Lee Nam Jun ► Like idiots

Bonjour mon nom est Lee Nam Jun, je suis un jeune homme de 22 ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 22 ans et que je sois d'origine Coréenne. Je fais partie des level 1 et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis fouteur de merde professionnel. Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement célibataire et je ressens une forte attirance pour les femmes.


 

qualités   intelligent.   persévérant.   méticuleux.  rusé.

défauts   sadique.   manipulateur.   profiteur.  égocentrique.

Il est, au premier abord, plutôt difficile de trouver des qualités à Nam Jun. C’est en effet une personne qui a toujours eu un point de vue peu politiquement correcte. Les règles sont faites pour être transgressés. Lui, il est venu au monde pour les transgresser. Le fait qu’il soit devenu immortel ne rend que plus forte encore sa détermination à transgresser les règles. Mais parlons peu, parlons bien :

profiteur : Il est difficile de parler de Nam Jun sans souligner ce fait. Il est certainement une des personnes les plus profiteuses qu’il vous sera donné de rencontrer. Quand quelque chose peut lui apporter bénéfice d’une quelconque manière que ce soit, il ne se prive pas pour s’en servir. L’exemple le plus simple est sans nul doute le fait qu’il soit un vampire. Il profite de ce que lui offrent l’éternelle jeunesse et la force pour se distraire.

sadique : Voilà un autre détail très important chez lui. Il puise son bonheur du malheur des autres. Il aime voir les autres souffrir, et il s’amuse d’ailleurs beaucoup en testant les limites de la race humaine. Mettre fin à la vie de quelqu’un n’est d’ailleurs pas un problème pour lui, si ça lui permet d’en tirer des bénéfices quelconques. Mais avant de tuer, il lui faut une part de plaisir rentable. Il joue. Il joue avec les humains, avant de les tuer. Il aime sentir la peur émaner d'eux, sentir la sueurs qui coule le long de leur tempe, entendre leur respiration se faire de plus en plus rapide. Les pas quand ils courent en voulant fuir, leur coeur battre de plus en plus vite. Il aime sentir l'odeur du sang qui coule, pendant qu'eux agonise devant ses yeux. Voilà à quoi ils servent les humains...

manipulateur : Nam Jun a tiré de ses années passés à côtoyer la lie de l'humanité beaucoup d’information sur la manière de fonctionner du cerveau humain. Ainsi, il se sert de ses connaissances pour pousser les gens aux bords de leur limite en ne faisant rien d’autre que les manipuler. Les humains sont faibles, et pas seulement physiquement… Jouer avec les sentiments de cette race inférieur est un sentiment exaltant. Leur faire croire qu'on ne leur veux pas de mal, pour au final leur faire encore plus de mal, les monter les uns contre les autres, et les voir se disputer violemment, avant de mettre simplement fin à leur misérable vie.

égocentrique : Vous n’osiez quand même pas imaginer qu’une personne profiteuse, sadique et manipulatrice puisse penser aux autres ? Nam Jun est bien loin de ça. Tout ce qu’il fait, il le fait pour lui. Pour s’amuser, se distraire, ou même simplement pour obtenir quelque chose. Il rapporte tout à lui, et le fait sans la moindre gêne.

intelligent : Intelligent, Nam Jun l’est. Beaucoup ont cherché à utiliser la ruse contre lui, mais il sait faire face à ce genre d’attaque par derrière. Pour lui, les humains sont faibles, autant physiquement que mentalement, car ils ne savent pas faire abstraction de certaines choses. Et donc, pour marquer encore plus sa différence entre lui et les humains, il doit bien faire preuve d’un minimum d’intelligence non ?

persévérant et méticuleux: Quand il entreprend quelque chose, Nam Jun se voit dans l’incapacité totale d’abandonner avant d’être arrivé au résultat escompté. Et quand il n’arrive pas à ce résultat, ça le rend encore plus envieux d’y parvenir. Une boucle qui ne s’arrête jamais prend ainsi forme. Il commence quelque chose, et la termine obligatoirement. Ainsi, quand il entreprend quelque chose, il donne tout ce qu’il a pour arriver à son objectif. Il peut passer énormément de temps pour que tout soit parfait. Ce qui fait aussi de lui quelqu’un d’assez perfectionniste.

