Song Jillian ♣ That wasn't my fate

Bonjour mon nom est Song Jillian, je suis un/une jeune homme de 24 ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 80 ans et que je sois d'origine Coréenne. Je fais partie des level 2 et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis Barman. Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement célibataire et je ressens une forte attirance pour les femmes


   

qualités    protecteur     vif d'esprit    honnête

défauts    jaloux    brutal    possessif

« La solitude est une prison. »

Oh, ne vous inquiétez pas, je connais bien la maison, puisque j'y suis enfermé depuis mes 24 ans. La notion judiciaire d'emprisonnement à vie prends une toute autre tournure, lorsqu'on ne peut plus mourir. Vous savez ?
Je suis une personne vraiment solitaire, je n'aime pas être entouré, et jamais oh grand jamais, vous me verrez rechercher la présence de quelqu'un. Je n'aime pas parler, et je n'aime pas non plus qu'on me parle. Je ne suis pas quelqu'un de colérique (à de rare exceptions), mais les conversations inutiles ont tendance à me taper sur le système (non, personne n'en a jamais rien eu à carrer que le ciel soit bleu, et qu'un orage soit prévu pour dans deux jours). Je suis un observateur silencieux, et en règle générale, je réfléchis toujours avant d'agir...

Enfin «presque» toujours.
Il y a des moments où...la soif, elle me fait mal... la gorge me brûle... Et là, il n'est jamais bon de rester près de moi. Je ne mesure que très mal ma force, et mon self-control reste très limité lorsque je sors de mes gonds.
Je déteste vraiment faire usage de ma force sans le vouloir au préalable. Je n'aime pas blesser les gens, que ce soit physiquement, ou moralement. En ce qui concerne le « physiquement », le problème reste sûrement que je suis quelqu'un de très maladroit, et qu'un incident arrive... très rapidement quand je suis dans le coin. Le « moralement » maintenant, il se trouve que je suis quelqu'un d'honnête, et de droit. Si quelque chose doit être dit, croyez moi, il le sera. Je n'aime pas perdre mon temps, et gaspiller ma salive : donc je ne suis pas  non plus, la personne à aller voir si votre moral est au plus bas (surtout que je vous ai déjà dit que je trouvais ça chiant les personnes qui se plaignent). A mon sens, un bon coup de pied aux fesse vaut tout les jolis discours du monde. Pourtant, étrangement c'est souvent vers moi que l'on vient pour vider son sac. C'est quoi le problème ? Le fait que je sois barman ? Que je sois silencieux (jusqu'au moment où je vous envoie promener) ? Vous aimez bien les coups de pied aux fesses ?  

Les humains sont étranges... J'étais comme ça moi aussi ?

Si ma transformation en vampire m'a appris quelque chose, c'est bien qu'il ne faut faire confiance à personne. Les humains se laissent dicter par le principe arbitraire qu'est la peur. Les vampires ne sont pas des gens de confiance à mes yeux... Et les Calices... Comment peut-on s'abaisser à devenir un garde-manger ambulant ?

Certes, je ne suis pas en position de me plaindre, vu qu'il y a Kyoko.
Mais je ne comprends pas...
Pourquoi se ranger du côté des plus fort pour éviter la mort ? Mon immortalité, je vous la donne moi si vous voulez.

Vous l'aurez donc compris, il n'y a pas beaucoup de monde qui trouve grâce à mes yeux. Mais je fais des efforts.
J'essaie.

Il n'y a pas beaucoup de chose que j'estime avoir. Je n'aime pas m'encombrer : que ce soit avec des biens matérielles, ou des ami(e)s. Mais j'ai une sainte horreur que l'on touche à ce que j'estime m'appartenir. Je connais ma force et ma place dans la hiérarchie, mais touchez à un cheveux de ma Calice, et vous allez comprendre ce que c'est que la douleur. Même si je dois la connaître après. Je suis plutôt possessif oui, vous l'aurez compris. Et rapidement jaloux, qui plus est. Il est donc préférable de ne pas me provoquer, car je deviens rapidement brutal.

Ce qui m'a été mis entre les mains, je considère cela comme une malédiction, et je n'en fais pas usage à tort et à travers : simplement quand j'en estime le besoin. Ne m'en faites pas sentir le besoin, ce serait regrettable, pour vous, et pour moi.

Oui, je suis quelqu'un qui culpabilise. Je n'aime pas me savoir redevable car j'ai fais une bêtise, mais ce n'est pas uniquement pour cela. Je n'aime pas voir les gens souffrir.
Devenir végétarien ? J'ai essayé, j'ai trouvé ça dégoûtant.

