kim so jin ∆ les frites, c'est comme les amis : avec du ketchup, c'est mieux.

Bonjour mon nom est kim so jin, je suis une jeune femme de 21 ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 258 ans et que je sois d'origine française, de souvenirs. mais depuis le temps que je suis en corée, je pense que je suis devenue coréenne. Je fais partie des level 3 (under co) et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis présentatrice de la météo sur la chaine principale. Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement célibataire et je ressens une forte attirance pour l'argent... bon si vous insistez, les hommes.


   

qualités    juste.    sociable.    charmeuse.   digne de confiance.

défauts    fausse.    secrète.    froide.   manipulatrice.

L’amabilité n'est pas ce qui qualifie le mieux So Jin. Malgré son côté charmeur, son physique attirant, son joli sourire accompagner de ses yeux rieurs, So Jin est froide. Pour ne pas dire glaciale. Il faudra persévérer ou qu'elle vous montre une quelconque intérêt pour qu'elle se penche sur votre cas – l'argent, ça elle aime, mettez-en au bout d'un fil de canne à pêche vous pouvez parier qu'elle mordra à l'hameçon. Il faut dire que subvenir à ses besoins a longtemps été sa principale préoccupation, donc dès qu'on parle d'argent elle redouble d'efficacité, d'écoute ou d'action. Peut importe ce qu'on lui demandera, maintenant, c'est le fric qui mène sa vie... Elle a apprit l'art de la manipulation pour ces billets verts, elle est devenue cette séductrice sans cœur afin d'en avoir toujours plus, bien qu'elle ne soit plus vraiment en besoin... depuis quelques siècles. C'est en quelque sorte son vice. L'argent, les vols, la perte. Cela lui fait peur. La manipulation est sa technique de défense principale, mais elle en a d'autre. Elle a appris à s'enfermer et ne faire confiance à personne, elle sait rester froide et distante... peut être même mystérieuse. Afin de vivre tranquillement à travers les générations, elle a appris à mentir. Menteuse professionnelle, c'est ce qu'on devrait lui décernée comme prix ! Elle ment comme elle respire. Tout d'elle est faux : sa gestuelle, ses amis, sa vie... Elle s'est enfermée dans la sphère infernale du mensonge. Elle abuse de cette carte comme un Dieu abuse de ses pouvoirs. Son côté inexpressive l'aide particulièrement, bien que parfois il lui donne plus l'allure d'une morte qu'autre chose - chassez le naturel, il revient au galop... Lui décrocher un sourire, un vrai, en étant un parfait inconnu relève de l'exploit ! Mais c'est possible.
Mais malgré l'image qu'elle souhaite faire passer d'elle, So Jin cache une humanité. Ou un reste. Elle a toujours eu le sens de la justice, elle se place toujours du côté qu'elle considère comme juste. Et malgré se froid qui l'entour, elle arrive à se socialisé... Et plutôt bien même. Peut être est-ce son côté charmeur ? La solitude n'est pas l'Utopie dont elle rêve – être un vampire, quel mauvais coup de la part du destin. Et si il y a bien une chose qu'il faut savoir sur cette demoiselle c'est qu'un secret est toujours bien gardé lorsqu'il passe entre ses mains. Elle sait ce que c'est d'avoir un secret. N'imaginez pas pour autant pouvoir discuter avec elle des siens, de secrets. Car elle est aussi muette qu'une tombe lorsque l'on évoque son passé... Vous ne saurez rien d'autre que son horrible mensonge, celui qu'elle forge de jour en jour, celui dans lequel elle se noie petit à petit. Avec des gens proches, elle arrive facilement à plaisanter, même si son humour n'est pas forcément le meilleur. C'est pour cela qu'elle tourne sept fois la langue dans sa bouche avant de sortir quelque chose. Ces idioties, celles qu'elle laisse sortir malgré tout, font souvent rire tant elles peuvent paraître en décollées avec son époque. L'adaptation n'est pas une chose facile !
Niveau goûts, on va dire que mademoiselle est très attirée par les paillettes et l'argent – mais je pense déjà l'avoir précisé. Toujours à la recherche de nouvelles choses, vous vous trouverez en compagnie d'une accro au shopping, qui le montre parfaitement par le biais de ses nombreuses tenues. Jamais d'assortiments au hasard, jamais de tenues « décontractées » en public, elle prend soin de son apparence dans toutes les circonstances. Il n'y a qu'à fouiller son sac à main pour en avoir conscience. Même si elle détient un beau compte en banque, elle est attirée par ceux des autres. Tous ces anciens maris ont bien entendu été de riches hommes. Mais mise à part l'argent - car il ne fait pas tout - So Jin est très intéressée par les bouquins, l'art et la culture en générale. Elle impressionne souvent les gens car il est vrai que ça culture général est plutôt bonne, voire même excellente. Mais il faut dire qu'elle a vécu les derniers grands événements ces derniers siècles. De près ou de loin. Elle pourra donc parfaitement tenir un conversation intellectuelle.
Les peurs, elle n'en a pas vraiment. Lorsqu'on est vampire, je pense que les peurs futiles laissent place à des peurs plus... profondes. A mon avis, avec de l'expérience, je pense que notre demoiselle a simplement peur des relations humaines. Elle a beaucoup de mal à les comprendre, enfin surtout l'amour. Sa plus grande peur est l'amour, le fait de s’attacher à quelqu'un, d'en dépendre, de l'aimer... Oui, tout cela sont des choses qui lui font peur. Elle craint aussi particulièrement les chatouilles, mais c'est une autre sorte de... peur ?



