ngỗ thanh mai (terminé)

Bonjour mon nom est ngỗ thanh mai, je suis une jeune femme de 22ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 22ans et que je sois d'origine vietnamienne. Je fais partie des pandas level 1 et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis stripteaseuse. Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement célibataire et je ressens une forte attirance pour le sang et uniquement le sang.

qualités déterminée soignée réfléchie

défauts violente lunatique mythomane

Mai, thanh mai, quel est son caractère ? Très bonne question. Manipulatrice c'est ainsi que l'on pourrait la qualifier. Elle ne laisse rien paraître, rien sous entendre, rien savoir. Toujours souriante, c'est fou comme on pourrait la croire douce, adorable et innofensif. C'est là que réside l'erreur, la vietnamienne est tout sauf fréquentable mais généralement autrui ne le réalise que trop tard. Elle est minutieuse veillant à agir de manière constamment réfléchis. Elle ne contrôle pas ses pulsions sanguinaire mais sait les anticiper si bien qu'elle en a fait un jeu, un jeu relativement morbide, C'est ainsi qu'elle est, cette jeune femme aux airs angéliques qui n'est autre qu'un prédateur en chasse, tuer n'est pas un passe temps c'est un besoin, un besoin qu'elle se doit de satisfaire , généralement elle ne sait ce contenter de s'abreuver légérement, se sentant obligé de vider sa proie. Cependant la jeune femme est bien loin d'être bestial, elle aimes que ses victimes soient belles, mortes. Pas de jiclements de sang, de corps démembrés, non elle aime que la trace laissé par ses crocs soient presque invisible, elle aime voir ses proies reposer en « paix », d'ailleurs il est rare qu'elle laisse un cadavre apparent , généralement elle se charge de s'en débarasser proprement. Cela ne fait pas d'elle une femme sachant se contrôler puisque ce n'est pas le cas, elle ne contrôle pas sa soif, et ne peut que se contenter d'éviter des dégats inutiles, elle n'aime pas la vision du sang , n'a jamais aimé cela alors à quoi bon massacrer ses proies, En dehors du sang, principal objet de ses désirs, mai aurait pu être qualifier d'asexué même si ce n'est pas réellement le cas, disons simplement qu'elle ne pense pas à autrui en ayant pour perspective d'entreprendre une quelconque relation sexuel ou sentimental avec. Pourtant avant de n'être transformé elle aimait ça, coucher, Maintenant elle n'y pense tout bonnement plus, le sang n'accaparant que trop sa pensée, pourtant ce n'est pas les prétendants qui manquent elle le sait très bien mais maintenant la jeune femme a une tout autre obsession.




force : ❚❚❚❚❚❚ régénération : ❚❚❚❚❚❚ sens : ❚❚❚❚❚❚

vitesse : ❚❚❚❚❚❚ adaptation : ❚❚❚❚❚❚ self-control : ❚❚❚❚❚❚

사람의 about the humans Avis mitigé. A vrai dire elle ne se souvient guère des choses importantes de sa vie humaine comme si son esprit avait dressé une barrière entre l'être qu'elle était à présent et celui qu'elle avait été. Des peites bribes de souvenirs concernant sa vie vécu au vietnam mais rien concernant sa famille, nothing. Alors on ne peut pas dire que ses souvenirs l'aident à freiner sa soif de sang , si elle pouvait ne serait-ce que se rappeler les personnes auxquelles elle tenait, mais non il semblerait qu'elle soit destiné à n'avoir aucune pitié pour cette espèce. Il existe deux sortes d'humains pour la jeune vampire, ceux qu'elle ne fera que sucer et ceux qu'elle tuera, on ne peut pas dire qu'elle tue volontairement , le besoin n'est pas réfreinable mais elle fait toujours en sorte qu'il s'agisse de personne qui le mérite plus ou moins, ne serait-ce qu'un minimum. Pas qu'elle est un cœur ou même qu'elle éprouve de la pitié mais plus par logique, elle se défoule en punissant autrui de ses pêchés et elle trouve cela plutôt drôle. Pour ce qui est de ses relations avec les humains disons que cela reste relativement difficile, thanh mai est probablement l'une des jeunes vampires les plus susceptible à l'odeur du sang , il n'est donc pas nécessaire de préciser à quel point elle se fait violence pour ne pas bouffer tout les humains qu'elle croise. Son emploi de stripteaseuse à du bon pour ce qui est de la chasse, quoi de plus aisée que de trouver ses proies dans les clients du club pour lequel elle se dévêtis.

