois. Cette douce voix était venait lui murmurer de ne pas s’endormir, il lui fallait regagner des forces sinon il risquait de s’éteindre, des mots qu’il ne comprenait pas réellement dès lors qu’il lui suffisait de se reposer pour que sa fièvre disparaisse. Seulement, il tenta de suivre le conseil de cette voix, de rester encore conscient quelques minutes le temps que sa petite amie prenne soin de lui. Il vient alors acquiescer avec le peu de forces qu’il avait, tentant de se concentrer sur cette douce voix qui apaisait ses douleurs.

Avalant avec une certaine difficulté la boisson que lui offrait sa petite amie, il vint alors reprendre sa place d’origine, s’allongeant sur le lit sur lequel il était. Néanmoins, la douleur se fit plus présente dès que la personne s’éloigna de lui, l’emmenant à se recroqueviller sur lui-même alors qu’il sentait son corps tremblait, comme s’il était en manque de quelque chose. Serrant les dents alors face à cette douleur subite, le jeune homme vint se serrer comme il put contre la couverture, sentant cette fièvre s’accentuer à chaque instant.  Il ne sut exactement combien de temps se déroula avant qu’il ne sente à nouveau contre lui une subite fraicheur, sans aucun doute qu’elle devait être dû au soin que sa petite amie lui administrait. Laissant échapper à nouveau un gémissement de bien-être malgré lui, il ne put qu’apprécier le contact des mains fraiches sur son corps, ne se rendant pas compte qu’on venait d’enlever son tee-shirt, si ce n’était au contact de cette main qui parcourait sa peau. Se laissant alors faire, l’aidant comme il pouvait, c’est-à dire peu en vue de son état actuel, alors qu’il sentait qu’elle tentait de le déshabiller.  

Cependant, il mit un certain temps avant de revenir à lui et de comprendre qu’on l’appelait à nouveau. Même s’il n’eut nullement la force d’ouvrir les yeux, il vint au moins serrer la main qui se trouvait à ses côtés pour signaler qu’il se trouvait encore là et non endormi.  Ce serrement de main sembla apaiser sa petite amie  qui vint se relever quelques instants, l’emmenant à se redresser sur le lit. D’après les mots qu’il avait cru entendre le jeune homme allait manger quelque chose pour reprendre des forces, ne lui demandait nullement quel ingrédient ou quel repas, son odorat lui faisait défaut.  

Essayant de reprendre quelque peu ses esprits, le jeune homme vint ouvrir ses yeux, seulement la blancheur et la luminosité du lieu se faisait si forte qu’il fut obligée de laisser échapper un gémissement, l’agression se faisant particulièrement forte pour lui. Sa fièvre l’empêchant de voir clairement, il s’obligea à fermer les yeux, son état ne permettant nullement d’observer la silhouette de sa petite amie. Il n’eut que le temps d’observer un semblant de silhouette féminine alors.  Quand  celle-ci vint se rapprocher de lui, le jeune homme vint alors attendre simplement ce qui devait lui permettre de reprendre des forces et enfin pouvoir s’endormir. Il ne sut exactement combien de temps s’écoula avant que la jeune femme n’arrête de lui donner la nourriture mais, même si son estomac ne semblait pas vouloir manger, il se force à manger la nourriture qu’on lui donnait. Ainsi, à peine eut-il fini la nourriture que son estomac lui parut très lourd, sentant celui-ci combattre cette nourriture. Seulement, ayant enfin mangé la nourriture, le jeune homme vint alors pouvoir s’allonger et à peine eut-il le temps de laisser échapper un remerciement à sa compagne qu’il se laissa emporter par le sommeil, son corps et son esprit étaient trop fatigués pour qu’il résiste d’une quelconque manière à celui-ci.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyDim 30 Juin - 19:02

Quand bien même avait-elle été habituée par le passé à côtoyer le torse ô musclé, il n’en restait pas moins que ce dernier lui faisait le même effet. En effet, même si elle ne l’avait avoué à quiconque, il y avait eu une période où ce torse, cet homme qui le possédait avait occupé ses pensées d’une manière qu’il n’aurait jamais du le faire. Frère de cœur ainsi que meilleur ami, il était cette personne chère à son cœur avec qui elle avait passé les trois quarts de son existence et dont le lien se trouvait si profond, qu’elle avait toujours pensé qu’il était et resterait à jamais innocent. Seulement, c’est bien malgré elle qu’à une période de sa vie, elle avait senti son être se tendre vers la personne de son meilleur ami, le désirant à cet âge où l’on découvre la signification du mot : désir. Elle l’avait désiré, aimait sans nul doute plus qu’elle ne l’aurait du, sans que ce dernier ne le remarque assurément. Elle s’était trouvée fébrile face à lui, à son corps lorsqu’elle l’avait vu s’offrir à sa vue, rougissant parfois alors à ses compliments. Des sentiments étranges auxquels elle avait mit fin très peu de temps après leur naissance, se persuadant elle-même de l’indifférence de son meilleur ami, qui venait pour sa part de se mettre en couple avec sa première amie. Une indifférence à laquelle elle n’était pas restée insensible, s’étant rapidement consolée grâce à la présence amicale et amusante de son second ami : Yong Sun. C’est vers lui qu’elle s’était finalement tournée, pour qui elle avait développé de profonds sentiments, s’en entichant plus que de raison. Il est donc évident que cette attirance, elle l’avait oublié au fil des années, se contentant de cette place de meilleure amie, quand bien même l’avait-elle toujours trouvé séduisant sans jamais s’en cacher.

Ainsi, elle ne pouvait nullement nier que le corps presque nu de son ami, la rendait fébrile à l’heure actuelle, réveillant cette attirance qu’elle avait longtemps mis de côté par respect pour l’homme qu’elle avait aimé et qu’il l’avait abandonné. Jung Hwa était la seule personne qu’il lui restait à ce jour, le seul qui ne l’avait pas oublié, le seul qui désirait plus que tout ne pas rompre ce lien si précieux qu’ils avaient toujours eu, le seul qui lui donnait des chances d’espérer ce qu’elle avait failli abandonner. Elle ne pouvait donc pas mettre de côté tout ce bonheur qu’il avait su faire renaitre au fond de son âme au travers de ses différents SMS qu’ils avaient échangés au cours des derniers mois. Durant près de trois ans, il lui avait envoyé des SMS chaque semaine, espérant une réponse de sa part, s’inquiétant de sa santé, de sa vie, lui demandant de lui répondre car trop inquiet pour elle. Tous ses mots étaient venus emplir son cœur d’une félicité sans nom, avait su faire revivre son cœur de joie au fond de sa poitrine. Indirectement, elle se sentait heureuse de l’avoir à ses côtés, être en mesure de l’observer comme à cette douce époque où il avait fait parti de son quotidien.

Seulement, cette émotion positive était neutralisée par l’inquiétude intense qu’elle possédait au sujet de la santé de son ami. Elle le savait faible, malade, par sa faute et cette culpabilité la rendait plus fébrile que jamais. Elle refusait catégoriquement qu’il ne s’éteigne, surement pas devant ses yeux, elle se le pardonnerait jamais. C’est pour cette raison qu’elle ne pouvait s’empêcher de l’implorer de rester éveillé, de ne point succomber au sommeil sans avoir avalé quoique ce soit, s’inquiétant de ne point réagir. Une inquiétude à laquelle le jeune homme vint mettre terme en venant serrer sa menotte de sa main, lui prouvant qu’il était bien conscient mais incapable de faire quoique ce soit de son corps. Rassuré de ce fait, elle s’était donc éloignée de lui pour lui verser un bol de viande qu’elle venait de faire cuire avec des légumes qui lui apporteraient sans doute assez d’éléments pour augmenter la création de globules rouges dans son sac. C’était résolument l’une de ses premières occupations à l’heure actuelle alors qu’elle s’efforçait de le faire mangé à petites portions, remarquant avec quelle force ce dernier venait lutter contre la fatigue de son corps, qui exténué semblait lui réclamer un semblant de salut. Ce qu’elle lui accorda lorsqu’il vint finir la portion qu’elle lui avait versée, le voyant reprendre un peu faiblement de couleurs avant qu’il ne s’endorme enfin. Souriant faiblement, résolument désolée à son remerciement, elle était venue lui caresser doucement la joue alors qu’elle veillait déjà à changer sa serviette pour l’humidifier de nouveau.

La nuit allait sans doute être longue mais elle se sentait prête à le veiller avec attention tant elle désirait plus que tout qu’il se porte mieux. Veillant donc bien soigneusement à garder son état stable, elle vint chercher au fond de sa pharmacie des médicaments qu’elle prenait lorsqu’elle était fiévreuse au cas où il venait à avoir une poussée de fièvre. Ce qui ne manqua nullement de se produire une heure plus tard lorsqu’elle vint entendre un léger gémissement plaintif de la part du jeune homme. C’est donc tout naturellement qu’elle était venue se placer à ses côtés, soulevant sa tête pour l’intimer doucement d’avaler le comprimé dans une voix qui se trouvait particulièrement douce, plus apaisée qu’auparavant, le contre coup devant sans doute pesé dans ce changement si brutal dans sa façon d’être. Ce dernier n’opposa aucune défense à sa requête, avalant ce médicament alors qu’elle lui fit boire doucement de l’eau à petite gorgée, sa main libre maintenant sa tête avant de le laisser s’endormir de nouveau, toujours aussi fiévreux. C’est donc tout en délicatesse qu’elle vint essuyer les marques de sueur du corps de son ami, se sentant plus fébrile que jamais tant elle n’avait jamais eu l’occasion de le découvrir de cette façon. Sentir la pulpe de ses phalanges frôler sa chair si parfaite, même au travers du tissu de cette serviette, l’hypnotisait malgré elle, sentant son cœur battre plus qu’il ne le devrait. Elle se mordit faiblement les lèvres à cause de toute l’émotion qui la traversait alors qu’elle venait tendrement embrasser sa joue en lui promettant de prendre soin de lui, qu’il lui fasse confiance. Elle voulait l’aider à aller mieux et c’est donc avec amour qu’elle vint lui apporter le moindre secours au moindre fait inquiétant, jusqu’à que sa température ne redevienne stable en début de matinée.

Résolument rassurée, le voyant sagement se reposer sans qu’aucune rechute ne se reproduise, elle vint s’accorder un petit instant pour prendre une douche, changer de vêtements dont le sang était encore présent sur le tissu. Elle en profita également pour faire tourner une machine, y mettant également ceux de son ami afin que toutes traces de son agression de sa part soient effacées, dans une certaine mesure. C’est donc fraichement lavée, les cheveux humides, revêtue d’une robe saumon qu’elle vint de nouveau dans la pièce principale, trouvant son ami toujours paisiblement endormi pour lui concocter un petit déjeuner afin de lui redonner d’autant plus de force après une telle épreuve qu’il venait de surmonter. C’est donc en voulant prendre la tasse qu’elle avait placée au dessus de sa tête de lit, qu’elle vint se placer au dessus de son ami, remarquant enfin qu’il semblait s’éveiller. Relâchant la tasse pour la reposer de nouveau, c’est avec douceur qu’elle le regarda alors qu’une de ses mains vint caresser sa joue, venant lui baiser le front alors qu’elle murmurait faiblement :

« Je suis si rassurée que tu ailles mieux, Hwannie… j’ai eu peur… si peur… si tu savais… »

Son regard pétillait d’un bonheur quelque peu étrange alors qu’elle caressait doucement ses traits comme l’aurait fait une amante, étant bien trop effrayée de perdre son âme sœur, ce qu’il n’était pas bien entendu mais il était si important, si précieux pour elle, qu’elle n’avait pu masquer son émotion, le dévorant tout simplement de son regard avec tendresse.

Tenue : 01.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 4 Juil - 17:58

Faible, le jeune homme n’avait jamais eu la sensation de l’avoir été autant au cours de sa vie comparé à son état actuel.  Ces forces semblaient s’être envolées sans qu’ils ne puissent lutter d’une quelconque manière. Heureusement pour lui, une personne prenait soin de lui à tout instant, ceci il en avait parfaitement conscience alors que tel une poupée il se laissait faire, avalant tout ce que l’on lui donnait, sans rechigner d’une quelconque façon sur certains aliments. Son corps devait prendre des forces et il se forçait à chaque fois, quitte à faire souffrir son estomac qui ne souhaitait pas ingurgiter tant de quantités de nourriture en vue de sa situation physique. Ainsi, il n’obéissait qu’à cette personne, buvant l’eau qu’elle pouvait lui donner, mangeant chacune des portions de nourriture, avalant chaque médicament qu’on lui adressait. Il ne sut combien de fois cette personne vint l’aider au cours des dernières heures, tant son sommeil se trouvait toujours perturbé par ses poussées de fièvres qui l’emmenait à gémir, malgré sa résistance naturelle à toute maladie. Néanmoins, le jeune homme vint remarquer dans son sommeil que son état s’améliorer, se sentant plus léger, n’ayant plus à trembler d’une quelconque manière, sentant son corps et son esprit pouvoir enfin se reposer réellement. Une certaine fraicheur vint se faire ressentir à un moment donné, le faisant gémir de bien-être malgré lui, son corps reprenait peu à peu une température normale, lui permettant de se sentir mieux et d’enfin pouvoir disposer d’un sommeil réparateur.

Fatigué, il se laissa alors porter dans ses doux rêves, où sa meilleure amie alors disparue ne cessait d’apparaitre. Il la voyait près de lui, souriant et heureuse, habillé exactement comme lorsqu’il l’avait vu pour la dernière fois. Son cœur à ces côtés battait à un rythme effréné, ayant l’impression de n’avoir jamais été aussi heureux qu’à cet instant, son cœur ayant enfin retrouvé la personne qu’il lui avait tant manqué ces dernières années. Retrouver sa meilleure amie et la voir heureuse était sans aucun doute son plus beau rêve, tout particulièrement depuis qu’il avait eu enfin des nouvelles d’elle et qu’ils communiquaient par messages. Echanger seulement des messages avec la demoiselle ne satisfaisait nullement le jeune homme qui désirait tant la revoir et profiter de sa présence, lire dans ses yeux une joie certaine et admirer son si beau sourire. Il ne souhaitait que voir sa meilleure amie heureuse, rien de plus, après avoir tant souffert ces dernières années dans ce monde de solitude.