force : ❚❚❚❚❚❚  régénération : ❚❚❚❚❚❚ sens : ❚❚❚❚❚❚

vitesse : ❚❚❚❚❚❚ adaptation : ❚❚❚❚❚❚ self-control : ❚❚❚❚❚❚

사람의 about the humans Certains vampires les prennent pour des bouts de steak capables de courir, rien de plus. D'autre pour des êtres inférieurs et inutiles. Personnellement, je n'en pense rien. Bon j'avoue quand même les prendre pour des bouts de viandes lorsqu'une petite soif me prend, mais sinon, je n'ai rien contre eux. Au contraire, malheureusement. Je pense les envier un minimum, pour être sincère. Ils peuvent manger et sentir le vrais goûts des aliments, ils sont des êtres de conscience – pas comme nous qui nous permettons milles et une choses à cause de nos précieux pouvoirs – et pour finir, ils peuvent mourir. Ils finissent par mourir. J'aurais préféré terminé ma vie plutôt que de me transformer en un horrible buveur de sang... Mais bon, chacun son sort. Pour en revenir aux humains, je porte donc un intérêt pour les hommes, et les envies. J'aime les regarder évoluer, me retrouver dans leur routines, ou plutôt y entrevoir le reflet de ce que j'étais avant. Je vous rassure, ils ne m'inspirent pas tous de la pitié, non. Lorsque j'ai soif, je bois. Je ne sais même pas si j'ai déjà éprouvé de la pitié pour qui que ce soit d'ailleurs. En gros, ce sont des êtres vivants, qui portent un certain intérêt dans ce monde – autre que la nourriture.