rusé : La ruse. Là aussi c’est quelque chose de très important à ses yeux. Il peut bien sur frapper directement, mais le faire de manière plus discrète est le meilleur moyen pour engendrer le stresse chez les autres. C’est aussi le meilleur moyen de frapper sans que la cible n’est eu le temps de voir le coup venir. Elle sait qu’il va venir un moment… mais pas quand, et encore moins comment.


force : ❚❚❚❚❚❚  régénération : ❚❚❚❚❚❚ sens : ❚❚❚❚❚❚

vitesse : ❚❚❚❚❚❚ adaptation : ❚❚❚❚❚❚ self-control : ❚❚❚❚❚❚

사람의 about the humans Do you know what the difference is between strong and weak? The strong will worry about what else they can take away, but the weak will worry about how they’ll protect what they have. Like idiots. Ma vie en tant qu’être humain remonte il y a très peu de temps et pourtant je déteste la race humaine. Mais ça, ça remonte à bien avant ma mort. Aussi loin que remonte mes souvenirs, j’ai toujours méprisé la race humaine, même si moi-même j’en faisais partit. L’homme est égoïste, peureux, fragile. Je me suis toujours sentit extérieur à ça, et en tant que vampire, je le suis encore plus. Les humains ne sont plus qu’un garde mangés pour moi. Des joujoux aussi. Il est amusant de jouer avec eux comme un chat joue avec une souris. Pour moi, les humains ne seront jamais plus que des animaux qui devraient être honoré de nous servir de nourriture. Sentir la peur émaner d’eux, les voir trembler dans la pénombre avant que leur dernier souffle n’est lieu est un sentiment exaltant. Les humains n’ont le droit d’exister que parce que nous leur donnons. Nous vampires, avons le droit de vie et de mort sur eux. Ces êtres fragiles ne sont là que parce que nous avons besoin d’eux pour survivre, et quand bien même certains vampires déclarent le contraire, je m’en contrefiche. Je suis fort, je suis puissant. Je suis un vampire. La milice peut toujours aller se faire voir, elle et ses règles quelles quel soit. Et un conseil pour ces pauvres humains: évitez de vous frotter à moi. J'ai tendance à perdre mon sang froid assez facilement.