Il ne sut combien de temps exactement il rêva d’Eun Ae ainsi, avant de venir sentir le sommeil le quitter. La plupart de ces membres encore endormis, il mit un certain temps avant de reprendre conscience et d’ouvrir les yeux pour reprendre pleinement conscience. Il dut à plusieurs reprises les rouvrir avant que sa vue ne redevienne normale. Il fut quelque peu surpris de voir dans son champ de vision une poitrine féminine, différente de celle sa petite amie de ce qu’il pouvait voir, une poitrine ô plaisante de son point de vue d’homme. L’observant avec plus que nécessité sans s’en rendre compte, il eut la surprise de voir le visage d’une personne qu’il pensait jusqu’à ce jour ne jamais voir. Etait-il en train rêver ou Eun Ae se trouvait à ses côtés venant caresser sa joue, embrassant son front. Sans aucun doute qu’il devait avoir un regard ahuri en cet instant alors qu’il l’entendait murmurait qu’elle se trouvait si rassurée du fait qu’il allait mieux, la demoiselle avait eu si peur. Son esprit bien inquiet de son état de santé. Il ne savait nullement s’il était encore en train de rêver mais la seule chose qui l’importait en cet instant était de dévorer du regard la demoiselle devant elle, qui semblait aussi belle que la dernière fois où il avait vu, le jour de sa disparition. Jung Hwa ne put alors que sourire comme un bienheureux aux caresses sur ses traits, faisant naitre en lui de douces sensations de bien-être. Ainsi, sans vraiment comprendre son geste, il vint avec sa main, caressait les traits du visage d’Eun Ae, comme pour se prouver qu’il ne rêvait pas et qu’elle se trouvait à ses côtés en cet instant. Ainsi, si près de lui, il ne pouvait pas s’empêcher de la dévorer du regard, la trouvant si belle et désirable. Son cœur se trouvant plus fort que la raison, le jeune homme vint rapprocher ces lèvres du visage d’Eun Ae, embrassant sa joue dans un doux baiser, souriant, fermant les yeux subitement alors qu’il venait faire rencontrer leurs lèvres dans un simple baiser. Il resta ainsi un temps long avant de s’éloigner de son visage, murmurant d’une voix enrouée et pourtant sensuelle : « Tu es aussi belle que la dernière fois que je t’ai vu Aeunie… si jolie. »

Jung Hwa vint alors caresser ses traits avec une douceur extrême, la dévorant du regard alors qu’à nouveau il venait embrasser ses lèvres dans un baiser cette fois-ci plus languissant, l’une de ces mains se plaçant alors sur les reins de la demoiselle. Sans aucun doute qu’il appréciait bien plus que nécessaire la demoiselle à ces côtés mais, il n’y pouvait rien, vraiment. Après l’avoir cherché pendant tant de mois, comment pouvait-il laisser la raison outrepasser ses envies secrètes ? Personne ne le pouvait. S’il s’agissait d’un rêve, il laisserait ses envies secrètes commander ces gestes sans n’avoir aucune honte. Appréciant sans doute le baiser plus que raison, il vint mordiller ses lèvres tendrement, ces mains continuant à caresser ses reins avec envie. Eun Ae se trouvait si belle ainsi habillé qu’il lui était bien impossible de résister d’une quelconque manière.

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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 4 Juil - 20:51

Heureuse, elle ne pouvait nullement nier l’être tant ce dernier prenait place au sein de sa poitrine comme un ras de marrée qui dévastait tout sur son passage. Elle se sentait si rassurée de le voir reprendre des couleurs, être en mesure d’ouvrir ses paupières comme il l’aurait fait en temps normal. Sans doute devait-il être encore quelque peu perdu, endormi pour prendre pleinement conscience de l’environnement dans lequel il se trouvait mais elle comptait bien lui expliquer les raisons pour lesquelles il se trouvait désormais chez elle. Elle ne pouvait nier qu’un certain stress imperceptible prenait place au sein de son être à cette pensée. Elle avait peur de sa réaction, ayant trop bien trop peur qu’elle soit similaire à celle de Yong Sun mais, elle souhaitait avoir confiance en lui, en leur amitié, à leur affection mutuelle. S’il y avait bien une personne au monde qui pouvait accepter sa nouvelle condition, c’était le jeune homme qui se trouvait sous son regard ô brillant de tendresse. Il tenait entre ses doigts, les derniers espoirs qu’elle formulait au sujet de sa précédente vie. Si il la repoussait, si il la fuyait à son tour, elle abandonnerait tout simplement sa vie, elle ne se sentait plus en mesure de passer outre une nouvelle blessure, d’autant plus causée par Jung Hwa.

C’est pour cette raison qu’elle le couvrait d’affection, ses gestes exprimant entièrement ses sentiments qu’elle avait pour lui. Sans doute ces derniers se trouvaient trop tendres, trop profonds mais elle avait eu peur de le perdre, de lui avoir arraché la vie alors qu’il se trouvait être la dernière personne qu’elle désirait blesser sur cette terre. Ce dernier semblait reprendre peu à peu ses sens, laissant son visage exprimer une certaine surprise de le voir. Elle comprenait cette dernière, se mordant doucement la lèvre alors qu’elle lui souriait timidement. Elle n’osait plus dire quoi que ce soit d’autre, le laissant reprendre connaissance alors que ses phalanges n’avaient de cesse de caresser les traits de son ami, se réjouissant de le voir sourire de nouveau, tel un bienheureux. Il semblait si ravi de la revoir, se trouvait si magnifique qu’elle ne pu s’empêcher de le contempler avec douceur, ne remarquant que très peu que l’intensité du regard de son ami qui la scrutait avec tendresse.

C’est à cet instant qu’il vint glisser l’une de ses mains sur les traits de son visage, le caressant. Un geste qui la rendait fébrile par l’émotion que ce dernier provoquait au sein de sa poitrine. Cela faisait tant d’années qu’elle n’avait plus reçu un tel sourire, une telle caresse, qu’elle sentit ses yeux se gorgeaient de légères larmes d’émotions, se sentant si tendrement nerveuse face à cet ami qui venait de lui baiser la joue avec affection comme on embrasse une personne qui nous avait tant manqué. Un geste si naturel et si précieux, qu’elle était intimement persuadée de ne point pouvoir l’oublier, y reposant tous ses maigres espoirs de bonheur avant qu’elle ne sente les lèvres de son ami se poser sur les siennes. Un acte qu’il la surprit énormément mais dont elle ne se plaignit nullement, sentant ses paupières se fermaient pour profiter de cette douce étreinte qu’il offrait au travers de ce baiser. Son cœur semblait approuver tous ces gestes alors qu’elle continuait de caresser sa joue, ne pouvant que se retrouver désemparée par les paroles de ce si cher ami qui la complimentait sur sa beauté, lui murmurant qu’elle était aussi belle que la dernière fois où il l’avait vu.

Perdue, son cœur bien trop agité par les mots si tendres de son ami, c’est avec fébrilité qu’elle vint de nouveau accepter ses lèvres contre les siennes. Des lèvres qui se trouvaient beaucoup moins innocentes qui venaient embrasser ses lèvres avec passion et désir. Un baiser auquel elle s’ouvrit malgré elle, appréciant l’ardeur et la douceur de ses lèvres contre les siennes tandis qu’elle se sentait doucement frémir sous les caresses de ses mains qui étaient venues se choir contre ses reins. Sans doute était-ce mal de sa part d’apprécier un tel geste de la part de son meilleur ami mais son cœur semblait battre plus promptement qu’à ses habitudes dans sa poitrine. Elle ne savait pas si son ami avait pleinement prit conscience qu’il s’agissait vraiment d’elle et non d’un songe mais elle ne se posa pas d’autres questions, savourant ce baiser qui la rendait faible face à ses anciens désirs, ceux qui étaient revenus au fil des dernières heures.

C’est pour cette raison que ses doigts vinrent se mouvoir sur la nuque de son ami pour renforcer ce baiser, y répondant sans songer à rien d’autre. Ces lèvres venant embrasser à son tour celles qui s’étaient amusées à mordiller les siennes, elle vint délicatement les voler à son tour, laissant sa langue frôler la chair si douce de ces dernières avant de s’immiscer à l’intérieur, venant rencontrer celle de son ami dans un ballet quelque peu envoutant où elle l’embrassait avec fougue. Son autre main vint se choir contre la clavicule de son ami, ces phalanges la caressant avec fébrilité alors qu’elle se laissait aller entièrement contre son échine, son corps épousant celui de son ami qui venait doucement remonter sa robe dans des caresses beaucoup bien moins innocentes, qui la faisaient frissonner doucement alors qu’elle venait faire de même sur son torse, ne quittant résolument pas ses lèvres qu’elle n’avait de cesse d’embrasser.

Sans doute étaient-ils fous tous les deux de se laisser aller de cette façon mais elle se sentait nullement la force de résister face à cette pulsion qu’elle ressentait. Elle ne voyait aucune objection à ses caresses, à ses baisers, elle se sentait prête à s’offrir à lui tant que lui, le désirait. Elle n’avait point peur de ce qu’il pourrait s’en suivre après tout cela, jamais son affection, ni son amour pour son ami serait remis en question pour elle. Etait-ce cela la vraie amitié, celle d’avoir tellement confiance envers une personne chère que rien ne pourrait détruire cette dernière ? Elle le croyait sincèrement, ne cherchant nullement à se raisonner en ce qui concernait ces sentiments qui l’étreignaient à cet instant.
 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptySam 6 Juil - 13:35

Le jeune homme ne pouvait pas cesser de dévorer du regard la demoiselle à ces côtés, la trouvant ô combien ravissante et belle ainsi vêtu. Il avait eu de nombreuses fois l’occasion d’admirer le corps de sa meilleure amie au cours de son existence, ayant vécu de nombreuses années chez elle, le temps de réussir à pouvoir permettre à sa mère de vivre convenablement dans un logement. Certes le logement qu’il lui avait permis d’avoir n’était pas très grand ou chic, mais elle pouvait vivre indépendamment de toute personne, pour elle qui n’avait depuis la mort de son père, jamais eu assez d’argent pu se payer un logement convenable. Ainsi, il l’avait pu la voir grandir, devenir une ravissante jeune femme au moment de leur adolescence. Il aurait été un mensonge de dire qu’il ne l’avait jamais désiré, ni trouvé particulièrement belle au fur et à mesure des années, ne le voyant plus comme une simple enfant. Au moment où il expérimentait ces premières histoires de pseudos amours et d’expériences sexuelles, il n’avait pu que l’admirer silencieusement. Cet attirance se trouvait bien interdite à ces yeux, tant vis-à-vis de son meilleur ami qui en était fou amoureux, vivant une belle histoire d’amour avec elle, que vis-à-vis du lien pur qu’ils entretenaient depuis leur plus jeune enfance, se considérant comme frères et sœurs, ayant grandi dans le même endroit et dans le même logement. Ainsi, il avait préféré de son côté nier cette attirance et continuer de vivre sa vie simplement, enchainant des histoires plus ou moins sérieuses jusqu’à qu’ils ne rencontrent Eun Jeung qui avait réussi à capturer son cœur. S’il était réellement sincère avec lui-même, sans aucun doute que le jeune homme saurait que cette obsession qu’il avait pour sa meilleure amie n’était nullement saine. Etait-ce normal que même après trois années de disparition de lui envoyer tant de messages. Il lui avait envoyé pendant trois années chaque année des messages empli d’amour et de désespoir, celui de la revoir un jour. Peut-être devenait-il fou ? Il n’en savait rien, seulement que s’il n’y avait pas eu ce jour béni passé où elle était venue répondre à son message, celui-ci aurait été capable de lui envoyer pendant des années encore ces messages, tel un amant désespéré.

Alors à présent qu’il avait la chance de la retrouver ou peut-être est-ce un rêve un peu trop réaliste, le jeune homme n’allait nullement la lâcher en ce jour. S’il s’agissait d’un de ses fantasmes, suite à sa fièvre, il ne s’en passerait nullement, se contentant de venir répondre à ces désirs secrets. Son cœur guidant son corps, il était venu embrasser la demoiselle avec ferveur, ces mains caressaient les traits de son visage jusqu’à s’égarer sur ces reins. Les baisers qu’ils échangeaient n’étaient nullement innocents, ils se laissaient aller, tout particulièrement alors qu’Eun Ae, ou bien serait-ce une personne inventée par sa folie, à ses côtés ne semblait pas réticente à ces actions. Chaque baiser déposé sur ces lèvres se trouvait réciproque dans la mesure où Eun Ae mêlait autant de fougue que lui dans les baisers. Les doigts qui s’étaient posés sur sa nuque n’était nullement sage et souhaitait approfondir le moindre de leur contact, approfondir ces baisers qui venaient faire naitre en lui désir interdit pour sa meilleure amie. Ainsi, ces mains s’étaient dirigées sur ces cuisses avec agilité, caressant ces fines jambes avec délice alors qu’il venait remonter sa robe doucement, frôlant ces fesses et ces reins avec une envie certaine. Son geste ne sembla pas déplaire à la demoiselle qui venait caresser son torse dans des caresses qui lui paraissait ô sensuelle alors qu’il sentait son corps se réchauffait peu à peu, appréciant la moindre de ces caresses.

Peu importe qu’il s’agissait d’un rêve, le jeune homme laisserait son cœur et son désir répondre à ces doux fantasmes. Se plaisant certainement, ces mains venaient s’égarer sur son corps avec délice et tendresse. Son corps, comme son esprit, se trouvait en situation de manque de la demoiselle, bien trop pour qu’il vienne arrêter le moindre de ces gestes. Peut-être ressemblaient-ils à ces drogués qui n’avaient pas reçu leur dose depuis tants d’heures, tant de mois. Sa petite amie, il n’y pensait tout simplement plus, ni à sa droiture habituelle. La seule chose dont il se rendait compte était qu’il n’avait jamais senti son cœur, ni son corps se sentir si bien depuis des années. Le jeune homme venait embrasser avec envie la demoiselle. Il vint alors interrompre leurs baisers, le souffle quelque peu coupé, un regard empli de passion, d’amour, d’envie pour la demoiselle. Son corps se trouvait totalement faible face à elle, il ne la quitta pas une seule seconde du regard alors que ces mains continuaient à caresser la moindre de ses formes.

Souriant comme un bienheureux, il vint alors baisser son visage pour venir embrasser sa nuque avec autant de passion et d’envie. Il trouvait la demoiselle si belle et ravissante dans cette robe. Baissant alors l’une des bretelles de la robe et du soutien-gorge d’Eun Ae, venant embrasser avec plus de ferveur sa nuque et chaque centimètre de peau découverte. Le jeune homme ne cachait nullement ces intentions futures alors qu’il continuant à caresser ces cuisses avec envie, laissant échapper quelques mots perdu dans son rêve, embrassant sa nuque encore : « Tu es… si belle… si parfaite… tu m’as tant manqué … tellement… je …ne t’ai … jamais… jamais… oublié. » A la fin de ces mots, il ne se rendit nullement compte qu’une larme s’était écoulé de son œil gauche, son esprit bien trop passionné et heureux de revoir enfin à ses côtés cette jeune femme qui l’avait tant manqué. Souriant alors, à l’aide d’une de ces mains, il venait caresser ces reins, rapprochant leurs corps le plus proche possible alors qu’elle devait se rendre compte que son corps se trouvait ô déjà chaud, son corps réclamant le sien dans d’admirables étreintes, souhaitant profiter de ces instants jusqu’au bout, se croyant dans un rêve fou et impossible. Combien de fois avait-il rêvé d’elle depuis sa disparition ? Il ne le savait pas mais à chaque fois il s’était senti heureux et à la fois déçu de se réveiller loin d’elle.