1 Je n'ai jamais compris les moqueries de mes camarades de classe, à vrai dire je ne comprenais pas ce qui était risible, même maintenant quand les souvenirs me permettent d'y repenser, je ne comprends toujours pas. Le pire dans tout cela , je crois, c'est que cela ne me blessait pas, ça aurait probablement du me faire pleurer, me blesser mais non, en fait je m'en moquais, je n'arrivais même pas à éprouver de la rage envers eux. Mes mères se contentaient de me répéter que ces enfants ne savaient pas et que ce n'était donc pas de leur faute, que l'image d'un père et d'une mère était bien trop présent dans leurs esprits pour qu'il puisse concevoir l'absence d'un père et la présence de deux mères, moi , je ne comprenais tout simplement pas pourquoi il n'avait pas deux mères. C''est vrai, cela était si étrange de voir un homme embrasser une femme, si embarassant. Deux femmes n'étaient-elles pas destinés à finir ensemble ? L'homme ne jouait-il pas le rôle bénin du géniteur, simple géniteur ? 2 Cela m'avait toujours parus logique, inévitable pourtant contre mes attentes, rien ne s'était déroulé comme prévu. Elle était pourtant sublime, le genre de femme que tout le monde penserait hétérosexuel, ce genre de femme que tout les mecs s'arrachent. Mais elle était aussi ce genre de femme à ne désirait qu'une chose à la fois, et thanh mai avait fait partis des choses qu'elle avait désiré. Je n'avais jamais fréquenté auparavant , cela ne m'intéressait pas réellement mais l'année de mes seize ans j'avais ressentis un certain changement en moi, plutôt frustrant pour la jeune femme réservé que j'étais jusqu'alors. Des questions m'assaillaient tandis qu'internet et les sites pronographiques devenaient vite mes amis mais je ne regardais que des vidéos de femmes parce que jusque là je pensais être comme mes mères. La pression de ses lèvres contre les miennes, ses doigts fébrilent parcourant les courbes de mon jeune corps, tout cela n'avait rien de désagréable, j'aimas ça, elle me procurais du bien, j'en voulais plus cependant il y avait quelque chose qui clochait, quelque chose que je ne savait expliquer , que je pensais ne pouvoir expliquer. Jusqu'à ce que je rencontre son frère, son frère jumeau. Je ne m'attardais habituellement jamais sur l'apparence d'autrui mais il fallait croire que l'adolescence et mes poussées hormonales en avait décidé autrement. Une mâchoire droite, des omoplates saillants,, des pectoraux relativement bien dessinés pour son jeune âge, en fait je ne saurais dire si ce fut son corps en lui même qui m'avait attiré ou si c'était son comportement envers moi et sa sœur. Je l'écoeurais, nous l'écoeurions. Lesbich. Voici comment il nous qualifiait. Et plus il rageait et plus je le désirais. J'y pensais chaque heure du jour et de la nuit, les positions dans lesquelles j'espérais qu'il me prendrait et les mots qu'il s'amuserait à sussurer à mon oreille. Et je n'avais pas espéré pour rien, j'avais eu ce que je voulais, sans réfléchir aux conséquences de mes actes , j'étais jeune comment aurais je pu anticiper la douleur que je provoquerai à cette petite amie qui avait assumer son homosexualité au grand jour pour une garce qui en avait profiter pour sauter son frère. Même si mes souvenirs son désormais peu nombreux, je n'ai pas oublié le jeune corps de ma première petite amie se balançant au bout d'une corde. 3 Mes mères commencèrent à s'inquiéter lorsque leurs doutes se confirmèrent. Manque d'antipathie, absence de remords, aucune démonstration d'un quelconque sentiments affectifs. Pourtant je savais ce que j'aimais ou n'aimais pas, je savais que je tenais à elles mais je ne ressentais rien. La mort de min thu n'avait rien déclenché en moi, pas une larme ni un remord, le fait même de la voir se balancer au bout d'une corde n'avait fait que me laisser de marbre. Je ne comprenais pas le pourquoi du comment, c'est vrai l'être humain ressentait des émotions positives et négatives non ? Pourquoi ne fonctionnaisje que par pulsions sexuelles et violentes ? J'avais enchainé les rendez vous psychologique pour les satisfaire , pour les rassurer aussi peut-être. Certains m'avaient qualifié d'attardé, d'autre de psychologiquement instable mais le mot qui pénétra dans mon esprit et ne le quitta plus fut