1 « les histoires ont toujours un début. » Je suis née un 15 octobre 1755, à Withby en Angleterre. Ma famille avait un domaine, on y faisait principalement de l'agriculture et de l'élevage de mouton, pas grand chose de très intéressant pour une jeune fille. On m'élevait à l'aide d'une préceptrice, une belle jeune femme qui m'enseignait l'art, me disait comment me tenir et me racontait des histoires. Dans mes souvenirs, c'était la seule personne avec qui je m'entendais bien dans mon manoir après le départ de mes parents. Ils avaient préférés quitter l'Angleterre pour une autre contrée afin d'y faire des affaires. Je restais donc avec ma tante, cette horrible mégère que je détestais au plus au point. Tout ce que je faisais était mal, avec elle. Dans n'importe quelle situation j'étais la fautive. Elle disait à tout le monde que je n'étais qu'une attardée, menteuse et vilaine orpheline. J'avais très mauvaise réputation auprès de mes cousins. Je n'avais aucuns frères et aucunes sœurs, personne pour me connaître réellement, hormis cette préceptrice. Mais j'en fus assez vite séparée. Ma tante me trouvait trop proche d'elle, elle ne supportait pas le fait que je puisse être heureuse ou avoir des amis je pense. Elle a donc tout fait pour casser cette relation. Un jour, alors que j'étais allée chercher un livre à la bibliothèque afin qu'on me fasse faire la lecture, mon cousin est gentiment venu me rendre visite... Une fois que j'eus trouvé le livre en question, mon cousin m'adressa la parole pour la première fois de sa vie : « Il est pas à toi ce livre, la vilaine. » Il était aussi agréable que sa mère, il n'y avait aucune doute là dessus. Il m'a arraché le livre des main et a souri. Mais ce n'était pas un sourire sympathique, loin de là... un sourire narquois. Mais ne voyant aucune réaction de ma part, et souhaitant en recevoir une, il me frappa avec ce livre. Et cette fois-ci, mes règles de bonnes conduites me quittèrent et je lui rendis la pareille. Sauf qu'il  cria et alla se plaindre auprès de ma chère tante. C'était, selon elle, le coup de trop. Elle convoqua donc le directeur d'une école pour jeunes filles à problèmes. Ma tante avant de l’influence dans la région. Tout le monde l'aimait et la prenait pour une sainte alors qu'elle me traitait comme une moins que rien, moi qui était de SA famille. Je ne pus rien faire contre elle, tout ses plans se déroulaient à merveille : je venais de quitter la maison et donc ma préceptrice, pour rejoindre une école sombre et froide où j'apprendrais à me conduire comme il faut qu'une jeune fille de mon âge et de ma catégorie se conduise. Je fus  donc amené dans cet horrible lieu, j'y ai passé mon enfance ainsi que ma adolescence, soit de mes sept ans à mes dix spet ans. 2 « la vie est une sorte de quête... » J'ai passé dix ans de ma vie enfermé dans une horrible pension pour jeunes filles. Tous les jours, on me rappelait que j'étais cette pauvre gamine, sortant du domaine d'à côté et traînant mille et un malheurs... Les premiers temps étaient difficiles. Mais... on à force, je m'y suis faite. Restée seule, me taire, faire ce qui m'était demandé... La vie n'était pas si compliqué, nous avions juste à attendre que les années passent... lentement. Enfin, j'avais juste à attendre car, hormis ma petite personne, aucune des autres jeunes filles n'avait l'air de souffrir le martyre. A ma sortie de l'enfer, ou de prison – je ne sais comment qualifier cet endroit – je cherchai de travail, de quoi m'occuper, redoutant de retourner vers ma chère tante. Elle ne souhaitait pas mon retour et je ne souhaitais plus la revoir et essayer de me faire aimer. Au moins, nous avions une chose en commun, elle et moi. Je ne croyais jamais envisager une telle chose... Mais peu m'importe. Je me trouvai donc un emplois, à plein temps, assez loin de ma ville natale... De l'autre côté de l'Angleterre. C'était un manoir isolé, grand et peu habité. J'y avais trouvé quelques serviteurs d'un maître absent et la jeune fille de sept ans de ce fameux maître. Je m'occupai de cette jeune fille tous les jours, je prenais le rôle de la personne qui m'était le plus chère : ma préceptrice. Mes journées passaient lentement, je faisais les leçons à mademoiselle, discutais et me liais d'amitié avec le reste du personnel et dessinais. Le dessin était ma plus grande passion, l'unique peut être. Celle que j'avais pu traîner pendant toutes ces années. Je passais mes nuits à tenter de façonner à l'aide de mon crayon ce monde qui m'entourait, ce monde que j'imaginais, mon monde parfait. Tout allait pour le mieux dans cette maison. C''est comme si j'avais trouvé un endroit qui me correspondait : silencieux, lugubre, froid... mais convivial lorsqu'on s'y attarde. 3 «  il suffit d'en trouver une à son goût. » Devinez quoi, dans  cette maison, j'ai aussi connu ce que tout le monde appelle l'Amour. Un jeune domestique, de mon âge, et moi-même passions beaucoup de temps ensemble, depuis son arrivée à la demeure. Je m'occupais de lui depuis son arrivée comme on s'était occupée de moi lorsque j'étais nouvelle dans le domaine. Je m'entendais assez bien avec lui, à vrai dire nous passion beaucoup de temps ensemble lorsque nous avions de temps libre. Le maître l'avait ramener avec lui de voyages, il ma parlait ces périples que j'écoutais avec attention. A vrai dire, il était peu être une source d'inspiration pour mes histoires, car, en dépit de faire de jolie dessin, je fis quelques histoires, en tout genre. Cet inconnu se transforma peu à peu en âme sœur. Je me souviens avoir résisté longtemps – de peur de  perdre quelqu'un – à un engagement quelconque, mais je n'ai pas su y renoncer. J'aurais certainement fini dans la folie si j'avais fait ce choix. Je vivais une parfaite petite idylle avec lui, il était gentil, aimant, sombre... Il me ressemblait tant. C'était difficile à croire, j'avais du mal à croire qu'une telle chose puisse m'arriver à moi : L'Amour. Il faut dire que ce n'était pas le mot qui m'avait suivi depuis ma naissance. J'étais plutôt... et même souvent seule. Mais ces années étaient derrière moi, à présent. J'avais un foyer, la petite dont je m'occupais était adorable, le maître n'était pas vulgaire avec ces employés et j'avais l'amour à mes côtés. Je ne demandais plus rien de la vie, je n’attendais plus rien. Je touchais enfin les rives du bonheur. 