Continuant de sourire comme il ne l’avait plus fait depuis tant de mois, le jeune homme vint caresser son dos, frôlant volontairement les bretelles de son soutien gorge, ayant une envie certaine de venir caresser cette poitrine, l’embrasser et lire dans les yeux de sa meilleure amie. C’était sans doute ces pensées qui l’avait emmené à remonter cette robe jusqu’au bas de sa poitrine, lui laissant la libre vue du bas de son corps, un corps ô désirable et si splendide. Il ne fallut que quelques instants avant que la demoiselle ne vienne l’aider à l’enlever, déjà se trouvait-il en train de la dévorer du regard, uniquement vêtu de ces sous-vêtements, la trouvant si magnifique.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptySam 6 Juil - 18:05

Fébrile, elle ne pouvait nullement nier l’être sous les baisers et caresses de son ami. Quand bien même avait-elle conscience qu’il s’agissait d’un acte qui n’avait point sa place au sein de leur relation, Eun Ae n’arrivait point à se dégager de ces étreintes, qui faisait battre si vivement son cœur. Un cœur qui n’avait plus l’habitude de battre aussi promptement, l’empêchant simplement d’être cohérente dans ses pensées alors qu’elle s’offrait délicatement à son ami. Les lèvres de ce dernier envoutaient totalement son esprit, leurs caresses exaltaient tous ses sens alors qu’elle savourait leurs chaleurs contre sa chair si froide en temps normal qui semblait s’embraser peu à peu. Elle n’avait point la force de se dégager de cette douce chaleur, d’y renoncer alors qu’il lui murmurait des paroles si douces et euphorisantes pour son âme. Pourtant, elle savait son ami engagé auprès d’une autre femme qui devait sans aucun doute l’aimer plus que de raison, tel qu’il le méritait. Tout au fond de son cœur, dans cette partie qu’elle n’avait jamais laissé voir le jour, elle ne pouvait s’empêcher de jalouser cette femme. En effet, quand bien même était-elle en train de mener son ami sur le chemin de la déraison, en le laissant agir de la sorte avec elle, il y avait de fortes chances que ce dernier retourne auprès de sa promisse.

Elle n’était rien d’autre que sa meilleure amie. Une meilleure amie qui lui avait cruellement manqué et dont l’appel de la chair n’était que le résultat sadique de leurs sens pleinement en éveil, du à ces retrouvailles. Leurs caresses et leurs baisers n’étaient que la conséquence de cette réalité, cette affection qu’ils n’avaient pu se témoigner au cours de ses dernières années. Leurs cœurs battaient en rythmes, aveuglés par ce bonheur incommensurable de se retrouver auprès de la personne tant chéri, les faisant commettre une folie qui n’aurait jamais du être initié. Et pourtant, leurs lèvres se dévoraient avec douceur et passion dans des étreintes qui les rendaient fébrile plus que jamais. Son corps s’offrant à ces gestes si tentateurs, elle se laissait doucement consumer pour tout cela, y répondant avec le même entrain tout en caressant le torse de son ami. Des caresses qui semblaient plaire à ce dernier dont elle sentait le torse se bomber délicatement sous la chaleur de ses doigts, faisant descendre le tissu du drap pour l’explorer plus intimement sans même pouvoir s’en empêcher. Des gestes qui ne semblaient point s’arrêter alors qu’elle se sentait frissonner de bien être sous les doigts de son ami qui remontait sa robe, cajolant la moindre parcelle de chair qui se trouvait à sa disposition.

C’est donc le cœur au bord des lèvres, le souffle court qu’elle le vit interrompre ce si merveilleux baiser pour la dévorer de son regard. Un regard qui exprimait pleinement l’émotion, cet amour qui le traversait. Une vision qui le fit doucement rougir malgré elle tant ce dernier se trouvait si pénétrant, tout comme ses caresses qui n’avaient cesse d’approfondir ce désir qui naissait au sein de ses reins. Le dévisageant à son tour avec la même intensité, elle ne pu que se mordre délicatement la lèvre alors qu’elle sentait les lèvres de son ami se choir sur sa nuque avec envie et passion, sentant ce dernier abaisser l’une des bretelles de sa robe pour embrasser plus intimement, sa chair, la faisant délicatement frissonner. Une fébrilité qui n’avait de cesse de s’intensifier alors qu’elle l’entendait lui murmurait des paroles si délicates, qui eurent le don de l’émouvoir du plus profond de son cœur alors qu’elle murmurait faiblement avec émotion.

« Toi aussi… tu m’as manqué… énormément… cruellement… j’avais tant envie de te revoir… »

Sa voix emplie de larmes muettes due à ce trouble qu’il l’habitait, elle ne pu que se laisser guider par les mains tentatrices de son ami, l’aidant à retirer sa robe pour se retrouver en simple sous vêtement. Une situation et une position qu’elle n’avait jamais connue en la présence du jeune homme, qui n’avait de cesse de la contempler avec émoi, ne faisant qu’approfondir sa fébrilité, sa déraison. Rougissante sous le regard si admiratif du jeune homme, ses phalanges vinrent se glisser sur les traits de son visage, le fixant avec cette même intensité, alors qu’elle lui souriait tendrement à son tour. Elle se trouvait si heureuse à cet instant, si vivante même, un peu comme à cette douce époque où elle se trouvait être une humaine. Se laissant alors dévorer par cette tendresse qui l’ébranlait, elle vint à son tour murmurer dans une douce voix.

« Tu es si beau… bien plus beau que par le passé… je suis tellement comblée de te revoir… si tu savais… j’en avais tant envie… »

Submergée par l’émotion qui l’étreignait c’est avec douceur qu’elle vint de nouveau de nouveau l’embrasser avec douceur, laissant sa poitrine presque nue se mouvoir contre le torse de son ami, glissant sa main contre sa nuque. Ses lèvres se perdant sur ses prisonnières, elle se sentit délicatement gémir faiblement sous les caresses de son ami alors qu’elle venait faire de même avec son torse, laissant sa chair découvrir ce corps si athlétique. La gêne toujours présente mais moindre comparé à son désir, qui n’avait de cesse de s’accroitre, elle vint l’embrasser de nouveau, murmurant tout contre ses lèvres :

« Hwannie… j’ai tant besoin de toi… tu es… le seul qu’il me reste… je t’en prie, ne me repousse pas désormais… tu es le seul à pouvoir me rendre heureuse désormais. »

Le fixant plus fébrilement que jamais, elle sentit quelque larmes s’abattre sur sa  joue délicatement alors qu’elle venait nicher son visage contre sa nuque, quelque peu honteuse de se laisser aller de la sorte. Mais ce qu’elle disait se trouvait vrai. Ce bonheur, désormais qu’elle le vivait, elle ne désirait plus le voir le quitter, elle avait besoin de ce dernier, de la douceur de ses bras comme de leur présence, qui exaltait ses sens. Ses lèvres vinrent alors de nouveau baiser tendre sa nuque dans des légères étreintes, murmurant faiblement son prénom alors qu’elle continuait ses caresses sur sa chair, glissant ses phalanges au niveau de ces abdominaux, appréciant leur fermeté, leur robustesse. C’est dans de légers baisers que ses lèvres vinrent se choir sur la clavicule du jeune homme très tendrement, s’enivrant de son parfum alors qu’elle venait délicatement se coller à lui, comme si elle tentait de faire qu’un avec lui. Elle devenait folle sans aucun doute mais elle ne pouvait plus reculer. Jung Hwa était désormais son unique solution pour sortir de cette tourmente qu’elle vivait depuis près de trois, si seulement, il pouvait attendre son appel au secours, accepter de rester à ses côtés. Mais n’était-ce pas simplement égoïste de sa part ? Elle en convenait mais elle croyait fort en lui, en cet amour qu’il y avait entre leurs deux âmes. Jamais il ne lui avait tourné le dos, jamais il n’avait refusé ce qu’elle lui demandait, allait-est-ce la première fois qu’il le ferait ? Elle n’osait pas y réfléchir, son cœur se comprimant, attendant une réaction, un geste de sa part qui pourrait lui prouver le contraire, la laissant alors simplement profiter de cette étreinte avec fébrilité…
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 11 Juil - 14:40

Sa conscience se rendait bien compte en cet instant que les actes qu’ils effectuaient ne se trouvaient nullement sains. Jung Hwa depuis plusieurs mois vivait avec Eun Jung, une petite amie qui l’aimait profondément, tout comme lui croyait l’aimer et lui porter une affection profonde. Cela n’était nullement un mensonge mais s’il se trouvait réellement sincère avec lui-même, il saurait que les sentiments qu’il éprouvait pour Eun Ae se trouvaient bien plus fort. Serait-il capable d’envoyer pendant des années durant des messages à Eun Jung si elle venait à disparaitre dans les mêmes conditions qu’Eun Ae ? Sincèrement, il ne pensait pas en être capable tant les sentiments qu’il éprouvait lui semblait faible en comparaison à Eun Ae. Son esprit se rendait bien compte de tout cela mais en cet instant il n’en tenait plus cas, totalement épris par les sensations et sentiments qu’éprouvaient son corps et son cœur. Seules ses lèvres et ce corps l’importait, bien trop fébrile de sentir entre ces bras ce corps et cette personne qui lui avait tant manqué. Il lui transmettait au travers de ces baisers l’affection et l’amour qu’il n’avait pas pu lui porter pendant tous ces mois, ces messages étant bien trop insuffisant en transmission d’amour selon lui.

Son corps ne pouvait alors qu’apprécier les caresses de la demoiselle sur son torse, à présent libre du drap qui cachait son torse qu’il savait ô séduisant. Ces mains se trouvaient pour sa part sur les formes de la demoiselle à présent, elle qui se trouvait plus si ravissante et désirable en cet instant. Son regard était concentré sur elle, la dévorant littéralement du regard alors qu’il ne cessait de la caresser.  Déposant des baisers sur sa nuque avec passion, il l’avait senti frissonner à son plus grand plaisir alors qu’elle venait répondre à ces mots, lui murmurant que lui aussi l’avait manqué, énormément, cruellement, elle avait tant envie de le revoir. Des mots qui le firent sourire doucement alors qu’il déposait à nouveau un baiser, l’emmenant alors lui retirer cette robe qui cachait ses formes. Ainsi, le jeune homme arrête ces baisers pour venir l’admirer, lui lançant un regard ô conquis et conquérant tant la vision qu’il avait sous les yeux lui paraissait parfaite.  Les rougeurs sur ses joues ne la rendaient que plus belle, tant il n’avait pas l’habitude de la voir rougir lorsqu’ils se trouvaient ensemble dans ces souvenirs et encore moins sous ce regard rempli d’envie pour elle. Il ne put que sourire alors qu’elle lui disait qu(il était di beau, bien plus beau dans le passé. Elle se trouvait si comblée de le revoir, elle en avait tellement eu envie. Des mots ô enchanteurs pour sa personne qu’il  pouvait aussi lui renvoyer tant il se sentait comblé et heureux de l’avoir à ses côtés en cet instant.

Le jeune homme ne put que frémir doucement  alors qu’elle venait l’embrasser avec douceur et amour, savourant le contact de cette poitrine contre sont torse.  Une poitrine qu’il avait envie de caresser et de dévorer tant elle lui semblait parfaite, bien plus belle que celle de sa petite amie actuelle. Ses mains étaient venus se poser sur les formes ô ravissantes des hanches de la demoiselle, appréciant ô combien celle-ci alors que ces mains s’égarer à présent sur ces fesses et ces cuisses avec une envie non dissimulée. Souriant dans ce baiser, le jeune homme appréciait ô grandement les caresses qu’effectuaient la demoiselle sur son torse, s’amusant de la voir apprécier cette agréable vue. Avoir voulu suive une carrière de militaire avait des avantages et notamment au niveau de son corps qui se trouvait si bien disproportionné et bien musclé, un fait qui attirait le regard sur son corps depuis des années, subissant le regard coquin de certaines demoiselle. Bien entendu, en cet instant il ne pouvait qu’en être fier alors que la demoiselle ne cessait de caresser son corps. Eun Ae était venue alors lui murmurer qu’elle avait tant besoin de lui, il se trouvait le seul qui lui restait, le suppliait de ne plus la repousser, il était le seul à pouvoir la rendre heureuse à présent. Des mots qui ne pouvaient que l’enchanter alors qu’elle venait quitter ces lèvres pour venir embrasser sa nuque, le faisant frissonner, appréciant au même moment ces caresser sur ces abdominaux qui ravivait le feu entre ces reins.  Le jeune homme vint alors laisser échapper dans un murmure quelque peu épris par la passion : : « Je ne t’abandonnerai jamais… ô grand jamais Aeunie… ô grand jamais…  tu es bien trop importante pour qu’un jour je souhaite te repousser. Il n’y a que toi qui peut me rendre si heureux alors pour rien au monde je ne t’abandonnerai… peu importe la situation. Après troiss ans de séparation et tant de temps à t’attendre, je ne pourrais ô grand jmais t’abandonner.  » Les larmes qui s’étaient écoulées sur sa nuque n’avait pu nullement laisser insensible le jeune homme qui était venu avec plus de tendresse la demoiselle.

Appréciant toujours ces caresses, le jeune homme était venu alors caresses sa nuque, susurrant son doux nom tentant de la rassurer. Souriant alors, le jeune homme vint la soulever avec les forces qui lui restait encore, malgré cette fièvre qui l’avait possédé pendant de nombreuses heures. Venant alors la faire se renverser, celui(ci venant alors dominer, la dévorant du regard, il vint déposer de multiples baisers sur sa nuque murmurant : : « Ma Aeunie… jamais… jamais… je ne t’abandonnerai… tu comptes bien trop Aeunie pour cela. Jamais je ne te blesserai tant j’aime voir ton sourire et te voir si heureuse… tu ne crains rien…  »

Laissant parler son corps et son envie, le jeune homme était venu alors embrasser dans un doux sourire de doux baiser sur le haut de sa poitrine, appréciant le doux contact entre ses lèvres, s’amusant à la taquiner. Il vint alors embrasser ce ventre si plat qu’il trouvait absolument parfait sous ses yeux, venant caresser ces cuisses tout aussi parfait à ces yeux. Heureux le jeune homme vint alors sourire, murmurant le doux nom de sa présente amante, sachant ô combien il ne pourrait plus résister longtemps à elle.   Souriant, il vint alors remonter à sa poitrine, l’embrassant au travers de son soutien gorge. Souhaitant approfondir le contact  le jeune homme vint alors relever doucement la demoiselle, faisant rencontrer sa poitrine et son torse, à nouveau, le faisant mordre les lèvres un instant. Tel un maitre de la séduction, il lui suffit seulement de quelques instants pour venir détacher son soutien gorge, et lui enlever avec dextérité, lui lançant à présent un regard empli d’envie.  Il l’admira ainsi de nombreuses secondes, lui lançant un regard ô charmeur alors qu’il venait déjà embrasser sa poitrine avec tendresse, enfin, alors qu’il sentait la demoiselle à ces côtés non insensible à ces intentions. Coquin, il l’était sans aucun doute mais il il était bien difficile de résister au corps ô séducteur et séduisant de la demoiselle. Il vint lui lancer un regard quelque peu taquin alors qu’à l’aide d’une de ses mains il venait prendre en ses doigts la fine poitrine de la demoiselle, effectuant un toucher délicat, alors que sa bouche se trouvait déjà contre son autre sein, l’embrassant délicatement  murmurant son nom. Il appréciait ce doux contact, comme son amante qui avait déjà placé ces mains contre sa tête, contre sa nuque. Il vint alors continuer petit jeu, l’embrassant et caressant cette poitrine en même temps, ne faisant qu’accentuer son désir pur la personne de sa meilleure amie.  Il se trouvait si faible face à elle, face à ce corps si séduisant. Le jeune homme vont alors murmurer contre cette poitrine des mots ô enchanteurs pour son amant : : « Ma Aeunie… tu es si belle… si désirable  »


Dernière édition par Son Jung Hwa le Ven 12 Juil - 7:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 11 Juil - 22:50

Désormais qu’elle avait renoué le contact avec son meilleur ami, Eun Ae avait pu prendre pleinement conscience de la place qu’occupait ce dernier dans son cœur. Un être cher à qui elle tenait plus qu’à la prunelle de ses yeux, occupant à la fois ce rôle de meilleur ami et de frère. Un frère auprès duquel elle avait passé toute sa vie, chaque moment de sa vie à ses côtés. La rupture avait été cruelle, bien plus que la douleur de devenir un monstre, un vampire qui n’était nullement en mesure de se maitriser. Elle était restée cloitrée dans l’ombre durant une année, résolument incapable de chiffrer le nombre de victimes qu’elle avait pu faire dans ses instants de folie. Elle avait mis longtemps avant d’être en mesure de se contrôler, de passer comme on le disait dans le milieu, au niveau 2 de sa transformation et de pouvoir espérer de nouveau suivre un rythme normal. Elle avait alors opté pour une vie recluse, bien loin de toute agitation pour tenter de faire son deuil, le point sur sa vie. Elle savait qu’elle n’était plus la même, elle en avait très bien pris conscience. Le sourire ne lui venait plus si aisément, la joie de vivre qui la caractérisait tant dans le passé n’était plus qu’une illusion. Son cœur saignait d’être obligée de vivre loin de ceux qu’elle aimait, tourmentée à l’idée qu’il ne la repousse. Elle avait tenté une fois et cela n’avait eu pour effet que de la briser bien plus fort.

