Shin Haiko ■ we all deserve to die

Bonjour mon nom est Shin Haiko, je suis un jeune homme de 25 ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 214 ans et que je sois d'origine japonaise. Je fais partie des level 3 et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis chercheur en biochimie. Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement veuf et je ressens une forte attirance pour les hommes et les femmes

qualités fidèle calme réfléchi

défauts têtu obstiné provocateur

Haiko est du genre franc, très franc. Selon lui, mentir est une perte de temps alors, certes, il a beaucoup de temps à perdre mais ça n’empêche rien. Il regarde toujours les gens droit dans les yeux même pour dire la pire horreur. Parce qu’il est franc mais il peut être aussi cruel. Il ne connaît pas le mot « pitié ». Ses longues années de vie l’ayant endurci, n’espérez pas le voir triste, en pleur ou autre activité qu’il qualifiera d’exclusivement et typiquement humaine. D’après lui, ce serait se rabaisser que d’avoir ce genre de comportement. C’est une personne très loyale, polie et bien éduquée mais parfois on croirait qu’il est resté coincé au XVIIIe siècle si on s’en tient à son langage ou à sa manière de se tenir. S’il vous sourit, c’est qu’il vaut mieux se méfier de ce qui va vous arriver en suite car en général ce n’est pas bon signe. Cela veut dire qu’il a une idée derrière la tête et il a souvent une idée derrière la tête. C’est quelqu’un de très manipulateur qui fera toujours tout pour arriver à ses fins même s’il faut éliminer quelques personnes en chemin. Est-ce qu’il est doué de gentillesse ? D’amour ? Il l’a été. Avec son épouse. Mais depuis, il ne laisse personne percer sa carapace. Homme ou femme, il saura se cantonner à du pur sexe animal avant de vous laisser agonisant sur un lit de chambre d’hôtel cinq étoiles. De nature très calme, il se met rarement en colère, voir même jamais. Son principe premier est de ne jamais tuer sous l’effet de la colère mais toujours de sang-froid. Une chose qu’il déteste ? Qu’on le contredise, qu’on parle pour ne rien dire. Mais quels sont donc ses bons côtés ? Peu de gens les connaissent en réalité, car il se donne énormément de mal à les dissimuler. Mais il peut être quelqu’un d’excessivement attentionné, aimant et même…drôle (bon une fois toutes les décennies, quand ça lui prend). Lorsqu’il aime, il peut tout donner, tout faire, tout partager. S’il a bien un petit secret c’est qu’il a un terrible faible pour les jeunes hommes mignons. Heureusement jusqu’ici il n’en a rencontré que des mignons mais totalement vide d’intelligence et inintéressant. Mais qui sait ce qui se passerait s’il en trouvait un qui n’est pas QUE mignon et qui a éventuellement quelque chose dans le crâne, voir même…une personnalité ? Qui lui tiendrait tête ? Car en général tout le monde lui obéit au doigt et à l’œil du fait de sa carrure impressionnante (1m88, ça vous calme un homme) et de son statut. Il apprécie cela mais ça l’ennuie aussi terriblement et il aimerait secrètement trouver un fou qui oserait lui dire non.
En fait Haiko est très contradictoire dans ses désirs et dans sa personnalité et c’est ce qui fait de lui un être unique, voir même attachant(à sa manière).


Mais si vous lui rendez service ou si vous faites quelque chose de bien pour lui, il vous en sera éternellement reconnaissant et vous fera ressentir sa gratitude à jamais car c’est quelqu’un qui a un réel sens de l’honneur et du respect. Mais cela le mène trop souvent à faire confiance au premier venu qui lui rend service ce qui lui a déjà porté préjudice. Mais ayant la mémoire courte, et n’étant pas vraiment rancunier, il oublie vite et continue encore et encore les mêmes erreurs depuis 200 ans.
Contrairement à ce que pourrait laisser paraitre son air sérieux, il aime s’amuser et il aime le sexe par-dessus tout, c’est un réel besoin pour lui mais en tant qu’ égocentrique, il pensera avant tout à son plaisir, surtout s’il ne vous considère que comme un vulgaire objet de plaisir, autrement dit un sex toy. De ce côté là, tout dépend son humeur car c’est quelqu’un avant tout guidé par son humeur même s’il sait dominer ses instincts.
En amitié, il est aussi fidèle qu’en amour mais attention à la trahison car il ne PARDONNE PAS. Le pardon est un mot qu’Haiko ne connaît pas, ça ne veut rien dire pour lui. Même s’il n’est pas rancunier, le trahir serait comme se tirer une balle en pleine tête. En fait il n’a pas le temps d’être rancunier car il se venge tout de suite, sans attendre.



