Yun Mee Joo # never loose this hand that you squeeze in yours

Bonjour mon nom est Yun Mee Joo, je suis une jeune femme de 21 ans d'origine coréenne. Je fais partie des humains et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis mannequin & chanteuse/piano dans un piano bar de la ville, le soir.  Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement en couple et je ressens une forte attirance pour les hommes.


   

qualités    douce.    joyeuse.    calme. curieuse.

défauts    envahissante.    téméraire.    insouciante. capricieuse.

Mee Joo est résolument une personne au charisme qui envoute totalement, au point de pouvoir s’en défaire tant son regard se trouve pénétrant à la fois mystérieux et attachant. Un don qu’elle doit résolument à ses deux géniteurs, deux illustres chefs d’entreprises, qui durant des années se trouvaient à la tête de multinationales du pays. Autant dire que la jeune femme fut élevée comme une princesse au  point que nombre de ses amis, la surnomme ainsi pour la taquiner. Il est vrai que c’est une étiquette qu’elle exècre même si elle ne peut nier l’être dans une certaine mesure. Elle a conscience qu’elle a eut énormément de chance dans sa vie, elle n’a jamais manqué ni d’amour, ni d’argent, qu’elle ne peut réellement prendre conscience de la détresse que peuvent vivre une certaine partie de la population, mais cela ne la rend pas pour autant hautaine. Un trait qu’elle n’est résolument, son caractère bien trop avenant et calme pour qu’il puisse en être autrement. Il est aisément facile de s’attacher à cette dernière tant son sourire, sa curiosité sur le monde qui l’entoure la fait passer pour une jeune adolescente. Joyeuse et souriante, elle ne manque nullement d’amis, s’en faisant rapidement sans n’avoir à faire des efforts et avec qui, elle est sincère. Loyale et apaisante, elle est résolument l’amie sur laquelle ses proches viennent souvent se reposer, le temps de pleurer sur son épaule, afin de reprendre des forces au son de sa voix. Elle tient énormément à ses proches, ceux qu’elle considère comme chers à son cœur. Il lui arrive alors parfois d’être trop envahissante à l’image d’une enfant, qui ne peut se passer de la présence d’autrui. En amour, elle semble souvent insouciante et capricieuse tant elle désire rester auprès de l’être qu’elle chéri du plus profond de son cœur. Obstinée, il est vrai qu’il rare qu’elle ne revienne sur une décision qu’elle a prit au point de se montrer parfois téméraire dans ces choix. Elle n’a jamais peur et fonce parfois tête baissée lorsqu’il s’agit de défendre les siens et l’homme qu’elle aime, ce qui ne lui réserve pas toujours de bonne surprise. En fin de compte, Mee Joo est une jeune femme de sa génération, bien plus mature que ne devrait l’être une demoiselle de son âge mais elle s’est gardée cette part d’innocence auprès des bonnes personnes qui la rendent simplement heureuse.  

사람의 about the vampires En toute sincérité, elle n’a pas d’avis particulier sur ses derniers. Elle sait qu’ils sont en ville, sait qu’ils vivent près de chez elle, que peut être même son voisin en est un mais cela ne la dérange pas réellement. Elle n’a pas d’apriori sur ces derniers, ni aucune haine à leur égard. Certains sont peut être cruels, méprisables et sadiques mais elle sait que certains doivent être tout le contraire. En gros, ils ne sont pas si différents de l’espèce humaine. C’est pour cette raison, qu’elle ne ressent aucune gêne lorsqu’une de ses connaissances l’informe qu’il se trouve un vampire, elle trouve même cela intéressant, ne pouvant s’empêcher d’être curieuse à leur sujet même si elle ne souhaiterait nullement en devenir un. Elle ne cherche pas l’immortalité, ni la beauté éternelle. Elle n’a pas peur de vieillir, de s’enlaidir, de mourir également. La vie est fascinante à ses yeux, emplis de son lot de bonheur et de tristesse. Alors elle ne se sent pas concernée par cette ambiance lugubre qui semble s’instaurait en ville à ce sujet. Elle s’efforce juste d’être prévoyante, faisant attention lorsqu’elle sort la nuit et le jour, pour ne pas être victime de ses derniers. Elle n’a jamais été victime d’attaques, ni n’a jamais offert son sang à l’un de ses derniers. Une expérience qui ne la tente nullement… et sans doute jamais.