C’est pour cette raison que Jung Hwa se trouvait être son unique et dernier espoir, la seule personne en mesure de faire revivre cette fille qu’elle avait été dans le passé. Il était l’unique homme à pouvoir la faire renaitre de ses cendres, grâce à sa tendresse, son affection et son amitié, ce qu’il avait toujours su faire au cours de toute son existence. Si l’espoir était revenu au sein de son cœur, c’est bel et bien parce qu’il n’avait pas perdu espoir, s’entêtant à lui envoyer des sms pour espérer avoir une réponse de sa part. Durant trois ans, il n’avait pas cessé d’essayer, qu’importe si les chances s’étaient trouvées de plus en plus minces. Il n’avait pas abandonné et chacun de ses messages étaient emplis de cette affection qui l’ébranlait si fortement. Elle ne pouvait donc que se trouver faible face à lui, à ses caresses, ses baisers. Chaque contact entre leurs chairs, chaque baiser qu’ils partageaient, semblaient doucement la faire renaître, faisant palpiter ce cœur qu’elle pensait presque mort depuis si longtemps.

Aussi folle pouvait-elle l’être, elle ne pouvait nullement s’empêcher de céder aux avances de son cher ami, y éprouvant une certaine félicité quelque peu mêlée à la gêne de l’amener sur la mauvaise voie. Après tout, il était engagé auprès d’une autre mais cette idée n’était pas assez suffisante pour l’inciter à tout arrêter par respect. Elle ne s’en sentait pas la force tant ce dernier semblait apprécier ses caresses, tout autant qu’elle savourait les siennes. Elle se laissait donc doucement tentée par le corps si magnifique de son ami, qui résolument bien battit avait longtemps été un fantasme pour sa personne. Elle avait juste besoin qu’il ne la rassure, qu’il lui promette de ne jamais lui tourner le dos, l’abandonner à son triste sort. Sans doute était-ce égoïste mais son âme avait besoin de lui plus que tout. Une supplique à laquelle ce dernier vint tout naturellement lui répondre dans des paroles ô enchanteresse. Dans cette voix quelque peu fébrile face à la passion qui prenait peu à peu place au sein de leurs êtres, il lui susurra qu’il ne l’abandonnerait jamais, ô grand jamais. Elle était bien trop importante pour qu’un jour il ne souhaite la repousser tant elle se trouvait être la seule personne qui pouvait le rendre si heureux. Alors peu importe la situation, il ne pourrait pas la quitter.

Ces simples mots lui donnaient envie de pleurer à chaudes larmes, son cœur s’abreuvant de toute cette douceur et affection qu’elle pouvait entrevoir à travers ces derniers. Les larmes aux coins des yeux, elle s’efforçait de ne point les faire connaitre, ne pouvant alors que frémir doucement au geste de son ami qui était venu lui caresser la nuque, en murmurant son prénom. Une voix qu’elle désirait plus que tout entendre pour toujours, alors qu’elle se sentait basculait sur le drap du lit, lui offrant l’opportunité de découvrir son ami, si dominateur et magnifique. Une vision que son cœur et ses yeux ne purent que contempler de ses yeux brillants de larmes de joie alors qu’il venait embrasser sa nuque dans de multiples baisers tous aussi renversants que ses paroles. Des murmures qui la firent doucement clore ses paupières pour profiter du chaos que ce dernier provoquait en sa chair. Sentant ses lèvres se perdre sur le haut de sa poitrine, elle ne pu que se mordre délicatement la lèvre pour contenir un léger gémissement de se faire connaitre alors qu’il semblait la taquiner avec effusion. Ces mains sur ses cuisses, ses hanches, elle sentit les lèvres de son futur amant se perdre sur son ventre, qui atteint par cette chaleur se soulevait doucement comme sa poitrine, qui semblait la bruler. Elle sentait l’excitation prendre peu à peu place dans sa chair aux taquineries de son ami, qui semblait déterminé à la faire sienne ce soir.

Une idée qui ne lui déplaisait nullement, en ressentant également le désir, se plaisant à revivre au creux de ses bras. Ces lèvres, tout comme ses phalanges la rendait délicatement faible face au désir alors qu’elle pouvait sentir ses tortionnaires se perdre sur sa poitrine, la baisant à travers le tissu de son sous vêtement, qui ne faisait qu’accroitre son désir d’appartenance. L’entendre lui susurrer qu’elle était « sa » Eun Ae était résolument troublant, exaltant qu’elle ne pu que se laisse faire entre les mains de son ami, soulevant sa poitrine pour qu’il ne lui retire ce morceau de tissu, se retrouvant torse nu face à son regard désireux qui la rendait délicatement folle. Cette vision qu’il lui offrait se trouvait damnée alors qu’elle le voyait délicatement baiser sa poitrine avec tendresse, la faisant frissonner tandis qu’elle laissait échapper un léger gémissement. Cette acte se trouvait à la fois doux et cruellement envoutant, soupirant d’autant plus du contact de la main de ce dernier sur sa poitrine, intimant sa main cupide et désireuse de rejoindre la nuque de son tortionnaire, la massant avec douceur comme pour l’intimait à poursuivre. Ce qu’il ne manquait nullement de faire, la rendant plus fébrile que jamais face à ces étreintes si merveilleuses qu’il lui faisait découvrir si intensément. Elle se sentait de nouveau fondre sous la chaleur du plaisir, sa poitrine se relevant avec force face à l’afflux sanguin que ses doigts et ses lèvres provoquaient en son être, sa menotte libre s’échouant sur ses cuisses pour les caresses, remontant peu à peu sur cette partie de son anatomie, qui nullement insensible laissait pleinement entrevoir la fébrilité de son corps face à ses attaques. Un simple effleurement des phalanges du militaire contre le tissu de son boxer, la fit délicatement gémir, sentant les lèvres de ce dernier sourire contre sa poitrine, venant prendre ses lèvres son bouton de chair pour le tourmenter. Un simple geste qui l’intima à gémir le nom de son bourreau qui semblait ravi de son effet sur son être, glissant de nouveau ses doigts entre ses cuisses pour se choir sur son intimité à travers le tissu, la cajolant avec envie.

Ce bien être se trouvait si prenant, si fulgurant, qu’elle sentit ses doigts se comprimer sur sa nuque, la griffant délicatement alors que ses reins venaient se coller contre ses assaillantes, la faisant gémir de nouveau. C’était si délicieux qu’elle se sentit rougir d’autant plus à tout cela, se mordant les lèvres alors qu’elle tentait de réguler sa respiration, en vain. Il était si bon d’être caresser de la sorte, qu’elle ne pu s’empêcher de lui susurrer de continuer, son échine étant résolument bien trop cupide pour refuser ses caresses. Elle avait envie qu’il poursuive, qu’il la rende fou sous ses doigts, qu’elle revive enfin grâce à lui. Elle n’avait pas besoin de le hurlait, ses gémissements et soupirs parlaient pour elle. C’est lorsqu’elle sentit les doigts de ce dernier se glisser sous le tissu de son dernier vêtement, qu’elle cru défaillir, un gémissement plus profond s’extirpant de ces lèvres, sa main venant griffer plus intensément sa nuque, tandis qu’elle en désirait toujours plus. Au point que son corps n’avait de cesse de démontrer ce désir, le laissant tout simplement prendre le contrôle de son être, de son âme et de son cœur.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 18 Juil - 15:45

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Peu importe la morale, peu importe sa droiture, peu importe sa conscience, rien ne l’importait en cet instant si ce n’était le plaisir qu’il ressentait et l’amour qu’il voulait transmettre à la demoiselle à ces côtés.  L’amour qu’il lui portait se trouvait si fort que sa raison n’avait plus raison d’être. Sans doute que le lendemain il s’en voudrait certainement d’avoir trahi cette petite amie qui l’aimait et l’attendait sagement dans leur appartement, bien inquiète de ne pas l’avoir vu depuis plusieurs jours. Seulement, son esprit ne songeait nullement à sa petite amie, seule Eun Ae comptait, seule cette femme qu’il n’avait plus eu le chance d’avoir à ces côtés depuis tant d’années. Sans doute était-il fou mais cela l’importait peu tant le regard de ces proches ne comptaient plus. Son cœur lui intimait seulement de profiter de ces instants pour lui transmettre son affection et son amour.

Coquin, le jeune homme l’avait toujours été derrière ces airs froids, à la plus grande joie de ces différentes amantes qui n’avaient jamais eu à se plaindre du comportement de ce dernier lors d’ébats amoureux ou non. Il aurait été un mensonge de dire qu’il n’avait jamais profité de son corps plaisant à l’époque où il se trouvait encore célibataire, pour venir répondre à ces besoins d’hommes. Ainsi, pendant ces années il avait appris à savoir comment on pouvait rendre si fébrile une femme avec de simples caresses, avec de simples baisers. En cet instant, il ne pouvait s’en amuser certainement alors que chacun de ces baisers avait l’unique but de rendre folle la personne à ces côtés, rendre folle cette femme qu’il trouvait si plaisant et magnifique.  Dominateur, il aimait guider chacun de ces ébats amoureux, montrant une image bien plus séduisante à la personne à ces côtés à chaque instant. Ainsi, reprenant certainement une position de domination, le jeune homme devait donner une image de lui très agréable à la demoiselle. Il ne pouvait qu’admirer cette lueur de joie dans ces yeux, derrière ces larmes, le rendant heureux alors qu’il continuait à embrasser chaque parcelle de sa chair.

Ces lèvres étaient venues se poser sur sa poitrine à présent nue, appréciant le contact entre leurs chairs, ne cessant de venir caresser son autre sein de sa main. Un contact qui faisait doucement gémir la demoiselle à son plus grand plaisir. En tant qu’homme, il ne pouvait qu’apprécier d’embrasser cette partie de son corps qui avait le mérite de faire fantasmer la plupart des hommes.  Le jeune homme ne pouvait pas nier que la demoiselle détenait une poitrine particulièrement agréable à regarder, bien plus attirante que celle de sa petite amie à ces yeux. Ces sens se trouvaient particulièrement en éveil, appréciant chaque contact avec ce corps, sentant une partie de son propre corps se réveiller peu à peu, se sentant peu à peu étroit dans ce boxer. Le jeune homme désirait Eun Ae et ne pouvait pas le nier, tant son corps était si réactif à la moindre réaction de la demoiselle, chaque gémissement le rendant heureux. Eun Ae appréciait tout autant son traitement, elle venait poser sa main sur sa nuque, la massant, lui intimant de prolonger ce plaisir malsain.   Ces mains étaient venues se choir sur ces cuisses, les cajolant alors qu’il continuer d’embrasser sa poitrine. Voulant attiser le plaisir de la demoiselle, le jeune homme était venu caresser au travers de son boxer son intimité, souriant et capturant entre ces lèvres son bouton de chair. Le doux gémissement d’Eun Ae ne put que raviver son entrejambe, déjà bien excité par ces agissements. Caressant son intimité avec ces doigts, il ne put que sourire dans ce baiser alors qu’il sentait déjà que le tissu se trouvait légèrement humide, chacune de ces actions semblant plaire à la demoiselle qui mourrait de désir entre ces doigts et ces lèvres. La prise sur sa gorge se fit plus forte, le faisant doucement sourire, ne l’incitant alors qu’à continuer son action, quelque chose qu’il fit avec délice, caressant son entrecuisse et embrassant cette poitrine sans s’arrêter.

Le susurre de la demoiselle ne purent que ravir l’homme qu’il était, venant l’emmener à glisser ses doigts sous le boxer de la demoiselle. S’amusant de la situation, il vint alors la taquiner ainsi quelques minutes, sentant son intimité s’humidifier sous ces caresses agréable. La demoiselle laissait échapper à chaque instant plus de gémissements, plus de soupirs, continuant à réveiller son entrejambe qui était bien trop comprimé dans son boxer, qui ne demandait qu’à pouvoir être libéré. Les griffures sur sa nuque ne l’importait peu, seule le plaisir et le désir qui prenait par de son corps comptait, il rêvait tant de pouvoir lui faire l’amour en ce jour. Cédant à son doux fantasme, à ses envies les plus primaires, le jeune homme vint de sa main libre descendre peu à peu son sous vêtements, Eun Ae venant l’aider pour pouvoir enfin la voir entièrement nue. En cet instant, il ne pouvait que sentir son corps réagir plus intensément tant le corps qu’il avait devant ces yeux se trouvaient si magnifiques et si merveilleux, il la trouvait si belle en cet instant. Souriant doucement, lui offrant un visage ô conquis par sa beauté, le jeune vint remonter sur ces lèvres, les embrassant dans un baiser ô langoureux, il vient plaquer son corps encore vêtu contre elle, gémissant. Tout était si bon en cet instant. Souriant dans un baiser, il vint murmurer : « Tu es si belle ma Aeunie… l’une des plus belles femmes de ce monde… sans aucun doute… ».