force : ❚❚❚❚❚❚ régénération : ❚❚❚❚❚❚ sens : ❚❚❚❚❚❚

vitesse : ❚❚❚❚❚❚ adaptation : ❚❚❚❚❚❚ self-control : ❚❚❚❚❚❚

사람의 about the humans Ce qu’il pense des humains ? Il ne les a vraiment jamais aimé. Il les a détesté quand son maître est mort. Il leur a pardonné en épousant Meg puis depuis la mort de celle-ci en 2002, il reste indifférents à ceux-ci, sauf quand il a besoin de combler un manque sexuel. Il n’est amené à leur parler qu’à cette occasion ou lors d’expérience. Même là, il évite de parler le plus possible. De toute manière, il n’en trouve jamais un intéressant. Ils lui paraissent tous écervelé, sans intérêt, inférieur. Alors à quoi bon perdre son temps ? Ou alors peut-être n’est-il tombé que sur de mauvais humains ? En tout cas, il hait, il méprise de tout son être les humains qui consomment du sang de vampire à but récréatif, autrement dit, ceux qui se droguent. Pour lui, le sang de vampire est un liquide sacré qui ne doit pas être bêtement gaspillé et il ne vendrait son sang pour rien au monde. A quoi cela lui servirait-il de toute manière ? Il est riche, il n’a besoin de rien si ce n’est passé le temps. Et c’est à ça que les humains lui servent, à passer le temps. Parfois ça marche, parfois non mais dans tous les cas il reste froid et distant avec eux. Homme ou femme, ça ne change absolument rien. En réalité, il a peur d’être trahi par l’un deux comme l’a été son maître ou de voir encore mourir quelqu’un qu’il aime. Alors rester distant par rapport aux humains, pour lui c’est rester distant par rapport à la douleur, et ça lui va très bien comme ça. Enfin, c’est ce qu’il dit, car en réalité, il se sent seul mais il n’avouera jamais avoir envie de s’approcher d’un humain pour autre chose que pour jouer avec lui. Les humains le fascinent, le dégoûtent, lui font peur, l’attirent, tout cela à la fois. Ce qui rend leur relation très particulière. Haiko attend l’être humain qui le fera changer d’avis sur sa race et qui lui montrera que , non, les humains ne sont pas qu’une masse compact et informe de personnes inutiles tout juste bonne à servir de plat chaud pour les vampires.

