bitch i'm the bomb like tick.

Bonjour mon nom est Oh Jeon Ah, je suis une jeune femme de 20 ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 22 ans et que je sois d'origine coréenne. Je fais partie des calices et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis barmaid au lunatic club. Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement célibataire et je ressens une forte attirance pour c.nnards.

qualités patiente. observatrice. franche.

défauts égoïste. avare. égocentrique.

Jeonah n'est pas ce genre de personne qui est difficile à cerner, loin de là. Il vous suffit d'imaginer le regroupement de toutes les personnes que vous détestez pour x raison, la jeune femme en est le résultat. De nature franche, elle n'hésite pas à dire ce qu'elle pense. Ceci pourrait être considéré comme une qualité si ce n'était pas excessif. Elle rabaisse sans cesse les autres que ce soit pour n'importe quoi, mis à part à la première rencontre. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle n'est pas le genre de personne qui juge par n'importe quel prétexte, que ce soit la couleur de cheveux, les vêtements trop grands où trop courts, la taille des talons, pas du tout ! Elle attendra de vous connaître un minimum très minime. Néanmoins, le résultat sera toujours le même : elle n'aimera pas la personne qui se présente en face d'elle. En effet, Jeonah possède des tendances légèrement égocentriques. Moi moi moi et toujours moi, voilà ce qui se passe dans la tête de la jeune femme. Elle ramène toujours les expériences des autres à sa propre personne, sans se soucier de l'état d'esprit des autres. Elle pense que s'ils sont arrivés à leur capacité maximale de patience, ils n'ont qu'à partir. Elle ne les regrettera pas, elle ne s'attache presque jamais, puisque personne n'est assez bien pour trainer avec elle. Personne n'est assez digne. Même si c'était le cas, elle ne laisserait pas la tristesse se voir sur son visage. La fierté jusqu'au bout des ongles, elle refusera d'exposer ses faiblesses aux autres, elle refuse d'être détruite, elle a peur. Peur de souffrir, d'être écrasée par les autres, elle refuse d'être le souffre douleur d'une bande de crétins malformés du cerveau. C'est en pensant à tout cela qu'elle a commencé à devenir patiente envers les autres (oublions un court instant la file d'attente du macdo). Elle tente par tous les moyens possibles de ne pas être trop méchante envers les autres pour une simple raison, elle ne veut pas être à leur place. Il est cependant hors de question d'être trop laxiste : la vie est une jungle où la loi du plus fort est reine, alors autant se battre pour gagner. Au fond, c'est une brave gosse, mais la peur gagne sur le naturel : elle a besoin d'une carapace, ni plus ni moins.

Ce n'est pourtant pas une fille qui écrase les personnes qu'elle aime, loin de là. Jeonah est une personne très gentille avec elle, sans pousser. Elle aime aussi leur lancer des piques. Parce qu'une vie trop rose, c'est moche. Elle est loin d'être une fille tactile pour montrer son affection, mais il lui arrive de faire quelques câlins par-ci par-là. Elle est loin d'être possessive, mais adore qu'on le soit envers elle, car dans ces moments-là, elle se sent importante.

사람의 about the vampires Les vampires, voilà ce qui intéresse vraiment Jeonah. Déjà enfant, elle ne lisait que des histoires sur ces créatures. Qu'est-ce qu'elle en avait à faire de la guerre, ils sont morts, même si c'est pour nous, ils le sont, point. Alors que les vampires, c'est une autre histoire. Elle a lu un livre retraçant leur histoire et en avait presque été dégoutée quand elle a lu que tout le monde pensait que la race était éradiquée. Crétins, comment des moustiques peuvent vaincre la lune ? En somme, elle est passionnée par ces êtres si terrifiants, mais elle en a peur à la fois. Savoir qu'elle peut te faire trancher la tête par un mec pour qu'il se serve d'elle comme biberon, ça ne lui donne pas envie de se balader, la peau exposée comme dans un demi-porno. C'est en partie vis-à-vis de cette peur qu'elle a décidé d'être calice. Si elle doit cohabiter avec eux, autant être protégée, même si elle doit se faire pomper le sens par l'un d'eux. De plus, elle s'était toujours demandé quelle était la sensation de se faire transpercer la peau par deux dents pointues, avant de se faire pomper le sang. Morbide ? Surement, mais elle mourrait d'envie de savoir, quitte à le regretter plus tard. Pourquoi est-elle employée dans ce club à votre avis ? Ce n'est pas par plaisir, non. Elle pensait juste que certains vampires, sexys de préférence, soient aussi fêtard et amusant que l'autre abruti de la série d'adolescents en manque d'amour, vampire truc. Jeonah cherchait juste la protection auprès d'un des leurs, même si elle en avait une peur bleue. Elle avait raison d'espérer. Car désormais, elle était devenue ce qu'elle avait toujours voulu être.