Terminant ces baisers avec douceur, il vint embrasser chacune de ces formes, embrassant le creux de sa nuque descendant jusqu’à sa poitrine, à nouveau, s’y attardant, venant à présent embrasser ses jambes, ses cuisses, s’amusant à taquiner son intimité de ces doigts, la sentant s’humidifier à son plus grand plaisir. Ainsi, si belle et si désirable comment pouvait-il seulement résister à la demoiselle ?  Souriant à la demoiselle et venant lui lancer un regard ô coquin et empli de désir, il vint s’abaisser au niveau de ces jambes, embrassant ces cuisses, résolument taquin alors qu’il sentait la demoiselle ouvrir celles-ci malgré elle, son corps si dépendant de ces attentions si taquines.  Voulant s’amuser à nouveau, ces mains venaient caresser en même temps ces cuisses si fines et si désirables à ces yeux. Seulement, ne pouvant plus garder pour lui ce désir, il vint à présent déposer un simple contre son intimité, désirant la demoiselle et ne pouvant pas s’empêcher de soupire alors qu’il l’entendait gémir. Souriant avec délice, le jeune homme vint alors continuer son traitement, embrassant cette partie de ce corps avec une envie certaine, ces mains venant caresser ces cuisses. Son corps jusqu’à alors chaud à cause de la fièvre se trouvait bien plus chaud, il avait si chaud en cet instant tant son corps brûlait de désir pour la demoiselle. Il voulait tant lui faire l’amour, tant ressentir ce bien-être si profond lorsque leurs deux se rencontreraient pour ne former plus qu’un. Souriant, il vint continuer son prénom alors qu’il entendait la demoiselle gémir son prénom à chaque  baiser, ravivant le jeune homme. Son entrejambe se sentait si pressé en cet instant alors qu’il se sentait mourir de désir face à cette femme.  Venant taquiner de sa langue son intimité, il ne put que frissonner à son tour, augmentant ces caresser sur son corps.  Il lui tardait que son entrejambe pénètre ces lieux interdits pour l’être qu’il était, il souhaitant tant connaitre ce bien-être ultime, souhaitant découvrir chaque côté de cette douce amante, voulant la connaitre sur tous ces aspects.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 18 Juil - 19:27

Cela faisait bien des années que la jeune femme n’avait nullement éprouvé le plaisir de la chair. En effet, depuis ce jour où son existence avait totalement basculé, faisant d’elle un vampire qui n’avait eu de cesse que de lutter pour survivre, elle n’avait plus eu l’occasion de vivre un tel moment. Elle avait déjà eu tant de mal à accepter sa nouvelle forme, se reconstruire que se livrait à un autre être, homme avait été résolument bien impossible pour elle, ayant perdu tous ses espoirs. Une seule personne aurait pu être en mesure de la sauver de cet enfer qu’était sa nouvelle vie si elle ne l’avait pas fuit de la sorte. Elle avait résolument appréhendé ses retrouvailles avec le jeune homme, tant de fois qu’elle ne pouvait que se sentir heureuse de le voir si comblé de la revoir enfin… après tant d’années de séparation. Il lui était si rassurant de voir que les années n’avaient nullement affaibli le lien si fort qui les liaient l’un à l’autre. Les caresses, les baisers, les paroles du jeune homme, tout lui portait à croire qu’elle lui avait si cruellement manqué, tout comme il lui avait manqué.

Un manque si profond qu’elle ne pouvait que s’exalter à son contact, sous sa tendresse. Elle en avait besoin aussi égoïste que cela le puisse l’être. Ses désirs de femmes refaisaient surface, possédés son âme au point qu’elle ne pouvait aller contre ces derniers, laissant sa conscience s’accabler seule de la folie qu’ils étaient en train de commettre. Seulement, elle ne pouvait aller contre les battements de son cœur, cet organe qui semblait tant s’abreuver, revivre au contact de l’être son ami. Chaque baiser, chaque caresse de sa part contribuait à son bien être alors qu’elle se sentait revivre à ses côtés. Elle aimait résolument cette exquise sensation, qu’importe si cette dernière se trouvait répréhensible, elle exultait tous ses sens alors qu’elle ne pouvait que faiblir face aux désirs de son ami. Il semblait avoir envie d’elle, ses caresses, ses baisers sur sa poitrine certifiant cette idée alors qu’elle sentait les phalanges de cet homme marquer sa peau au fer chaud. Une impression qui la troublait et la rendait délicatement folle alors qu’elle ne pouvait contenir son émoi, cette exaltation de ses sens. Il était si envoutant d’être dévoré de la sorte qu’elle se laissait doucement aller à ses traitements, savourait ces châtiments comme de véritables bénédictions.

Elle savourait la présence de ses doigts qui s’étaient échouées sur son intimité, plus coquines que jamais. Leurs actions ne faisaient qu’approfondir son souhait de rester prisonnière de cette douce aliénation qu’elle ne manquait pas de révéler dans ses soupirs et murmures. Il lui faisait du bien, cruellement du bien au point qu’elle s’en sentait rougir, résolument fébrile et sensible à ces caresses qu’il lui offrait si passionnément. Son cœur battait promptement dans sa poitrine, du moins pour celui d’un vampire alors que son bourreau avait glissé ses doigts sous le tissu de son boxer pour la caresser plus franchement. Un contact à la fois doux et envoutant qui la fit délicatement gémir, sensible à cette caresse qui déterminée à la rendre fou, n’avait de cesse de s’intensifier contre son bouton, qui réveillé la menait peu à peu dans un monde qu’elle avait presque oublié. Elle se laissait donc consumer par ce petit monstre qui s’était éveillé en elle, savourant chaque caresse sur son intimité qui vint bientôt être libéré de sa dernière barrière de tissu lorsque son futur amant vint le faire glisser à son tour, lui retirant totalement. C’est donc dans son plus simple appareil qu’elle s’offrit au regard envieux et cupide de son ami qui la détailler avec désir. Un désir qui se remarquait aisément sous le tissu de son boxer alors qu’elle le dévorait à son tour. Il était si terriblement excitant à cet instant. Les muscles si magnifiquement dessinés de ses abdos attiraient totalement son regard, remarquant aisément la virilité de son ami qui semblait tout aussi impatiente que pouvait l’être ses reins alors qu’elle se perdait dans le baiser qu’il lui offrait. Ses lèvres retrouvant celles de son ami, elle se laissait aller à ce baiser, savourant leur saveur alors qu’elle gémissait de sentir son corps se coller au sien, ses reins se collant au sien. Le sentir si ferme contre son intimité exaltait ses sens alors qu’il en était de même pour le jeune homme qui lui susurrait qu’elle se trouvait belle, sans doute l’une des plus belles de ce monde. Des paroles qui ébranlèrent son cœur alors qu’elle se sentait rougir de nouveau, lui murmurant faiblement.

« Toi aussi Hwannie… Tu es si magnifique… je deviens folle… »

Elle se sentait doucement consumer par ce monstre de la luxure qui habitait son être alors que son ami n’avait de celle de la taquiner de ces doigts, de ses lèvres. Chaque parcelle de sa chair, se trouvait à la merci de son ami, qui résolument déterminé n’avait de cesse d’accroitre sa fébrilité. Ses phalanges n’avaient de cesse de taquiner son intimité, qui résolument exaltée montrait son émoi alors qu’il venait baiser le creux de ses cuisses. Un geste qui la fit se mordre fortement les lèvres, perturbée et excitée comme jamais, l’obligeant à ouvrir ses cuisses pour profiter plus intimement de ses traitements. Une position qui la gênait cruellement mais qu’elle était incapable de lutter contre, son corps réclamant cette pénitence comme s’il ne pouvait plus se passer d’un tel traitement. Son cœur manqua cruellement de faiblir lorsqu’elle sentit enfin les lèvres de son amant se poser sur son bouton cupide qui l’obligea à gémir. Ce contact humide et résolument intime se trouvait cruellement envoutant en vue des gémissements qu’elle pouvait entendre sortir de ses lèvres et celle de son ami. Plus aucun retour en arrière ne semblait être possible alors qu’elle serrait fortement le tissu du drap entre ses phalanges, recevant ses frissons comme de véritables courants électriques. Elle semblait perdre totalement ses esprits, susurrant son prénom dans des soupirs ô évocateurs de son désir alors qu’il la torturait de la sorte. Une torture qui ne fit que s’approfondir lorsqu’elle sentit la langue taquine de son ami venir frôler son bouton de chair, la faisant gémir férocement, le cœur au bord des lèvres. La chaleur qui résidait en son être était si forte qu’elle avait l’impression de pouvoir suffoquer à tout instant.

Une fébrilité commune qu’elle pouvait entrevoir en la personne de son amant qui n’avait de cesse de laisser son souffle brulant fouetter son intimité dans de légers gémissements, qui renforçaient son état de folie alors qu’elle venait enfin glisser ses doigts dans la chevelure de cet être qui la faisait renaitre de ses centres tel un phœnix. Le souffle court, elle l’intima d’arrêter son traitement car elle ne pouvait plus supporter cela, désirant bien plus que ses lèvres. Des paroles qui ne purent que la faire d’autant plus rougir alors qu’elle le voyait stopper ses actions, lui permettant alors de l’observer à son tour de son regard plus que troublé et désiré. Elle avait envie de lui, si cruellement qu’elle ne pu s’empêcher de se relever rapidement pour venir l’embrasser à son tour. Ses lèvres prenant à son tour possession de celle de son amant, elle vint délicatement se coller contre son être, sentant sa poitrine rencontrer la chair de ce torse si merveilleusement sculptée que ses phalanges venaient d’explorer pour se choir sur ses reins, glissant sur ses fesses. A genoux face à lui, elle se sentait de nouveau devenir une femme en pleine possession de ses charmes alors qu’elle le caressait à son tour, une de ses mains venant se choir sur son membre si excité sous sa prison. Une réalité qui l’ébranla alors qu’elle le sentait gémir sous son geste, le caressant doucement comme pour atténuer sa frustration, laissant leurs lèvres se rencontrer encore et encore.

La timidité de ses premiers gestes semblait avoir totalement disparue alors qu’elle devenait une toute autre personne par ses gestes. Son désir de femme s’éveillant au grand jour, elle sentit sa menotte s’immiscer sous le tissu du boxer de son ami pour rencontrer cette chair qui l’envoutait actuellement. Un contact qui la fit délicatement gémir à son tour alors qu’elle l’explorait du bout de ses phalanges avec douceur et fébrilité. Il était si ferme actuellement par sa faute qu’elle ne pouvait que s’en sentir émoustillée, sentant ses doigts le caresser enfin réellement en venant faire descendre le tissu de son sous vêtement, découvrant ainsi le bas de son corps nu à son tour. Un fait qui ne faisait qu’accroitre son désir alors qu’elle poursuivait ses baisers dans des soupirs, sentant sa poitrine se mouvoir contre la sienne aux mouvements de ses phalanges contre son membre qui la rendait folle, les gémissements de ce dernier intensifiant cet état de fait alors qu’elle susurrait enfin entre deux baisers.

« Hwannie… je te veux… je t’en prie… laisse moi redevenir une femme entre tes bras… »

Aveu qu’elle lui offrait sans la moindre gêne alors qu’elle opérait un énième mouvement sur son membre comme pour l’implorer qu’il la fasse sien. Elle n’en pouvait pas décidément plus, elle avait envie de revivre plus fortement contre sa chair, reconnaitre ce paradis éphémère. Un désir, qu’elle savait partagé, alors qu’elle continuait de l’embrasser, glissant une de ses mains sur sa nuque pour l’approfondir, son autre main quittant son membre pour ce choir sur ses reins comme pour l’intimer de venir à elle, tout simplement.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyMer 24 Juil - 22:53

Jung Hwa sans être particulièrement prétentieux ne s’était nullement considéré comme un piètre amant au cours de son existence, jamais, aucune d’une de ces amantes ne s’étaient plainte une seule fois de sa maladresse, comme de son impatience dans ces instants de luxure. Comme tout homme hétérosexuels, celui-ci ne pouvait ô grand jamais se lasser du corps d’une femme et encore moins celui de son amante tant elle lui paraissait incroyablement sexy et désirable. En cet instant, il ne songeait à rien si ce n’était ces formes attirantes et les moindres gémissements de sa personne à chacun de ces baisers qu’il lui offrait. Comment ne pourrait-il pas être attiré par cette femme qu’il avait des années durant trouvait particulièrement magnifique ? Son statut de presque frères et de meilleurs amis, tout comme le fait qu’elle soit la petite amie de son meilleur ami l’avait empêché d’avoir de telles pensées. Seulement à ce jour, ignorant s’il se trouvait dans un fantasme lié à sa fièvre, il se laissait guider à ces pulsions d’hommes désireux de cette chair agréable à observer, à embrasser et à caresser. Le corps nu de son amante se trouvait si sensuel devant ces yeux, l’emmenant à se sentir toujours plus serrer dans son unique vêtement. Les mots prononcés par Eun Ae ne pouvaient que le satisfaire, le trouvant tout aussi magnifique, la demoiselle se sentant devenir folle à chaque instant. Des mots qui ne pouvaient que le ravir alors qu’il se laissait aller doucement contre elle, souhaitant s’amuser contre sa chair. Ces doigts étaient venus se loger sur son intimité ; ces baisers s’égarant sur le haut de ces cuisses, un geste volontairement coquin alors qu’il laissait sa main caresser ce corps ô envoutant. Il n’avait pu qu’être ravi alors qu’il la voyait ouvrir ces jambes pour ressentir plus de sensations et recevoir plus d’amour de sa part.

Ne pouvant continuellement à la laisser ainsi, ces lèvres étaient venues enfin se poser sur son bouton de chair qui avait le don de rendre l’ensemble des femmes de ce monde. N’étant nullement timide d’une quelconque façon, il avait embrassé cette partie de son être avec délice, se ravivant de la texture de la demoiselle qui déjà venait geindre. En tant qu’homme, il ne pouvait qu’être ravi de la voir si fébrile tandis qu’elle venait gémir son doux nom avec une envie certaine, ravivant son excitation dans ce simple tissu qui avait le mérite de le faire souffrir le martyr en cet instant. Voulant accentuer le plaisir de son amante, il avait profité de l’instant pour venir caresser de sa langue son intimité. Un geste qui la fit gémir plus fort, ne pouvant qu’accentuer son désir pour elle tant ceux-ci lui paraissait ô mélodieux et source de plaisir pour l’amant qu’il était. Peu importe si en cet instant elle laisserait le plaisir l’emportait, le jeune homme ne pourrait que s’en satisfaire. Le souffle si chaud qui s’échouait sur son intimité s’en trouvait bien la preuve tant il lui semblait intérieurement lui aussi mourir de désir pour son amante qui se trouvait si charmante. Néanmoins la demoiselle ne semblait nullement continuer ainsi, atteindre ce doux paradis, ces mains se glissant dans sa chevelure, elle était venue lui intimer d’arrêter son traitement, ne pouvant en supportant plus, souhaitant bien plus que ces lèvres contre son intimité. Des mots qui ne pouvaient le ravir tant il sentait une partie de son corps bien impatiente de rencontrer sa chair. A peine avait-il eu alors terminé son action que déjà ces lèvres étaient venues rejoindre celles de son amante, venant faire rencontrer leurs deux corps à nouveau. Il ne put qu’apprécier le contact de ces mains sur ses reins glissant sur ses fesses qu’ils savaient ô musclés qui semblait plaire à la demoiselle. Il ne put cependant que gémir alors qu’il sentait cette main s’aventurait sur son membre déjà si excité et pourtant si peu caressé par la demoiselle. Son corps appréciait ce doux contact, soupirant de bien-être alors qu’elle le caressait continuellement, l’obligeant à venir embrasser ces lèvres encore et encore.