1 “Dead man lying on the bottom of the grave wondering when Savior comes, Is he gonna be saved ?” Les flots battaient le navire, déchirait sa coque dans un fracas terrible. A l’intérieur, recroquevillée dans un coin entre deux tonneaux de bois, une femme serrait un enfant contre sa poitrine. L’enfant pleurait. Depuis que la tempête avait commencé, les larmes n’avaient cessé de couler sur son petit visage poupin. La mère pleurait aussi. Elle avait peur. Qu’allait-il devenir ? Son pauvre enfant. Sa vie ne l’inquiétait pas. Tout ce qu’elle désirait c’était que l’enfant vive. Là, gelée par l’eau glacée qui avait atteint l’intérieur du bateau en passant par les parois en bois, la femme mourut. Elle s’appelait Shin Seha. Le petit bambin dans ses bras portait une minuscule gourmette où on avait gravé grossièrement son nom : Shin Tae Jun. Il en était ainsi de ces femmes qu’on appelait « les sans vertu » : des femmes qu’on embarquait sur les bateaux clandestins de commerce entre la Corée et le Japon et qui servaient de distraction aux marins. Parfois, les pauvresses tombaient enceinte, elles étaient alors délaisser dans le fond de la cale avec leur progéniture si elles avaient survécu à l’accouchement. Par miracle, Ayumi avait survécu, Tae Jun était né. Même si maintenant, la jeune japonais de 28 ans n’était plus, elle avait réussi à garder la chaire de sa chaire en vie. C’était ainsi que l’on vivait pendant en 1774, époque où le Japon était le pays le plus fermé du monde, totalement replié sur lui-même, fermé à tout commerce maritime ce qui avait entraîné un développement considérable du commerce clandestin et tout ce qui allait avec. C’était ainsi que dans l’anonymat, l’indifférence la plus totale, des hommes, des femmes, des enfants mourraient en mer en essayant d’atteindre le Japon. Mais ils finissaient souvent tués avant même d’atteindre la côte. Mais Tae Jun avait survécu. Au port, un pêcheur japonais l’avait recueilli. Mr Ishimoto était un homme bon qui n’avait jamais eu d’enfant, ni de femme, qui vivait seul dans une cabane en bois au bord des côtes de l’ile de Tsushima. Cet enfant, il avait décidé de le rebaptisé d’un nom japonais. Haiko. Mais il avait gardé le nom inscrit sur la petite gourmette du bébé, en souvenir de sa vie passée, pour que toujours il se souvienne. 2 Le rite An 1799. Haiko avait grandi, c’était maintenant un jeune homme de 25 ans. Il avait eu la chance de pouvoir étudier auprès de riches seigneurs de la région pour qui il avait travaillé en tant que domestique et qui l’avait pris sous son aile. On lui avait montré les arts de la guerre mais il ne pouvait devenir guerrier, n’étant pas de famille noble. Mais dans l’humidité de sa chambre, il s’entrainait chaque soir avec son sabre, dans l’espoir de pouvoir un jour combattre pour défendre l’honneur de son pays. Le vieux Ishimoto était mort 4 ans auparavant mais Haiko survivait grâce à son esprit pragmatique et débrouillard. Il avait de l’ambition et il savait qu’il irait loin. Il voulait le pouvoir, la richesse, tout ce dont il avait manqué en grandissant. Par tous les moyens il l’a cherché. Après des nuits, des jours, à s’entrainer sans relâche, il devint un guerrier des plus redoutables et fut finalement appelé à la guerre. Personne ne sut jamais comment Haiko avait réalisé ce prodige mais lui le savait. Le vieux Ishimoto avait un jour trouvé un grimoire. Lui, ce simple pêcheur, ne s’y était jamais intéressé. Mais Haiko si. Il l’avait trouvé, il l’avait étudié puis il avait enfin compris. Sa soif de pouvoir allait enfin être assouvie grâce à ce livre, il en était convaincu. Sans relâche il avait pratiqué de la magie noire, jusqu’à que celle-ci opère enfin. Ce grimoire, ces incantations, son désir ardent de pouvoir l’avait enfin transformé. Il connaissait enfin la toute-puissance dont il rêvait. Sa force était décuplé, il se sentait renaître, capable de tout. Du pire comme du meilleur. Mais pendant longtemps, il fit surtout le pire. 3 My friend ~ 1855. Haiko avait décidé de vivre comme un sauvage , tuant, massacrant tout ce qu'il trouvait sur son passsage. Il avait quitté son île pour Nagasaki mais vivait toujours en dehors de la société. Il ne pouvait plus se montrer à la lumière du jour et il continuait de tuer sans aucun remords. Il était devenu une bête, un animal qui n’obéissait qu’à ses pulsions et pour son plus grand plaisir. Mais le Japon venait de subir de