1 Il était une fois… c’est souvent ainsi que les comtes de fées commencent dans les livres pour enfant. On tente de leur faire croire qu’il suffit de garder espoir, qu’un happy end vient généralement récompenser les douleurs que les héros ont traversés. On tente comme on peut de faire croire aux enfants que la vie est comme on le raconte dans les histoires, tout  en sachant que ce n’est pas le cas. Mee Joo fait partie de ces enfants à qui on a menti durant des années sur la vraie vie. Fille chérie d’un couple très en vogue et côté au niveau des affaires, elle n’a jamais manqué de rien. D’aussi loin qu’elle se souvienne, jusqu’à ses huit ans, elle vivait un parfait compte de fée. Elle était aimée par sa famille, ses proches, ses amies. Petite princesse, elle ne manquait de rien, étant sans doute bien trop gâtée pour qu’elle est une réelle notion des choses de la vie. Après tout pourquoi se serait-on fatigué à lui expliquer tout cela alors qu’il était évident qu’elle serait riche toute sa vie. Ces parents n’y songeaient pas vraiment. Ainsi, elle vivait dans un monde à part, bien loin des tracas de la réalité. La ville de New York était sa maison, son territoire où elle pouvait avoir tout ce qu’elle voulait, à une condition : qu’elle respecte les règles, celles de ces parents, c'est-à-dire d’être une fille de haute famille… 2 Seulement tout conte de fée rencontre forcément un évènement qui le transforme en cauchemar. Un cauchemar auquel on a du mal à faire face car il quémande beaucoup de courage de notre part et de travail sur nous même. Ce n’est pas toujours évident et beaucoup on tendance à laisser tomber par lâcheté ou parce qu’ils n’y arrivent pas tout simplement. Mee Joo fait partie de ces personnes. Comme ces dernières, elle vivait elle aussi un conte de fée, tout semblait être parfait, elle était une petite princesse toute souriante et heureuse, à qui la vie souriait sans qu’elle n’ait besoin de se battre pour y parvenir. Sa famille l’aimait, la chérissait et elle était adulée par tous les gens de son entourage. Portrait typique d’une petite princesse lui diriez-vous. Seulement, la réalité vint rapidement la rattraper. Ces parents, illustre PDG de boite multinationale dont ils étaient les dignes dirigeants, devaient jongler constamment avec la dure réalité de la vie, celle où l’argent ne tombe pas du ciel, celle de l’économie mondiale, de ses licenciements apporteurs de stress difficile à gérer. Une réalité qui se trouvait être une bombe à retardement qui explosa bien rapidement à ses yeux de jeunes filles. Pour parvenir à tenir, ils se droguaient. Depuis combien de temps, elle n’était nullement en mesure de le dire même à l’heure actuelle mais, elle se souviendra toujours de ce jour où elle les a trouvé dans un état pathétique, la cocaïne déposée sur la vitre de la table en verre du salon. Elle venait tout juste de rentrer des cours alors qu’elle devait dormir chez une amie. La famille de cette dernière ayant eu un imprévue, elle était rentrée finalement chez elle. C’est à ce moment là qu’elle fut frappée par la réalité de la vie : la sienne. 3 Faire face à cette réalité, ne fut nullement une mince affaire à gérer pour une enfant de 9 ans. Le choc que cette découverte avait engendré dans son esprit, qui commençait que difficilement à comprendre certaines choses, s’était trouvé plus profond que ces derniers pouvaient l’imaginer. Même si elle ne disait mot, même si elle ne leur avait nullement parlé de ce qu’elle avait vu, elle n’avait de cesse d’y songer jour et nuit, revoyant en boucle cette nuit qui avait brisé ce monde parfait. Après tout, quel enfant ne pourrait pas être traumatisé de voir ses parents se