Perdu dans ce plaisir sans fin, il ne put que gémit plus fortement contre ces lèvres alors qu’il sentait ces mains venir s’immiscer sous le tissu de son boxer, un contact ô combien savoureux pour lui, pour cette chair jusqu’alors épargné ce de doux pécher qui était la luxure. Lorsque la demoiselle vint abaisser son boxer, il ne put qu’en être particulièrement ravi alors qu’il sentait son entrejambe enfin libre, rencontrant alors l’intimité de la demoiselle quelques instants. Faible, il ne put que gémir simplement au milieu de ces nombreux baisers Les derniers mots prononcés par la demoiselle ne put qu’accroitre son plaisir alors qu’elle murmurait qu’elle le voulait, qu’elle le suppliait de lui permettre de redevenir une femme entre ces bras. Des mots qui l’avaient fait gémir alors qu’elle continuait d’opérer de doux mouvement sur son membre. Délaissant alors celui-ci, elle était venue l’embrasser avec plus de ferveur, caressant sa nuque et ces reins. Ne souhaitant nullement la faire entendre plus, son corps réclamant le contact de leur chair il vint alors murmurer :« Aeunie… je te permettrai en ce soir de devenir cette femme que tu souhaites tant redevenir… je veux réaliser ton souhait en ce jour… tout comme je veux réaliser mon souhait de devenir un vrai homme à tes yeux, un tendre amant… »

Terminant ces mots dans un baiser ô langoureux, ces mains étaient venues se poser sur les cuisses ô fines de la demoiselle. Ne souhaitant nullement attendre plus, le jeune homme vint alors écarter un peu plus celles-ci, pour coller leurs corps, faisant alors rencontrer son entrejambe contre l’intimité de la demoiselle dans un simple contact. Susurrant le doux surnom de son amante, il vint embrasser ces lèvres alors qu’il vint effectuer pour la première fois une pénétration entre leurs deux chairs, le faisant gémir au fur et à mesure de son avancée dans ce corps. Soupirant son nom à nouveau, il était venu susurrer son nom, venant embrasser sa nuque avec envie, venant la mordiller, ne s’arrêtant nullement alors qu’il entendait un signal de la demoiselle pour continuer leurs ébats. Il ne fallait que peu de temps avant qu’il ne sente ces reins se mouvoir sur les siens, son corps quémandant à nouveau ces mouvements. Embrassant à nouveau sa nuque, il vint alors sortir de ce corps pour y pénétrer à nouveau, laissant un doux gémissement s’extirper de ces lèvres tant son entrejambe semblait se plaire en son sein, venant continuellement accentuer son désir pour sa personne. Le jeune homme se sentait si vivant, l’emmenant à prononcer son nom alors qu’il effectuait à nouveau un coup de rein en elle, gémissant. Ces mains ne se trouvaient nullement en reste, celles-ci caressaient ces formes, ces cuisses, ses hanches, tout ce qui lui était permis de toucher. En ce jour, il était prêt à tout pour rendre heureuse la demoiselle, le moindre gémissement qui s’extirpait de ces lèvres accentuant son désir pour sa personne. Seuls ces gémissements avaient un sens à ces yeux, plus rien ne comptait dans son monde, à part ce corps qui le rendait si désireux et si fébrile.


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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 25 Juil - 18:47

Tout contre la chair si brulante et vivante de son meilleur ami, Eun Ae avait la sensation de renaitre, de redevenir cette femme pleine de vie qu’elle avait été auparavant. Une femme en pleine possession de ses charmes, qui était restée endormie durant près de trois ans, faute de trouver une personne capable d’accepter sa nouvelle forme. Une nouvelle apparence qui l’avait plongé dans la tourmente tant elle avait cru jamais être en mesure de renouer avec ce passé. Sa famille lui manquait, ses amis également, son ex-petit ami aussi mais, celui qui lui avait le plus manqué parmi eux tous, c’était Jung Hwa, l’homme qui se trouvait en face d’elle. Un être dont la présence s’était faite énormément désirée tant il s’était toujours trouvé à ses côtés. Frère de cœur, compagnon de folie et surtout confident, elle ne se souvenait pas d’un jour où elle n’avait pas été en contact direct ou indirect avec lui. Il avait toujours été primordial à ses yeux et cette séparation de trois longues années, n’avait pu que lui faire prendre conscience ô combien il importait à ses yeux. Il était son seul espoir de redevenir celle qu’elle avait toujours été, elle avait besoin de lui, de ses baisers, de ses caresses pour avoir cette douce sensation de vivre ne serait-ce qu’un peu. Elle avait pleinement conscience qu’elle était en train de commettre une folie en cet instant avec lui, qu’une fois consumait ce feu ardent qui les animait et les menait sur cette voie ô dangereuse reprendrait aisément la flamme d’une amitié profonde. Seulement, cela ne la dérangeait pas, elle accepterait tout quoiqu’il advienne de sa part, tant qu’il ne l’abandonnait pas, qu’il ne lui brisait pas le cœur à son tour.

Il est donc évident qu’elle ne pouvait que mettre tout en œuvre pour parvenir à ses desseins. Elle avait envie de lui. Son corps, embrasait par les caresses et baisers voluptueux de son ami, n’avait de cesse de lui imploré de continuer sur cette voie qui l’animait si passionnément. Une passion commune qu’elle remarquait aisément au sein de l’être de son ami, qui résolument satisfait accepté à son tour ses attentions. Des gestes qu’elle ne pouvait nullement contenir, désirant plus que tout le rendre fébrile et fou de son corps, de ses doigts et de ses lèvres. Qu’importe si cet instant n’était qu’un doux songe, elle désirait intimement en profiter, bruler le temps d’un instant à son contact.  Elle désirait qu’il la fasse sienne, qu’il la possède enfin et la fasse vibrer comme il pouvait le faire avec ses autres amantes. Elle s’offrait à lui en cette journée par égoïsme, par nécessité. Sa chair avait besoin d’être choyée, cajolée par le corps de son ami, dont la chaleur emplissait ses sens, au point qu’elle ne rêvait plus que de cet instant où il lui céderait cet honneur de la faire sienne. Un souhait qui ne semblait nullement lui être un fardeau tant son désir se trouvait aussi puissant que le sien. Son membre si ferme au creux de ses doigts, ses gémissements qui laissaient pleinement entrevoir qu’il la voulait également, tous les éléments étaient présents pour lui donner confiance au sujet de la réciprocité de ce désir tant l’être de son ami transpirait également de ce souhait.

C’est donc dans un regard ô pétillant, du à l’excitation, l’impatience qui la possédait qu’elle l’entendit lui murmurer qu’il lui permettrait de devenir cette femme qu’elle désirait tant revenir. Il souhaitait réaliser son aspiration en ce jour tout comme il désirait le sien en devenant un vrai homme à ses yeux en tant que tendre amant. Un homme qu’il avait toujours été à ses yeux, sans limite. Elle n’en était pas tombée amoureuse par hasard, il lui avait déjà prouvé quel fabuleux homme il pouvait être. Elle avait aveuglement confiance en lui, elle aurait pu lui remettre les clés de son destin qu’elle ne s’en serait nullement inquiéter. Seulement, elle avait préféré transmettre cet amour naissant à un autre homme. Un homme tout aussi merveilleux, qui au final n’avait pu l’accepter telle qu’elle était, mais qui était parvenue à apaiser cette attirance qui avait pu éclore pour son futur amant. Un aspect de son ami qu’elle désirait découvrir à cet instant alors qu’elle le laissait de nouveau l’embrasser. Un baiser ô langoureux qui la fit délicatement frémir, sentant les phalanges impatientes de son ami se choir sur ses cuisses pour les écarter légèrement pour y glisser son membre. Un léger contact qui vint l’électrocuter alors qu’elle gémissait sa fébrilité, l’entendant murmurer son prénom dans une voix ô envoutante, venant immiscer sa virilité en son sein. Une pénétration qui la fit délicatement se cabrer par le frison qui la possédait alors qu’elle sentait les lèvres de ce dernier se mouvoir sur sa nuque l’embrassant avec envie. Une position qui l’enchanta grandement tandis qu’elle venait elle-même opérer un léger mouvement de reins. Il était si enchanteur de le sentir en lui, si excité, si demandeur de désir qu’elle ne pouvait empêcher sa cupidité de guider ses actes. Elle n’avait de cesse de se coller à lui de sentir sa poitrine si animée se mouvoir contre la sienne. La perfection de ses formes n’avaient de cesse de la titiller de plaisir alors qu’elle laissait ses phalanges se glisser sur sa chair, le caressant avec la même avidité qu’il ne le faisait avec la sienne. Des caresses et mouvements de reins qui les faisaient délicatement gémir par l’émoi qu’ils provoquaient, ne cessant inexorablement de les animer. Ces derniers n’avaient d’ailleurs de cesse de s’intensifier au fil des minutes alors que la luxure prenait pleinement part de leur corps. Elle se sentait bruler de l’intérieur, ce membre si frémissant n’avait de cesse de la tourmenter sans fin alors que tout comme ce dernier, elle susurrait son prénom, se laissant aller à cette fougue qui prenait part en ses reins. Elle se sentait plus fébrile que jamais, son cœur battant sauvagement dans sa poitrine bien qu’on ne pouvait l’entendre. Ses mouvements de reins l’envoutaient totalement alors que ces derniers s’intensifier, la faisant trembler d’effusion tant ce plaisir était intense. Leurs bassins se rencontraient éperdument dépendant l’un de l’autre tandis qu’elle venait embrasser sa clavicule avec appétit, se laissait inexorablement dévorer par cet abandon de ses sens. Elle n’avait de cesse de gémir, de venir à la rencontre de ce corps si brulant, si désirable alors qu’elle laissait son corps savourait toute l’effusion que ce dernier pouvait provoquer en son être.

Elle ne réfléchissait absolument plus à rien, profitait de cet acte si humain et déraisonné tant il lui faisait du bien. Elle n’avait de cesse de réclamer ses attentions, ses caresses, ses va-et-vient. C’était si envoutant tout cela qu’elle ne pouvait que le trouver d’autant plus parfait, ce qu’elle ne manqua nullement de lui murmurer au creux de l’oreille. Sa voix s’était faite rauque et brisée, tant le plaisir qui l’habitait la rendait folle, laissant échapper même plusieurs soupirs alors qu’elle lui susurrer de ne point arrêter, de la rendre folle, elle voulait qu’il lui fasse atteindre cet instant magique où leurs âmes se perdraient à jamais dans les méandres de la luxure. A cet instant, seule cette pensée la tirailler, lui faisant presque oublier d’en rougir tant cette dernière se trouvait cupide.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyVen 2 Aoû - 15:58

Connaitre la passion de la chair au côté d’Eun Ae avait été un doux fantasme il y avait quelques années, un fantasme qui l’avait toujours cru impossible tant leur situation était inadéquate. Après tout, ils se trouvaient si proches, se considérant comme des frères et sœurs, ainsi toute relation de ce genre n’avait pas lieu d’être. Seulement, en ce jour toutes ces barrières avaient totalement disparues, seul ce corps si magnifique et désirable l’importait. A présent qu’il se trouvait en elle, en son sein, il ne pensait plus à rien si ce n’était au plaisir qui possédait son être.  Son amante semblait tout autant quémandeuse d’attention de sa part, quémandeuse  de contacts entre leurs deux chairs, venant elle-même réclamer sa présence au travers ces mouvements de reins. Un fait qui ne pouvait ravir l’amant qui l’était alors qu’il se sentait peu à peu se perdre dans toutes ces sensations de bien-être. A chacun des coups de reins qu’il effectuait en son sein, il lui semblait mourir de plaisir, ne pouvant nullement empêcher ces mains de venir la moindre de ces formes, ces reins et ces jambes si fines. Sa poitrine se trouvant en contact contre son torse, le jeune homme ne pouvait que frissonner contre elle, gémissant son doux nom à chaque comme s’il s’agissait d’une douce prière. Les formes de son corps semblaient plaire à la demoiselle qui ne cessait de les caresser, un fait qui ne pouvait que raviver son désir de savoir qu’elle désirait chacune de ces formes, tous ces efforts malgré lui pour entretenir son corps servait au moins à faire désirer la jeune femme.

Tout comme lui, la demoiselle semblait perdue dans ces instants de luxure, susurrant son doux nom de manière sensuelle ne pouvant que le rendre particulièrement fou, aimant tant entendre sa voix dans des tons qu’il n’avait jamais connu jusqu’à ce jour. Les minutes s’écoulaient dans lesquels le jeune homme se perdait dans cette luxure sans nom, ne se lassant pas d’embrasser chaque parcelle de peau qu’il  avait le libre loisir en cet instant. Eun Ae lui paraissait véritablement si belle ainsi, sans doute bien plus belle qu’avec n’importe laquelle de ces robes qu’elle aimait porter. Ces pensées il ne cessait de lui murmurer alors qu’il l’embrassait, alors qu’il effectuait des mouvements de va-et-vient de plus en plus fort en son être, savourant le contact de leur chair. Son entrejambe se trouvait si bien loti ainsi, celle-ci prenant toujours plus de vigueur contre elle. Le plaisir de la chair ne lui avait jamais paru si agréable qu’en cet instant où il avait cette si belle femme contre lui qui ne demandait qu’à atteindre le summum de la luxure à ces côtés et en homme cupide qu’il était, il ne pouvait nullement résister à cet appel.