grands changements. Après 200 années d’autarcie totale sans aucun contact avec le reste du monde, le pays avait été forcé de se rouvrir et le trafic maritime reprenait son cours normal. Les étrangers arrivaient de toute part dont bon nombre d’américains et d’Anglais. C’est comme ça qu’il avait rencontré le commodore. Une nuit qu’il déchiquetait un pauvre clochard dans une ruelle, l’homme l’avait arrêté. Les mots qu’il prononça à ce moment raisonnent encore en Haiko : « Regarde-toi, qui déshonore ton sang ». Le mot déshonneur était ce qu’il y avait de pire pour Haiko. Comme le plus horrible juron. Il avait essayé de sauter sur le commodore pour le tuer mais celui-ci l’avait arrêté avec une force impressionnante. C’est là qu’Haiko avait compris qu’il était comme lui et que plus jamais il ne serait seul, que peut-être, pour être enfin un vampire digne de ce nom, il fallait commencer à vivre autrement. Ce soir-là, l’anglais l’avait laissé là, hébété en pleine rue. Mais le vampire avait remué ciel et terre pour finalement le retrouver dans une riche demeure non loin de l’ancien Palais. Le commodore l’avait simplement regardé et avait dit : « Je t'accepte comme ami, parce que tu es un sang pur ». Il s’appelait Commodore Henry Williams. Et ce fut lui qui fut le premier et véritable ami d'Haiko, son maître spirituel . Il le ramena en Angleterre, l’éduqua en sciences, en histoire, en politique et littérature, il lui apprit à se contrôler, à boire sans tuer, à rester digne de son rang, à être plus impartial, plus dur, plus endurant, plus cruel parfois. Haiko devait absolument tout à cet homme. Cela dura jusqu’après la guerre, en 1950. Là, le commodore mourut des mains de son amante, une calice qui le trahit. Haiko la tua pour se venger du meurtre de son maître. Mais maintenant il était seul. 4 “Maybe you're a mourner, maybe you deserve to die” Après cet épisode, Haiko s’était promis de ne jamais tomber amoureux. Et encore moins d’un calice. Il n’en avait jamais vraiment eu, refusant de s’attacher à une personne. Ni calice, ni progéniture. Il voulait être libre, sans aucun humain dans sa vie. Il les haïssait du plus profond de son cœuret les considérait comme des êtres inférieur. Mais il fallait bien se nourrir pour vivre. Haiko avait hérité de la richesse du commodore et vivait la belle vie en Angleterre. Il était devenu scientifique et faisait des recherches secrètes sur les effets du sang de vampire sur le corps humain. C’est comme ça qu’il a rencontré Meg’. C’était un simple cobaye destiné à mourir comme une bête à l’abattoir. Tout se serait passé comme d’habitude s’il n’était pas tombé amoureux. Haiko n’aurait jamais cru tombé un jour amoureux d’un être humain. Il l’a transformé en calice et ils ont vécu leurs plus belles années ensembles. Ils se sont même mariés dans un château du Pays de Galle. Le bonheur était parfait. Trop parfait. En 2001, le 11 septembre, le jour de l’effondrement des tours jumelles, Meg’ est morte, tuée par un level 1. Haiko s’est vengé, une fois de plus. 5 “He's come so far to find no truth He's never going home » A partir de là, Haiko voulut quitter l’Angleterre à tout jamais. Cette terre sentait le sang et la douleur. Trop de mauvais souvenirs y étaient associés. Il ne voulait pas non plus retourné au Japon. Puis il se rappela du vieux Ishimoto qui lui racontait le jour où il l’avait trouvé sur un bateau de commerce coréen, un jour d’orage en 1674.Maintenant qu’Haiko avait dépassé les 200 ans, il sentait que le temps était venu de retourner sur la terre de ses racines. La terre de ses parents morts en mère. Il se mit en route et quitta tout sans regarder en arrière. C’était en 2002 qu’il avait pris cette décision. Nous sommes désormais en 2013, cela fait 11 ans que Haiko vit à Séoul et travail en tant que chercheur en biochimie. A ces heures perdues, il aime expérimenter sur les humains. Il n’a toujours pas de progénitures mais il y songe sérieusement. Quant aux calices, il n’ose pas en créer d’autres. Il est de ces vampires de sang pur pour qui le mot honneur veut tout dire. Il n’imagine même pas que certains vampires deviennent « végétariens » ou quoi que ce soit d’autre. Il est vampire et il n’aurait jamais imaginé être autre. « Il faut faire honneur à son sang »

Code:

[*]<pr>Lee Soo Hyuk [level 3] </pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/t245-shin-haiko-we-all-deserve-to-die#2464]Shin Haiko[/url]