détruire sous ses yeux à cause de soucis qui dépassaient leur désir. Son père lui avait semblé si petit, si tourmenté alors qu’il avait toujours été cette figure paternelle qu’elle adulait comme un modèle et sa mère, si droite et sérieuse semblait n’être devenue qu’un corps sans vie, se noyant dans son pessimisme, qui lui avait donné froid dans le dos. Même si eux ne se souviennent pas de cette soirée, cette dernière l’a marquée profondément au point qu’à partir de ce jour-là, malgré elle, elle était devenue leur garde fou. 4 Tenir le coup ne fut nullement une chose aisée pour la petite demoiselle qu’elle était alors. Même si elle continuait d’afficher ce sourire éclatant, qui faisait d’elle une fille aimée, il n’en restait pas moins qu’elle souffrait de cette situation. C’était une véritable déchirure de voir ses parents se tuaient de la sorte au fil des jours qui s’écoulaient, en silence. Coupé du monde, retranché dans leur grande villa, ils se laissaient aller au bien être qu’apportait la cocaïne, seule drogue qui leur permettait de tenir, d’être au dessus de toutes ses pensées lugubres qui pouvaient les atteindre, une fois sobre. Elle, assistée impuissante à leur déchéance, leur chute aux enfers sans être en mesure d’atténuer cette dernière. Elle se sentait tellement inutile et pourtant elle leur avait sauvé la vie plus d’une fois et les empêchant de commettre une folie. C’était vraiment horrible de voir ses parents se comportait de cette façon mais l’amour l’aidant, elle tenait bon, tentait de les soutenir du mieux qu’elle pouvait. Sa voix devint rapidement une source d’apaisement pour ses derniers, qui lui demandaient de chanter pour eux, qu’elle laisse sa voix s’exprimer dans de délicats morceaux qu’ils appréciaient. Durant des années, elle s’exécuta et se perfectionna dans cet art du chant. Si sa voix pouvait au moins tranquilliser leurs âmes, elle ne pouvait tout simplement aller contre ce désir si simple et si salvateur. 5 Un cauchemar qui prit finalement fin au moment où elle semblait y trouver une issue. Durant près de 10 ans de calvaire, il fut révélé sur la place publique que ses parents étaient des drogués. Une situation qui vint totalement bouleverser leurs vies mais qui les obligea à lâcher prise. Renvoyés de leur compagnie mutuelle, elle parvint finalement à les persuader de se rendre dans un centre de désintoxication, bien loin de la ville de New York, où ils avaient toujours vécu. C’est ainsi, qu’ils étaient revenus à Séoul afin d’intégrer une clinique spécialisée pour ce problème de drogue. Cela fait désormais 3 ans qu’ils y sont et semblent peu à peu parvenir à décrocher de la cocaïne même s’ils leur arrivent de refaire des rechutes. Pour sa part, elle vint souvent leur rendre visite, bien trop bienveillante et impliquée dans leur histoire, qui était également la sienne. Seulement, elle est parvenue à reprendre sa vie en main de son côté. Elle, qui étudiait alors uniquement pour le faire sans avoir de but précis, décida d’arrêter ses études pour devenir mannequin, grâce au contact d’une de ses connaissances, afin de devenir financièrement indépendante. Un métier qu’elle réussi plutôt bien depuis des années en plus de continuer le chat dans un piano bar le soir. Vivre pour elle alors qu’elle avait passée toute sa vie à s’occuper des autres, ne fut pas une mince affaire pour elle. Mais désormais, grâce à l’amour, elle connait un autre sens au mot protéger et elle compte bien rendre le sourire à cet être, qui fut si blessé par la vie.

Code:

[*]<pr>Yoon Eun Hye</pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/u135]Yun Mee Joo[/url]

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