J'ai du mal à m'adapter à la vie diurne, et j'ai un sale caractère, il est difficile de passer la barrière de ma confiance, qui est faite de béton armée. Mais une fois que vous faites partis de mon «entourage », le vrai. Vous entrez donc dans la catégorie des «à protéger». Si ma possessivité est considérée comme un défaut, elle peut aussi être un atout quand vient le moment de protéger ceux que je chérie.




force : ❚❚❚❚❚❚  régénération : ❚❚❚❚❚❚ sens : ❚❚❚❚❚❚

vitesse : ❚❚❚❚❚❚ adaptation : ❚❚❚❚❚❚ self-control : ❚❚❚❚❚❚

사람의 about the humans La vie. La mort. J'envie les humains, car ils connaissent ces deux choses auxquelles je n'ai plus droit. Ma vie a pris fin, ce fameux matin d'automne  de l'année 1957.  Et pour couronner le tout, je n'ai même pas le droit de mourir comme tout le monde. Les humains ont peur de la mort, mais qu'en serait-il de leurs vies, si jamais elles ne finissaient ? Voilà pourquoi je les trouve stupide, et inconscient de la chance qu'ils ont. J'étais comme ça, moi aussi : ignorant. Ils me font grand peine à se plaindre de broutilles, quand ils n'ont en réalité, rien expérimenté de la vie. Qu'est-ce que la perte d'un être cher ? Qu'est-ce que le handicap ? Les humains ont le libre arbitre sur le chemin que va prendre leur existence : moi je ne l'ai plus. Ma situation? Ce n'est pas une fin non, ce n'est pas non plus un commencement. Je dirai que c'est plutôt une malédiction. Les humains ne comprennent pas, ne voient pas, n'entendent pas. Mais ils prétendent tout savoir. Je ne les supporte pas. L'odeur de leurs sang, qui plus est, m'indispose. Je limite donc au maximum mes repas, lorsqu'elle n'est pas près de moi. Mais il y a ces moments, que je déteste, les moments où je ne parviens pas à me contrôler... Les humains sont si faciles à blesser... ...Puis après, je m'en veux... J'ai une sainte horreur des humains, ceux qui passent leurs temps à se plaindre surtout. La vie finit souvent lorsqu'on s'y attends le moins.  Je ne suis pas quelqu'un de méchant, qui fait le mal juste par plaisir. Il y a seulement ces instincts...S'ils ne veulent pas que je sois la cause de leurs fins précoces, j'aimerai sincèrement qu'ils se rendent compte de la chance qu'ils ont, d'être humain, c'est tout. Juste humain.