1 Ma vie humaine ? Je déteste m’en souvenir. C’était il y a peu de temps. Il y a quelques semaines à peine. Et pourtant, j’ai l’impression d’avoir des milliers d’années entre ma vie humaine, et celle que j’ai maintenant. Enfant, j’étais dans un orphelinat. Mes parents étaient bel et bien vivants. Mon père un homme d’affaire qui ne m’a jamais reconnu comme étant son fils, et ma mère, une femme de ménage tout juste assez riche pour se nourrir elle seule. J’ai donc été laissé dans un orphelinat, pour être élevé par des personnes qui n’ont rien à voir avec moi. La seule personne de ma famille étant avec moi, c’était ma sœur jumelle. Fausse jumelle bien évidement… Ne pas avoir de parent, ou du moins ne pas avoir de mère est forcément problématique pour l’éducation. C’est ce manque parentale qui a fait de moi le garçon turbulent et fouteur de merde que j’ai été (et que je suis toujours, mais d’une manière différente…). Inutile de tout vous raconter en détail. C’est assez simple et rapide à comprendre. Je m’attirais toujours des ennuis et les engueulades qui allaient avec. Et derrière ça, ma sœur jumelle tentait de réparer mes gaffes. Cette enfance m’a emmené à détester les personnes m’entourant. Par principe je me suis mis à détester le mode de penser et de vie auquel j’appartenais. Je détestais tout et tous. Il n’y avait pas une seule personne que je ne haïssais pas… enfin si, une : ma sœur. Mais elle, c’était bien différent. Elle me comprenait mieux que quiconque. Elle était la seule à ne pas me regarder comme un paria. 2 Vers l’adolescence, j’ai commencé à fréquenter des gens qui n’allaient certainement pas améliorer mon cas déjà catastrophique. La drogue, l’alcool, les jeux dangereux. J’avais l’impression d’être enfin accepté par d’autres personnes que ma jumelle. Eux. Ce gang qui me donnait enfin l’impression d’avoir des amis. Pendant de longues années j’ai fait tout le contraire de ce qui est conseillé pour avoir un CV parfait. J’ai arrêté il y a bien longtemps de compter le nombre de fois où j’ai été au commissariat. Même Chuck Norris n’arriverait pas à compter jusque-là… Un jour, alors je rentrais à l’orphelinat, on m’apprit que ma sœur allait partir. Un couple de jeune marié voulait bien d’elle. Et moi… je restais sur place. Je n’avais pas le droit de refuser : ma sœur semblait si heureuse de quitter cet endroit que je ne voulais pas gâcher ça. Je la vis donc partir… Sans moi. Ce jour-là, tout s’écroula. J’étais plus dépendant de ma sœur que je ne pouvais l’admettre. Et avant que je me rende compte du pourquoi et du comment, je partais déjà en courant à travers champs… enfin plutôt à travers trottoir et route. Je revins à l’orphelinat cinq jours plus tard, épuisé, affamé et … renfermé. Ma « crise » ne s’arrêta nullement là. La porte close de ma chambre ne s’ouvrit qu’une seule fois pour virer mon colloc de chambre à coup de pied. 3 Suite au départ de ma sœur, ma vie changea beaucoup. En premier lieu vis-à-vis du gang dans lequel j’étais. J’ai souhaité le quitter. Ma sœur n’avait jamais aimé que j’y suis, et comme dernière chose que je pouvais pour elle, c’était le quitter. Mais on ne quitte pas comme ça un gang. Le jour où je suis allé les voir, il a fallu payer mon départ : Le sol était froid. Mais cela n’avait pas d’importance, alors que j’étais en train de recevoir coups sur coups, de la part de mes anciens partenaires. Ils me frappaient pour me faire payer mon départ. Après, je pourrais partir. Si jamais j’en sortais vivant… Puis, tout d’un coup, les coups s’arrêtèrent. Un cri venant du fond de la salle m’indiqua que quelque chose de bizarre se tramait. Des bruits de piétinement, puis plus rien… Je resta allongé sur le sol de longues minutes, avant que quelqu’un vienne me soulever de force. Sur le coup, je n’avais pas soulevé le fait que cette personne semblait très forte, plus que la normal. Je n’avais pensé qu’à une chose : courir. Partir de cet endroit qui me rappelait tant de chose… surtout ma sœur. 4 La nuit était froide, et la rue était aussi noire que le néant. Je ne savais moi-même pas ce que je faisais là. Je marchais pour me distraire… pour rentrer le plus tard possible au bercail. Je ne sentis pas tout suite qu’on me suivait. Au moment où je m’en rendis compte, j’étais déjà mort… Se réveiller en tant que vampire est une chose… atroce. J’avais soif. Plus que jamais auparavant. Comment ce faisait-il que je sois comme ça ? Ah oui… j’avais eu la bonne idée de supplier un vampire de faire de moi un des leurs… Et maintenant… j’avais soif. C’était affreux d’avoir aussi soif. Je voulais apaiser à tout prix cette soif. 5 Il était mort… Son corps gisait sur le sol, quelques gouttes de sang sur le visage et presque plus rien sous sa fragile carapace d’humain. Je venais de le tuer… Et je n’en ressentais rien de plus qu’un sentiment de plénitude… Je venais de tuer un homme et j’aimais ça… Jusque-là, les humains m’avaient toujours fait du mal, alors que j’étais l’un d’entre eux. Et seul deux vampires m’avaient aidé. Celui qui m’avait « sauvé » des coups du gang –j’en étais à présent sur, c’était un vampire-, et celui qui m’avait transformé. Parlons-en de lui d’ailleurs ? Pourquoi l’avait-il fait ? Ca me semblait encore flou. Je me souvenais avoir dit ne plus vouloir vivre comme un humain… mais étais-ce à lui ? Je ne sais plus… En tout cas, je l’étais bel et bien… et je venais de tuer une personne. Un humain. Un être que j’ai au final toujours détesté. Et je prenais du plaisir à voir son cadavre…

Code:

[*]<pr>Kwon Hyun Sang</pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/u93]Lee Nam Jun[/url]

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