psychopathie. Je passais de l'enfant désiré par deux femmes aimantes durant toute une vie, à un danger que l'on ne pouvait faire disparaître. Je voyais bien qu'elles me craignaient et je ne comprenais sincérement pas pourquoi, je n'avais pourtant jamais tué volontairement quelqu'un. Je crois que c'est le dernier souvenir de ma vie d'humaine que je possède, cette peur dans leurs yeux, ce dégoût dans leurs paroles, et ses pulsions violentes qui s'emparaient de moi. 4 « réveilles toi ma douce. » Elle avait d'abord humé l'atmosphère environnante, ses poings se fermant avec automatisme tandis qu'elle entrouvrait les yeux , plongeant ceux-ci dans le regard admirateur de ce qui était à présent son « père ». La jeune vietnamienne n'avait jamais ressentis de quelconque sentiments, la peur y compris pourtant lorsqu'elle le vit, elle comprit ce qu'était ce sentiment que l'on appellait crainte. Il l'avait voulu, tellement voulu qu'il n'avait eu qu'à attendre qu'elle fasse un petit faux pas pour la transformer et l'arracher au vietnam pour la ramener avec lui en Corée. Il lui avait tout raconté, le pourquoi du comment , et ce qui l'avait poussé à la choisir néanmoins il avait refusé de lui dévoiler quoique ce soit concernant sa vie antérieure, elle ne se rappelait de rien à son réveil et même si quelques bribes lui revenaient elle ne réussirait jamais à se souvenir de tout, et ça , ça l'arrangeait fortement. Que son enfant ne sache rien, qu'elle ne sache jamais qu'elle humaine elle était, qu'elle continue à s'idéaliser en gentille humaine innofencif qui n'avait eu que pour seules vices une instabilité psychologique et une tendance à la nymphomanie. Il allait la remodeler, il n'avait pas peur de la blesser émotionnellement même si elle venait à tout apprendre car il savait qu'elle ne pouvait rien ressentir, c'est pour ça qu'il l'avait choisis , parce qu'elle n'avait jamais été réellement humaine. 5 Le premier avait été inculpé de viol sur mineur, une mineur muette et sourde, une mineur qui appeurée n'avait su et ni voulu témoigné. Père avait toujours fait en sorte d'arrêter la jeune vietnamienne de manière à ce qu'elle ne tue pas ses « gourdes » mais ce soir il l'a laissé se gérer toute seule , après tout elle avait un mois et si elle se foirait ce n'était pas bien grave après tout. Elle l'avait abordé dans un bar, vêtue très légèrement, elle était doué pour cela , elle savait s'y prendre la petite , cependant elle ne savait guère se contrôlait bien longtemps et c'est donc rapidement qu'elle l'avait trainé dans une ruelle lui laissant sous entendre qu'il allait pouvoir la prendre contre une benne à ordure. Après tout nombreux serait tombé dans le panneau, un petit coup ne fait de mal à personne surtout avec une aussi jolie jeune femme. Erreur. Il aurait du réfléchir, il aurait du sentir que cela n'était pas net, elle ne comprenait pas et le pire c'est que ça la faisait marrer. Elle se sentait tellement supérieur à ces êtres faibles et naïve, il ne lui avait fallus que d'un coup pour lui briser la nuque avant de le vider délicatement de son sang. Elle n'aimait pas que l'on s'agitte lorsqu'elle se nourissait encore mois quand elle avai prévus de ne pas s'arrêter, elle s'en était rendu compte plusieurs fois lorsqu'elle se devait de laisser la vie à ses proies. Les assomer était donc la meilleure solution, de toute manière il mourrait vidé de son sang dans peu de temps. Cela aurait du lui paraître nouveau, tuer aussi facilement mais non, c'était comme boire un verre d'eau, banal. C'est surement cette banalité qui la poussa à commettre les immondices qui suivirent, recherchant le plaisir dans la mort de ses proies, dans la peur qu'elle pouvait lire dans leurs regards , peur qu'ils avaient eux aussi provoqués chez d'autres , elle les laissait courir, se cacher, hurler, la supplier, parfois même elle les torturait parce qu'elle a besoin de se divertir , parce qu'après tout pourquoi leur infligé une mort douce. Elle aimait leur rappeler une dernière fois à quel point il était douloureux de vivre et à quel point il se devait d'être reconnaissant envers elle de les soulager à travers la mort.

Code:

[*]<pr>kim hyo jeong _ hyorin (sistar) </pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/u43]ngỗ thanh mai[/url]