4 « le bonheur... qu'est-ce ? est-ce qu'il peu durer ? peut-il fuir ? » C'est vrai, ma vie était paisible. Je ne pensais pas au malheur, et pourtant on m'avait souvent enseigné l'inverse. Un jour, alors que j'étais tranquillement entrain de me chamailler pour un dessin avec mon bien aimé, l'intendante du manoir vient à nous pour me délivrer une lettre. Lettre qualifié d’importante. Peut être n'aurais-je jamais du la lire ? Mais je ne pouvais me résoudre à faire cela, le cachet de ma demeure demeurait sur cette enveloppe... Le cachet de Withby. Je m'empressai de l'ouvrir et d'y lire les quelques mots... signés par mes parents. Ils me cherchaient. Ma tante venait de mourir et il me fallait assister à son enterrement, ainsi que revenir vivre dans ce manoir avec mes géniteurs. Impossible de passer à côté d'une telle occasion, c'est vrai, mais impossible de quitter cette maison aussi. Il me fallait donc retourner dans ce manoir mais ne pas y rester, car ce n'était pas là bas que ma vie devait être. Ce n'était pas là bas que je serais heureuse, jamais. J'y suis donc allée, j'ai fait cet enterrement. Inutile de préciser que je n'ai pas épreuve de tristesse particulière. C'était tout de même une parente... et je lui « devais » d'avoir trouvé l'amour. Au moment de parler de mon départ à mes parents, je ne trouvai pas les mots. Ils m'embarquaient dans leurs histoires, ils s'excusaient d'avoir été absents et de ne pas avoir été au courant pour cette histoire de pension... Mais ils n'étaient au courant que de peu de chose. Je ne leurs en voulais pas, ces voyages avaient l'air d'être formidables. Je passai quelque temps avec eux, écrivant au manoir, en m'excusant de ne pouvoir revenir plus tôt. J'écrivais surtout à mon bien aimé. Mes parents se doutaient de quelques choses, pourquoi envoyais-je des lettres à un domaine inconnu ? Je leur racontai les grandes lignes de mon histoire... Sans réellement précisé que j'étais amoureuse, éperdument amoureuse, d'une domestique. Hélas, maintenant qu'ils étaient de retour je n'occupais plus la même place partout. Ici j'étais la fille du compte, là bas, la préceptrice d'une petite fille.   5 « le bonheur peut nous fuir... mais nous pouvons aussi le fuir... ou faire d'autres choix, simplement. » Je n'y suis jamais retourné. Je ne l'ai jamais revu, en fait. Alors que j'aurais aimé. Mais mes parents n'ont jamais voulu que j'y retourne et que je le retrouve. Je leur ai compté cent bonnes fois ce que j'avais vécu là bas. Mais ils ne voulaient rien entendre. A croire qu'eux aussi étaient décidés à me pourrir la vie, je fus marié à un jeune homme de mon grade, répugnant, je le haïssais au plus haut point. Pourquoi ? Je n'en savais rien, en fait, le bonheur n'était pas fait pour  moi, je n'étais condamnée qu'à m'y retrouver quelques instants. J'appris plus tard qu'un incendie avait ravager ce manoir où ma vie était... parfaite. J'y suis donc allée, un jour où mes parents étaient de sortie. J'ai fugué quelques jours, espérant retrouver quelqu'un là bas. Tous les retrouver. Remonter le temps, aussi. Une fois sur les lieux - et autant vous dire qu'il ne restait plus grand chose - je fis un petit tour. Il ne restait pas grand chose, de cet incendie. Et puis soudain, j'entendis une voix, derrière moi : « Mademoiselle... » Je ne pensais pas revoir cette dame un jour, c'était la gouvernante de cette demeure. Je la connaissais bien, j'étais contente de la revoir, même si elle m'apportait toutes les mauvaise nouvelles. Elle m'expliqua que l'origine de l'incendie était inconnu, mais qu'on avait eu le temps de sortir quelques biblos de la maison avant qu'elle ne tombe en ruine. « Monsieur avait laissé quelque chose pour vous, je l'ai conservé chez moi en attendant votre retour... ». Hélas, il était mort... Nous n'avions pas retrouvé son corps, mais personne ne l'avait revu depuis l'incendie. Cette vielle dame me donna tout un tas d'objet que je ramenais chez moi. Il y avait des bijoux, des accessoires, des dessins, des lettres et des livres. De tous les objets, un livre m'avait tapé dans l'oeil. Il était ancien, remplis de poussière et d'une je-ne-sait quoi qui éveillait toute ma curiosité. Je passai mes soirée à le lire... Je m'enfermais même dedans. Au départ, je ne comprenais pas bien son usage. C'était pour cela qu'il m'intéressait tant. On aurait dis des recettes, des sortilèges. J'avais l'impression de retomber en enfance. Ce bouquin remettait un peu de vie dans mon monde, bien qu'il soit assez sombre. J'étais intéressée... peut être trop. Je l'ai lu, relu, re-relu des nuits durant... Jusqu'à ce que la nuit devienne ma meilleure et seule amie.

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[*]<pr>Kim Ah Yeong - Yura [Girl's Day] </pr> alias [url=lien de votre profil]Kim So Jin[/url]

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