La demoiselle lui avait avoué qu’elle le trouvait particulièrement parfait, la rendant ô combien folle ô travers de ces reins, un fait qui ne pouvait que lui plaire alors que dans certain sourire, comme pour venir la taquiner il vint arrêter subitement son coup de rein, le frustrant en même temps qu’il frustrait son amante. Savourant le gémissement de frustration de son amante, il vint continuer son mouvement dans un susurre alors qu’il se saisissait de l’une de ces mains pour prendre celles de son amante. Venant bloquer alors de ces mains celles de son amante au dessus de sa tête, il vint embrasser sa nuque, la mordillant alors qu’il venait à nouveau l’honorer de sa chair, la rendant toujours plus fébrile à chaque pénétration. Il ne souhaitait qu’une chose : la voir atteindre le paradis de la luxure à ces côtés, aussi fou pouvait-être ce souhait en vue de sa condition. La fièvre qui l’avait possédé auparavant avait réchauffé son corps mais le corps de son amante semblait le rendre encore plus bouillant de l’intérieur et bien plus agréable. En tant qu’homme, il ne pouvait qu’apprécier ces instants de luxure. Les minutes s’écoulaient progressivement dans lesquelles il ne cessait pas de continuer son manège, frustrant son amante et lui-même mais lui permettant de toucher presque cette euphorie. L’embrassant alors, il vint cesser son jeu pour venir la posséder de manière plus forte, plus engagées, plus rythmée alors qu’il se sentait peu à partir, touchant presque ce paradis. Il ne fallut que quelques minutes de plus avant qu’il ne l’atteigne dans un gémissement ô transcendant, l’obligeant à relâcher ces mains, se retirant de son sein avant de poser son corps contre le sien. La fièvre l’avait emmené à être légèrement plus faible que d’habitude, le faisant respirer alors de manière coupé dû au plaisir que leurs corps avaient eu à s’aimer si fortement. Fermant les yeux, il resta ainsi alors jusqu’à reprendre son souffle, gardant au creux de ces bras son amante, murmurant contre sa nuque : « Tu es si belle… si parfaite… »  

Son souffle s’échouant sur sa nuque, il vint se redresser et dévorer du regard la silhouette de son amant, tout comme son visage ô merveilleux ainsi. Il la trouvait si belle, si magnifique ainsi, se demandant bien comment il avait pu lui résister pendant toutes ces années. A présent qu’il avait goûté à sa chair comment pouvait-il seulement ne pas vouloir y goûter à nouveau ? Souriant alors il vint lui voler un baiser, caressant ses hanches murmurant au creux de ces lèvres : « Tu m’as tant manque Aeunie… tellement ces dernières années… je suis si heureux… de t’avoir retrouvé. Je… ne me suis jamais senti si heureux… tu le sais ? Ne m’abandonne plus jamais… ne pars plus… sans toi… il manque une personne à ma vie…  j’ai eu tant besoin de toi ces dernières années…»  Ces mains venaient caresser les doux traits du visage de son amante, souriant alors qu’il ne souhaitait nullement faire séparer leurs corps d’une quelconque manière. S’il pouvait rester une éternité ainsi contre elle il ne pourrait nullement s’en lasser tant cet instant lui paraissait magique, après avoir atteint ce paradis à ces côtés.
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptySam 3 Aoû - 11:51

Son désir pour la douce personne de son amant n’avait de cesse de s’accroitre alors que les secondes défilaient interminables mais si délicieuses. Tout contre l’échine de son ami qu’elle avait désiré quelques années auparavant et redécouvrait ce dernier à cet instant, elle semblait peu à peu revivre, s’éveillant de cette léthargie dans laquelle elle s’était trouvée prisonnière des années durant. La moindre caresse du jeune homme sur ses formes, sa chair, n’avait de cesse de l’exalter alors que ses mouvements de reins puissants et ô désirables, la rendait ivre d’une félicité sans nom. Résolument dépendante de ce délicieux manège qu’il initiait au creux de ses reins, elle se laissait délicatement dévorer par les frisons de bien être qu’il provoquait dans son corps, savourant ceux qu’elle pouvait initier sur la chair de son amant. Il était si envoutant de le voir si cupide, animé par son souhait de la faire sienne, lui procurait ce plaisir que seul un amant digne de ce nom pouvait lui faire atteindre. Un amant résolument parfait à ses yeux alors qu’elle se sentait consumer à chaque mouvement de ses reins dans son corps, gémissant tant ses derniers lui faisaient du bien, la tourmentant plus que de raisons. Ce bien-être n’avait de cesse de s’intensifier à chaque seconde passé contre sa chair alors que chaque partie de son corps collait à la chair de son ami brulait son être tant le plaisir était intense. Elle se sentait s’enflammer sous ses caresses, ses baisers, ne pouvant que gémir tant ces cajoleries lui faisait connaitre de nouveau, une félicité qu’elle semblait avoir oublié. La voix rauque et pénétrante de son amant qui venait s’exprimer contre sa chair étendait cette fougue à son maximum, l’intimant à venir se fendre à son tour contre son membre pour quintupler le feu ardent qui l’étreignait. Ce corps, cette voix, ce membre, tout en lui insufflait promesse d’un bonheur sans nom. Un bonheur face auquel elle ne pouvait nullement résister, devenant le simple pantin de ses désirs et de ceux de son ami alors qu’il n’avait de cesse de gagner en vigueur au sein de ses reins. Un fait qui ne pouvait qu’intensifier son désir en tant que femme de satisfaire son amant alors qu’elle venait de nouveau réclamer ses reins, ses jambes devenant de plus en plus fébrile face au plaisir qu’il lui faisait vivre.

Un désir qui ne pu que s’intensifier alors qu’elle le sentait arrêter tout mouvement en son sein, se retirant entièrement d’elle, murmurant sa frustration. Son esprit et son corps totalement échauffé par cette éviction qu’il venait de commettre comme un crime qu’elle ne pu garder secret pour elle, murmurant son prénom comme pour qu’il réponde de nouveau à sa doléance. Ce que ce dernier fit en lui intimant à glisser ses jambes autour de sa taille alors qu’il la mouvait de nouveau sur le drap du lit, adoptant une nouvelle position. Une position qui lui offrait une vue merveilleuse, sentant les mains du jeune homme prendre prisonnières ses mains qu’il vint placer au dessus de sa tête tandis qu’il venait embrasser sa nuque, la mordillant tout en venant opérer de nouveau un mouvement de rein. Une oscillation beaucoup plus profonde que les précédentes alors qu’elle se laissait totalement à ce plaisir qui la regagnait, s’intensifiant d’autant plus à la taquinerie précédente de son amant, qui n’arrêta pas pour autant ses dernières. Chaque mouvement de rein devenait alors un étourdissant manège duquel elle se trouvait terriblement dépendante, à tel point qu’elle ne pouvait que le suppliait d’abréger cette tourmente, en vain. Un manège qui la rendait folle alors qu’il venait de nouveau l’embrasser dans un gémissement profond, la pénétrant de nouveau fougueusement, venant enfin répondre à sa quémande. Des mouvements beaucoup plus forts, plus engagés, plus rythmées, qui la laissaient tout simplement pantoise, gémissant son plaisir plus que de raisons, n’en pouvait décidément plus. Doué, sans aucun doute qu’il était et le plaisir qui s’annonçait lui donnait l’impression qu’elle allait défaillir tant ce dernier allait être puissant. Un orgasme dans lequel son âme se perdit à l’instant même où il vint la posséder. Gémissant son émoi alors que son amant rendait également les armes, elle se sentit se cambrer farouchement, retombant fébrilement sur le tissu du matelas, quelque peu perdue. Un spasme qui la laissait tout simplement sans mot, savourant cette envoutante voluptée la possédait, reprenant son souffle tout contre son amant qui s’était déjà retiré de son être pour se coller à elle. Leur respirations saccadées venaient faire se mouvoir leur poitrine l’un contre l’autre, restant prisonniers de cette envoutante chaleur qui semblait peu à peu s’éteindre. Elle ne pu alors que sourire au compliment de son ami tandis qu’elle glissait sa main contre sa nuque, jouant doucement avec ses cheveux, le voyant ainsi se redresser pour la dévorer. Ce qu’elle fit également alors qu’elle lui souriait de façon douce et comblée, un de ses sourires que seule une amante ravie pouvait offrir à son amant alors qu’il venait faire de même, l’embrassant tendrement alors qu’elle sentait ses doigts caresser de nouveau ses hanches. Un bien être qui la fit délicatement soupirer alors qu’il lui murmurait qu’elle lui avait tant manqué, tellement au cours de ses dernières années, il se trouvait si heureux de l’avoir retrouvé. Il lui avoua qu’il ne s’était jamais senti si heureux qu’en cet instant. Il lui demanda de ne point l’abandonner désormais, de ne plus partir car sans elle, il lui maquait une personne dans sa vie. Des pensées qu’elle partageait également alors qu’elle sentait les larmes lui venir aux yeux, en laissant en coller une tant le bonheur qu’elle ressentait se trouvait puissant. Venant glisser ses phalanges à son tour sur les traits de son visage, c’est avec douceur et fébrilité qu’elle murmurait faiblement.

« Toi aussi… si tu savais… J’ai eu envie de venir te voir… tant de fois… mais je n’ai jamais eu le courage d’attendre que tu ne rentre… j’avais si peur… j’étais terrifiée de ta réaction lorsque tu saurais ce que je suis devenue… »

C’est ainsi qu’elle vint doucement lui voler un doux baiser par un simple contact entre leurs deux lèvres comme pour tenter de se donner du courage alors qu’elle poursuivait.

« Cette nouvelle condition est difficile à accepter… j’ai mis énormément du temps à me faire à ma nouvelle forme… pourtant tu n’as pu être aveugle, tu as compris sans même que je ne l’ai exprimé… ses crocs, cette marque sur ma nuque indélébile, ce cœur qui bat si faiblement mais qui semble revivre depuis que tu es sous mes yeux, ne ? »

Son regard se faisait de plus en plus fébrile alors qu’elle lui avouait plus ou moins directement sa nouvelle forme, ce qu’elle était devenue. Elle avait peur que lui aussi ne la rejette, était terrifiée par l’idée qu’il ne revienne sur ses paroles, ses gestes. Elle voulait croire à ses paroles, à la douceur de ses regards, de ses gestes. Elle avait besoin de lui pour reprendre sa vie en main, il était le seul recours qui lui restait mais l’aimerait-il assez fort pour l’accepter telle qu’elle l’était désormais ?
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyMer 14 Aoû - 19:11

Atteindre le paradis charnel, sans aucun doute que le jeune homme ne s’y était nullement attendu d’une quelconque manière au côté de sa meilleure amie. A présent qu’il l’avait atteint, avait tant apprécié le contact de leurs deux chairs, il ne pouvait nullement regretter, profitant de la chaleur de ces bras, de la chaleur de son corps. Son cœur battait si fort en cet instant, se sentant enfin complet et pleinement heureux aux côtés de son amante. Après avoir passé tant de temps loin d’elle, leur rencontre ne pouvait qu’être particulièrement éprouvante et intense. Sans doute le fait qu’ils aient caché le désir du corps de l’autre pendant tant d’années avait influencé sur leur comportement, ou bien était-ce l’attirance que pouvait influencer un vampire sur son potentiel calice. Le jeune homme ne savait plus exactement mais une chose était sûre, à présent, il ne voulait plus quitter ces bras.

En tant qu’homme devenu amant, il n’avait pu que se satisfaire de voir son amante atteindre ces instants de luxure, heureux d’entendre ces gémissement ô quémandeurs de sa chair. Un fait appréciateur qui ne la rendait qu’encore plus belle à ces yeux tant elle se trouvait ravissante ainsi, sa coiffure défaite, son corps nu devant elle ne la rendait plus que magnifique pour lui qui ne l’avait plus vu ainsi depuis des années, depuis qu’il n’était plus un enfant. Ainsi, il n’avait pu que venir complimenter son amante la trouvant tout simplement sublime, ce sourire comblé sur son visage ne la rendait que plus magnifique. Il ne pouvait qu’apprécier ces douces caresses sur ces cheveux. Le jeune homme était venu alors embrasser la demoiselle dans un doux baiser, caressant ces hanches avec tendresse, satisfait de la voir satisfait à ce contact.

Prononçant des mots ô enchanteurs pour sa personne, le jeune homme lui avouait qu’il se trouvait si heureux d’être avec elle, de l’avoir retrouvé et lui demandait de ne plus jamais le quitter.  Des mots qui touchaient la demoiselle, l’emmenant à pleurer simplement alors qu’elle caressait les traits de son visage avec douceur. Il ne put que l’admirer si belle alors qu’elle murmurait qu’il lui avait tant manqué, qu’elle avait tellement eu envie de le voir, tant de fois mais elle n’avait jamais eu le courage d’attendre qu’il ne rentre.  Elle avait tellement eu peur de sa réaction lorsqu’il découvrirait ce qu’elle était devenue actuellement. Il ne pouvait que comprendre où la demoiselle souhaitait en devenir tant sa nouvelle condition lui paraissait évident. La demoiselle avait bien dû mal à accepter sa nouvelle condition, ayant déjà bien du mal à s’accepter pourtant elle lui murmura qu’il n’avait pas pu être aveugle, il avait dû le comprendre avant même qu’elle n’est à s’exprimer. Ces crocs, cette marque sur sa nuque, des indices qui ne pouvaient que le mener à comprendre qu’elle n’était plus une humaine, un vampire l’ayant transformé. Sans aucun était-ce la raison de sa disparition pendant ces années, ces nombreux mois, ayant peur du rejet des êtres qui lui étaient chers, n’acceptant pas peut-être la condition vampirique.

Un fait qui pouvait que l’emmener à vouloir embrasser la marque de la demoiselle, ce qu’il fit d’ailleurs avant de venir caresser les traits de la demoiselle. Il désirait être sincère avec elle et la rassurait. Lui offrant un doux sourire, il vint alors murmurer : « Ta nouvelle forme de vampire… il m’est bien impossible de ne pas la remarquer… même si je ne me suis pas encore exprimé à ce propos sache que peu importe ta nouvelle nature, tu garderas toujours dans mon cœur cette place ô importante que tu avais en étant encore humaine… » Finissant ces mots, il vint embrasser à nouveau cette marque, venant caresser les traits de son visage, venant la regarder simplement, lui souriant.

Ces lèvres vinrent se perdre sur les traits de son visage, espérant la calmer au travers de ces baisers en murmurant d’une voix douce : « Tu le sais… je n’ai jamais été d’une quelconque manière vraiment hostile au vampire, ou du moins pas tant qu’il ne mettait pas la vie de mes proches en danger…  Je ne pourrais que haïr le vampire qui t’a rendu ainsi tant tu étais si belle et merveilleuse avant cet incident en tant que vampire mais… à présent tu es vampire et je ne peux qu’accepter ta nouvelle forme…  Je… je t’aime vraiment Eun Ae et rien ne pourrait changer ce fait. Je t’aime sincèrement Eun Ae… je ne me suis jamais senti si vivant qu’à tes côtés.  Je t’aime vraiment…  » Souriant, il vint continuer d’embrasser ces traits, capturant dans sa main celle de son amante, caressant ces doigts avec lenteur. Les prochains mots qu’il souhaitait prononcer n’était nullement irréfléchi tant sa proposition lui semblait adéquate : « Je… je sais que cela peut te paraitre étonnant ou irréfléchi mais… je sais que la condition vampirique est difficile… alors si tu veux, si tu le souhaites…je peux devenir ton calice… si au moins je peux t’aider, si au moins je peux être à tes côtés pour toujours cela me convient… je veux rester à tes côtés pour te soutenir…   je n'aime nullement savoir que tu peux mettre ta vie en danger et la perdre si jamais un des rebelles vient vouloir te blesser... »
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptyJeu 15 Aoû - 19:06

Avouer sa nouvelle nature était résolument un exercice dans lequel la jeune femme n’était nullement habituée. Elle avait tant souffert de cette dernière, que sa gorge ne pouvait que se nouer tant elle craignait la réaction de son meilleur ami vis-à-vis de sa nouvelle condition. Elle se trouvait si heureuse d’être à ses côtés, d’être en mesure de le sentir tout contre lui, qu’elle avait peur de le perdre de nouveau, qu’il ne la fuit comme Yong Sun avait pu le faire par le passé. Cette angoisse ne la quittait point, empoignant son cœur d’une douleur inévitable alors qu’elle l’observait plus fébrile que jamais. Elle voulait croire en ses paroles, ses gestes si tendres qu’il avait à son attention mais elle ne pouvait être certaine de l’issue de cette demi-confession. L’aimait-il assez fort pour accepter ce qu’elle était devenue sans lui en tirer rigueur, sans la méprisait ? Elle s’efforçait d’y croire tandis qu’elle le fixait inexorablement de son regard tremblant, expectant une réaction de sa part, un sourire, un regard qui pourrait apaiser toutes les craintes qui lui sondait l’âme.