1 I. FIRST STEP. Son corps s'échouait sur le sol dans un cri perçant, en parfaite harmonie avec le tonnerre. Un cri commun ayant néanmoins deux significations bien distinctes. L'une exprimant une perturbation atmosphérique, alors que la seconde hurlait son désespoir. Il avait menti. Une jeune femme s'époumonait à s'en décoller la cage thoracique, laissant les larmes prendre possession de ses joues. L'eau salée se déversait sur son visage, le dévastant petit à petit. Un malêtre profond s'emparait du corps de cette femme, s'exprimant à travers ce dernier. Les objets exprimant autrefois joie et passion étaient désormais des projectiles, volant lentement à travers la pièce. Tout n'était qu'un mensonge. La photo mettant en scène la demoiselle en compagnie d'un homme se fendit en deux, sous la pression de deux mains dévastatrices. Les feuilles volaient dans la pièce, rejoignant alors le sol avant de se faire piétiner. Les oreillers déchirés se déversaient de leurs plumes qui formaient un tourbillon, doucement bercé par la brise qui s'infiltrait par le biais de la fenêtre. Il l'abandonnait. Elle était seule, désespérée, enceinte, émotionnellement éteinte. 2 II. ONCE UPON A TIME. Les sourcils légèrement froncés, une moue s'emparant de ses lèvres, une petite fille dévorait littéralement un livre. Le sérieux de sa lecture se reflétait à travers ses yeux. Ses doigts pressaient le haut du papier, provoquant un bruit de froissement qui brisait alors le silence. Les yeux de cette personne se rapprochaient petit à petit de l'encre noire, posée sur du papier blanc. « Jeonah, éloigne tes yeux de ce livre, tu vas te les abimer. » La jeune fille émit un grognement d'approbation avant de reculer ses yeux du papier. « Je t'ai amené un chocolat chaud. » Deux bras entourèrent le possesseur du livre. Un petit rire ce fit entendre dans la pièce. « Merci Maman. » La concernait souriait, alors que sa fille la serait dans ses bras, la tête dans les nuages. Sa mère l'aidait, la chérissait, se montrait toujours souriante devant elle. Pourtant, elle l'entendait pleurer tous les soirs. Lorsqu'elle se déplaçait jusqu'à la porte de sa chambre, elle pouvait la voir dans son lit, la tête compressée contre le coussin, plus foncé à certains endroits. Elle n'était pas aveugle, bordel. Un soir, lorsqu'elle avait osé s'aventurer jusqu'au lit de sa mère, elle avait aperçu une photo grossièrement raccommodée à l'aide scotch. Cependant, l'unique chose qui la marqua n'était pas de voir la présente d'un homme aux côtés de sa mère sur la dite photo, mais c'était un goute, qui roulait progressivement sur les deux visages. 3 III. MIND YOUR OWN BUSINESS. Étendue derrière le muret du toit, les yeux clos, Jeonah profitait de la pause à sa manière : elle s'offrait une sieste bien méritée dans le lieu interdit du lycée. Que du bonheur. Un sourire trônait sur ses lèvres, laissant le vent caresser son visage. Cependant, un bruit de porte brisa sa béatitude passagère. « Maintenant, tu te la ferme, ok ? » Mauvais plan, très mauvais plan. Bien qu'elle soit cachée derrière ce muret, la jeune fille commençait à angoisser. Non seulement une scène d'intimidation arrivait à ses oreilles, mais elle risquait d'être découverte à tout moment. Imaginer ce que ces personnes lui feraient s'ils la découvraient lui provoqua un frisson le long de l'échine. « Alors comment ça, c'est non ? Connard. » un claquement se fit entendre, et c'est à ce moment-là que Jeonah commença à vraiment stresser. Merde. Dans quel merdier était-elle encore tombée ? Prenant son courage à deux mains, elle passa un oeil au-dessus du muret et fit alors face à la scène. Un garçon se tenait à terre, toussant à s'en arracher les poumons. Autour de lui, cinq garçons en profitaient pour lui donner des coups, visant une partie de son corps au hasard. Le pauvre garçon commençait à avoir la tête recouverte de rouge, la faute aux coups provenant de ses agresseurs. Néanmoins, trois autres hommes arrivèrent de nulle part et commencèrent à se battre avec les cinq autres. Méga, mauvais, plan. Ils arrivent tant bien que mal -et surtout de mal, à terrasser leurs adversaires sous les yeux ronds de Jeonah. L'un d'eux tendit sa main à la victime. « Ça va aller gamin. » Depuis ce jour, la jeune fille ne se laissait plus faire, quoi qu'il arrive. 4 IV. YOU'LL BE ALRIGHT. NO ONE CAN HURT YOU NOW. uc. 5 V. ALL I WANNA DO IS LOVE YOUR BODY. « Certes, vous êtes embauchée. » Lunatic club, lunatic connerie oui. Soit la personne qui l'avait embauchée était aveugle pour ne pas voir les yeux vides de motivation de Jeonah, soit elle avait un sérieux problème. Néanmoins, un rictus prit possession des lèvres de la jeune femme, elle y était, enfin. Les vampires ne sont-ils pas à la recherche de distraction ? Une vie éternelle, c'est le pire, au fond. L'individu immortel doit s'ennuyer, à en mourir même. Ne chercherait-il pas un moyen d'oublier qu'il ne mourra pas de sitôt, qu'il a tout le temps pour le faire ? Ne peut-il pas simplement profiter de l'instant présent ? Pour cela, quoi de mieux qu'un club ? Oui, ce boulot n'a pas été choisit au hasard par la jeune femme. Non, voir des culs se dandiner pour appâter le client n'était pas son kiff, mais peut-être celui qu'un vampire. Ce boulot, en fond, elle n'en a rien à faire, c'est pire qu'un cours d'histoire : tu vois tous les soirs la même chose : des boutonneux en manque, et deux trois beaux gosses à droite ou à gauche. Non, ce qui l'intéresse, ce sont des bêtes féroces aux longues dents. Tous les jours, elle attend que l'un d'entre eux se manifeste à la sortie de son boulot pour faire ce qu'il à faire. Elle y était.

Code:

[*]<pr>Park Sora </pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/u58]Oh Jeon Ah[/url]