Elle ne pu alors qu’être rassurée de le voir venir embrasser tendrement la marque de sa morsure tandis que ses phalanges venaient caresser les traits de son visage. Le cœur tremblant d’effusion tant ce simple acte de la part de Jung Hwa venait ébranlait son être. Par ce simple baiser, cette simple caresse, il venait d’effacer la moindre de ses inquiétudes, lui offrant alors un doux sourire qui vint faire couler une larme de plus sur ses joues. Les paroles de ce dernier n’avaient de cesse d’approfondir sa fébrilité alors qu’il lui murmurait qu’il lui était bien difficile de ne pas remarquer sa nouvelle condition de vampire. Même si il ne s’était pas encore exprimé à ce sujet, il voulait qu’elle sache qu’elle garderait toujours dans son cœur cette place ô importante qu’elle avait en tant qu’humaine, laissant alors ses lèvres baiser de nouveau sa marque, ses doigts poursuivant leurs caresses.

Elle se laissa donc cajoler par le jeune homme, appréciant résolument le contact de ses lèvres sur sa chair, l’observant avec agitation tant son cœur tremblait dans sa poitrine. Au travers de ces baisers, ce dernier poursuivit en murmurant d’une voix douce qu’il n’avait jamais été vraiment hostile au vampire ou du moins pas tant qu’ils ne mettaient pas en danger la vie de ses proches. Il ne pourrait que haïr le vampire qu’il l’avait rendu ainsi tant elle se trouvait merveilleuse et belle avant cet accident. Mais à présent qu’elle était devenue ce qu’elle était, il ne pouvait qu’accepter sa nouvelle forme car il l’aimait sincèrement et ne s’était jamais senti si vivant qu’à ses côtés. Des mots si délicieux qu’elle ne pu que laisser d’autres larmes s’écoulaient, son cœur se gorgeant d’une félicité sans nom alors qu’elle se sentait plus nerveuse que jamais. Elle se trouvait si apaisée par la douceur de ses paroles, de ses gestes, qu’elle ne se sentait plus en mesure de se passer de sa présence, s’en trouvant si dépendante désormais. Elle se laissa donc cajoler par son ami, laissant ses doigts être capturés par ceux de ce dernier qui venaient caresser avec lenteur.

La suite de ses paroles vint totalement la prendre de court alors qu’il lui demandait de faire de lui son calice. Il avait conscience que sa nouvelle condition était difficile mais si au moins il pouvait l’aider en étant à ses côtés pour toujours, cela lui convenait si elle le souhaitait. Il désirait rester à ses côtés pour la soutenir, n’aimant résolument l’idée de la savoir mettre sa vie en péril et la perdre si jamais un des rebelles voulait la blesser. Ne sachant que répondre à cette requête quelque peu surprenante, elle ne pu que le fixer avec surprise quelques instants, l’observant avec douceur tandis qu’elle venait glisser un de ses bras autour de son dos, l’intimant à se coller à lui, nichant sa tête tout contre sa nuque. Inspirant alors son parfum qui enivrait son esprit, elle vint délicatement à son tour baiser sa nuque, laissant ses lèvres parcourir sa chair dans de douces étreintes. Elle ne savait que répondre à cette dernière, se trouvant résolument fébrile à cette dernière. Elle ne pouvait nier que cette option était résolument attrayante, sans doute que cette dernière pourrait abréger certaines de ses angoisses mais n’allait-elle pas l’affaiblir à en faisant son calice. Les yeux close, elle réfléchit à cette possibilité, laissant ses phalanges parcourir la chair de sa colonne vertébrale, se sentant si bien contre son corps nu. Elle ne voyait plus sa place nulle autre part qu’à ses côtés, elle avait besoin de lui plus que de tout au monde. Si elle pouvait l’avoir à ses côtés pour toujours, rien ne pourrait la rendre plus heureuse mais elle ne souhaitait nullement le faire acquérir la même condition que la sienne. Elle resta donc simplement tout contre sa nuque, baisant cette dernière avec douceur alors qu’elle murmurait tendrement tout contre sa peau.

« D’accord… si tu le désires… Je ne sais que répondre à une telle proposition… elle me touche profondément et je ne peux qu’être heureuse de cette dernière… Je ne peux qu’accepter cette dernière… Je tâcherai de faire de mon mieux pour te protéger, ne point te mettre en danger… mais es-tu sur de cela, Jung Hwa ? Je ne voudrai point que tu regrettes une telle décision alors que je tiens à toi si fort. »

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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptySam 17 Aoû - 16:55

Offrir sa vie à Eun Ae n’était nullement un fait anodin, il scellerait son avenir, sa vie aux côtés de cette femme. Il ne pourrait plus jamais s’éloigner d’elle, se trouvant tout simplement lié à elle à tout jamais jusqu’à la fin de sa vie. Il n’aurait pas d’enfants, il ne pourrait tout simplement pas en avoir étant donné qu’Eun Ae en tant que vampire ne pouvait nullement enfanter. Un fait qui ne le dérangeait pas dès lors que son cœur se trouvait déjà épris d’elle depuis de nombreuses années et qu’il s’était enfin rendu compte que celui-ci battait pour elle, bien plus que pour sa petite amie qu’il avait oublié depuis sa rencontre avec elle. Il n’était nullement ignare, s’étant informé comme la plupart des humains sur la condition vampirique, préférant savoir les faiblesses et forces de ces êtres qui peuplaient leur univers, même de manière obscure. Ainsi, il ne pouvait que connaitre la condition d’Eun Ae, seulement il ne pouvait nullement la haïr d’une quelconque façon puisqu’il n’avait jamais porté un regard aussi hostile à un vampire et encore moins à elle. La seule personne qu’il détestait était bien l’homme ou la femme vampire qui avait transformé Eun Ae en vampire. Mais à présent qu’elle était vampire, il ne pouvait pas changer d’avis sur elle, ni la dénigrer d’une quelconque façon dès lors qu’il l’aimait si fort, même en vampire. Son cœur ne tenait pas cas de sa forme vampirique, l’aimant du plus profond de son cœur. Ainsi il était venu la rassurer au travers de ces baisers sur sa nuque, ces mots qui se voulaient rassurants. Des gestes qui semblaient plaire à la demoiselle tant elle venait laisser échapper une larme sur ces joues.

Cajoler son amante lui avait paru la plus belle des actions alors qu’il lui murmurait qu’il l’aimait. Ces mots la rendaient fébrile, l’emmenant à pleurer plus intensément, le rendant particulièrement magnifique, ne pouvant nullement s’empêcher de continuer ces caresses sur ce corps, capturant dans sa main ces doigts dans une douce étreinte. Savoir Eun Ae en lieu sûr ne pouvait que le ravir alors il préférait qu’il devienne son calice, tant pour sa sûreté, tant que pour son propre bien-être. Il ne lui avait jamais été possible de ressentir tant de bien-être auprès d’une femme alors finir ces jours avec elle, en devenant son calice ne pouvait que lui plaire sincèrement. Ainsi, elle n’aurait plus à se mettre en danger d’une quelconque façon pour chercher du sang pour se nourrir, elle aurait seulement à l’attendre simplement.  Sa demande était peut-être soudaine mais elle venait du plus profond de son cœur, souhaitant s’offrir entièrement à cette femme qui l’avait toujours rendu si heureux.   La réaction de la demoiselle fut relativement rapide alors qu’elle lui offrait un magnifique regard, glissant ces bras autour de son dos lui demandant de se coller à lui, nichant sa tête contre sa nuque. Le souffle sur sa nuque le fit doucement frissonner malgré lui, comme ces baisers sur sa nuque, ne pouvant que lui donner l’impression qu’elle viendrait de ces crocs feindre sa peau pour boire son sang et le transformer en calice. Les légendes urbaines racontaient toujours que pour un calice cet acte était source de plaisir, ravivant le plaisir de la chair. Pour l’homme qu’il était, savoir qu’il ressentirait autant si ce n’était plus de plaisir que quelques minutes auparavant, il ne pouvait qu’en s’en contenter. Il appréciait au même instant ces phalanges qui parcouraient la chair de sa colonne vertébrale sur son corps nu. Chacun des baisers sur sa nuque l’électrisait alors qu’il l’entendait dire qu’elle était d’accord s’il le désirait. Elle ne savait que répondre à une telle proposition, la touchant profondément, ne pouvant qu’être heureuse si ce n’était en l’acceptant. Elle vint alors ajouter qu’elle ferait de son mieux pour le protéger, ne point le mettre en danger. Seulement, elle vint lui demandait s’il était sûr de cela, elle ne voudrait point qu’il ne regrette une telle décision alors qu’il tenait si fort à lui. Ces mots venaient le toucher alors qu’il vint embrasser le front de son amante dans un doux sourire, comme pour la rassurer alors qu’il murmurait : « Aeunie… je t’aime vraiment… bien plus que je ne peux aimer une autre personne. Mon cœur me le dit à chaque instant, tu le sais ? »

Souriant simplement à ces mots, le jeune homme vint relever le visage d’Eun Ae, lui volant un doux baiser, caressant de sa main les doux traits de son visage murmurant dans un regard ô envouté : « Si je viens te demander cela Aeunie… de me transformer en ton calice c’est bien que je suis absolument sûr de moi et de ce choix. J’ai été informé, comme bon nombres de citoyens sur ceux qu’est un calice pour un vampire, sur ces conditions... sur le fait que je peux mourir si jamais tu viens à mourir… mais cela ne m’effraie vraiment pas. Je suis prêt à tout pour toi, pour te venir en aide, pour te secourir et te protéger… sceller ma vie à la tienne me convient totalement…j’en suis persuadé et jamais je ne pourrais regretter cette demande. »

Souriant il vint à nouveau embrasser ces lèvres avant de venir embrasser chacun des traits de son visage, son front, son nez, ses joues, ses lèvres dans un doux manège. Un manège qu’il réitéra avant de murmurer au creux de ces lèvres dans un regard ô conquis et décidé : « Je veux devenir ton calice et ne dépendre plus que toi… cela me convient jusqu’à la fin de mes jours ma Aeunie... »
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI EmptySam 17 Aoû - 20:28

Être en mesure de serrer Jung Hwa tout contre elle, se trouvait être une chance qu’elle savourait à sa juste valeur. Désormais rassurée vis-à-vis de sa réaction envers sa nouvelle forme, elle ne pouvait que profiter de cette douce chaleur et ce bonheur éhonté que ces gestes et paroles avaient engendrés en son être. Quand bien même, son cœur battait faiblement au creux de sa poitrine, ce dernier avait adopté une vitesse relativement forte pour un vampire dans sa condition. Elle se trouvait si ravie de le voir agir de cette façon, de ne point la repousser alors qu’elle avait plus que tout besoin de lui, dans sa vie. Son soutien était inestimable presque utopique à ses yeux et pourtant, c’était ce que ce dernier lui offrait de la plus belle des manières en voulant se lier définitivement à elle. Ce dernier l’aimait profondément et lui avait émit son désir de devenir son calice, du moins si elle le désirait. Une idée quelque peu alléchante qui lui épargnerait résolument certaines angoisses mais indirectement, elle ne pouvait pas s’en réjouir totalement, ne sachant même pas comment y répondre.

Cependant, il s’agissait de son désir et de ce fait, elle avait accepté sa proposition, ne pouvant qu’être touchée profondément par cette dernière. Elle lui fit la promesse de faire de son mieux pour le protéger, de ne point le mettre en danger mais était-il sur de sa décision. Elle avait pleinement conscience de toutes les conséquences que cela impliqué. Le lien entre un calice et son vampire était résolument profond et faisait des deux protagonistes, des personnes dépendantes l’un de l’autre. Même si elle était intimée que leur lien naturel se trouvait déjà si puissant, il n’en restait pas moins que son ami s’était lié à une femme. Il lui avait même avoué ses sentiments, lui murmurant des mots d’amour mais était-ce vraiment ce genre de relation qu’il sous entendait entre ses paroles si pleines d’affection ? Elle n’en doutait pas inconsciemment mais elle avait appris à ne point formuler de faux espoir. Son ami avait manqué de mourir, il se trouvait même encore bien faible, prenait-il conscience de toute la portée de ses paroles ?

Nichée contre sa nuque qu’elle embrassait tendrement, elle avait soulevée ses inquiétudes, fébrile et à la fois heureuse. Le baiser que ce dernier vint poser sur son font dans un doux sourire vint résolument la rassurer tandis qu’il lui murmurait qu’il l’aimait vraiment, bien plus qu’il n’avait pu aimer une autre personne. Cette réalité, son cœur n’avait de cesse de lui indiqué à chaque instant. Des paroles qui la firent délicatement rougir alors qu’elle se laissait voler un doux baiser, cajolée par les phalanges si douces du jeune homme, ce dernier poursuivant contre ses lèvres que s’il venait à lui demander cela, c’est parce qu’il était absolument sur de lui. Il était informé sur la condition d’un calice et le lien qu’il avait avec un vampire comme le fait de mourir si jamais on venait à la tuer mais, cela ne l’effrayait pas vraiment. Il était prêt à tout pour elle, pour lui venir en aide et la soutenir. Sceller sa vie à la sienne lui convenait totalement et il était persuadé qu’il ne pourrait jamais regretter sa demande. Ces simples mots vinrent l’attendrir profondément alors qu’elle le fixait le regard ému, fermant ses paupières pour ressentir ses lèvres sur sa chair, baignant inexorablement son visage de baiser dans un doux manège que son être appréciait. Ainsi, elle ne pu que fondre lorsque ce dernier vint murmurer contre ses lèvres dans un regard ô conquis et décidé qu’il voulait devenir son calice et ne dépendre plus que d’elle jusqu’à la fin de ses jours.

Le dévorant alors de son regard plus que troublée, elle ne pu que venir raccourcir l’espace entre leurs deux lèvres pour l’embrasser avec douceur mais sans nulle fougue,  laissant ses muqueuses rencontrer celles de son amant et bientôt calice avec tendresse. Elle se trouvait à cet instant si heureuse, que ses doigts n’avaient de cesse de caresser de caresser son dos avec affection, ces derniers s’échouant contre sa nuque pour jouer délicatement avec ses cheveux, relâchant ses lèvres pour murmurer tendrement contre ses lèvres.

« Hwannie… Je suis si heureuse si tu savais à cet instant, j’ai tant la sensation de revivre à tes côtés, d’être de nouveau celle que j’étais par le passé. Je t’aime moi aussi…si profondément… passer ma vie  à tes côtés me semble si merveilleux, je ne peux y résister… je ferai de ton mieux pour te rendre heureux, je t’en fais la promesse… »

Sa voix n’étant plus qu’un murmure tant le bonheur qui l’étreignait se trouvait fort, ils passèrent ainsi une bonne partie de la journée à s’embrasser et se susurrer des mots doux tant l’amour qui inondait leurs êtres se trouvaient fort. Une nouvelle vie s’offrait devant elle, dans laquelle elle avait foi. Tant que Jung Hwa serait à ses côtés, elle n’aurait plus à craindre du futur désormais…

-- FIN --
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MessageSujet: Re: [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI   [NC-18] Please don't die, don't leave me! | Son Jung Hwa | FINI Empty

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