1 « Au feu ! Que quelqu'un vienne nous aider, la boutique ! Elle brûle ! » C'est la dernière fois que j'ai entendu la voix de ma mère. Elle et mon père, ils tenaient une petite librairie, la seule de tout le village. Je me souviens, encore aujourd'hui, que je passais des après-midi entières, installé dans un rayon, à lire tout ce qui me tombait dans les mains. Peu importe mon âge, dès que je sentais le besoin de m'évader, je revenais voir mes parents, au travail. Oh, ils avaient bien fini par comprendre que je ne venais pas pour eux, mais je me plais à croire que mes visites leurs faisaient du bien. J'avais toujours eu, comme une relation particulière avec les livres. Solitaire et silencieux, enfant je n'avais pas beaucoup d'amis. Adulte, l'histoire se répétait. Je n'avais jamais réussit, du haut de mes 24 ans, à trouver de la joie à être entouré de monde. Je travaillais pourtant à un endroit qui demandait un minimum de sociabilité, mais même au bar, je ne considérais que très peu de gens comme étant, des « proches ». Je n'avais jamais rien attendu de la vie : mon job me convenait, j'avais un toit sur la tête, et mes activités me plaisaient. Jamais je n'avais espéré plus que ce que j'avais. Non, avoir l'ambition n'avait jamais été mon fort.     Il n'y avait que dans la lecture que je m'épanouissais pleinement. Je me suis senti vivre, en me perdant dans les pages d'un de mes romans préféré. Qui aurait pu dire que c'était avec eux que j'allais mourir ? Je n'aurai pas parié dessus en tout cas. Mais aujourd'hui, lorsque j'y pense, les seuls souvenirs que j'ai de cet endroit son olfactifs. Du papier en cendres. De la chair brûlée. Du sang. Le mien. La cause de l'incendie ? Une bougie. Une futile bougie. Ce jour là, je devais mourir, j'aurai dû mourir, j'aurai préféré mourir. Mais il en fût autrement. Je n'étais pas seul dans la librairie. Non, nous étions deux, et cet étranger allait, et à jamais, changer ma vie. 2 Moon Jung Ah. Cette femme a qui je n'ai rien demandé, elle s'est donné le droit de me « sauver », ce jour-là. Lors de l'incendie. J'allais mourir, là était mon destin. Mais cette mégère m'a fait boire de son sang avant que je ne succombe, ce qui rendit ma mort factice. Les légendes sur les vampires, comme tout le monde, j'en avais entendu parler. Mais jamais je n'y avais cru. La librairie regorgeait de livres à ce sujet. Ce n'était pas ma veine. Il fallait que je sois dans le coin le jour où l'un de ses mythes vivants, décidait de se balader à l'air libre. Comment aurais-je pu savoir que si je perdais la vie avec du sang de vampire dans mes veines, je deviendrais l'un des leurs ? Si j'avais su, jamais ô grand jamais je ne me serai laissé faire. Du moins, j'aurai tenté de me débattre un peu plus. J'étais persuadé de délirer moi, cette femme, elle ne pouvait que sortir de mon imagination, pas vrai ? Et pourtant. « Reste tranquille, idiot. Si tu sors maintenant, dans ton état, tu ne feras pas long feu. » Sont les premiers mots dont je me souviens, ceux qu'elle a prononcé à mon réveil. Ce fameux réveil bon sang. Ma tête semblait être prête à exploser, la gorge me brûlait tellement que j'avais envie de me l'arracher, et le pire c'est que j'aurai pu, me l'arracher, car rapidement, je me suis rendu compte que ma force avait décuplé. Mais ce n'était qu'accessoire. Je voulais savoir pourquoi je n'étais pas mort. Je ne voulais pas de cette vie d'immortel, alors pourquoi ?! « Je m'ennuyais. » fut sa réponse. Et aussi la première fois que je lui ai sauté au coup, sans même avoir le temps de m'en rendre compte. Mon instinct me dictait ce qu'il fallait faire, et à ce moment-même, il m'avait ordonné de la tuer, et sur le champ. J'ai alors appris qu'un nouveau-né, naissait avec une force non négligeable, mais qui ne pourrait en aucun cas égaler celle d'un sang-pur. Ou du moins, je crois que je l'ai assimilé, une fois qu'elle m'avait encastré dans le mur. La détester ? J'aurai pu, et cela aurait été mon droit le plus stricte. Mais je n'ai jamais été quelqu'un de stupide, même après ma renaissance, ça n'avait pas changé. J'avais besoin de cette femme, qu'elle m'explique ce qu'il se passait à l'extérieur, et à l'intérieur de moi. Oh, il était loin mon petit village, près de Pusan. Ma nouvelle vie de vampire, elle commençait à Séoul. La capitale. 3 Maeda Kyoko. Cette jeune femme... Encore une fois, le premier souvenir que j'ai d'elle, est olfactif. Son sang... L'odeur de son sang. Une fragrance sucré et imposante. Je me suis laissé enivré. La salle du bar où j'avais trouvé un nouveau travail, elle était bondée de monde. Mais à mes yeux, ça n'avait plus d'importance à ce moment-là. Il n'y avait plus qu'elle à mes yeux, le reste m'importait peu. Elle était belle, ne souriait pas, mes sa peau si pale, et blanche... Je me souviens encore, c'était comme si il était possible d'entendre la pulsation de son flux sanguin. Je m'étais promis de retenir ma soif, jusqu'à atteindre mes limites. Mais je n'ai pas su lui résister. Sincèrement, je me suis détesté pour ça. J'étais fort, pas le plus fort, mais tout de même. Alors comment du sang pouvait-il me rendre si faible ? La faim m'a fait perdre toute notion de raison, et j'ai agis. Je lui ai fais peur, je le sais, je l'ai lu dans ses yeux. C'était l'évidence même. Cela ne m'a pas arrêté, ce soir là, pour la première fois : j'ai planté mes crocs dans son cou à la peau satinée, avec une violence démesurée. La frustration et la faim ne font jamais bon ménage chez un vampire, sachez le. J'avais souillé sa peau. Le pire ? J'avais adoré ça. Son sang était la chose la plus exquise que j'ai jamais goûté. Je connaissais les règles qui régissaient les liens entre vampires et calices. Tous les deux, nous avons forgés ce liens. Étapes par étapes, jusqu'à la dernière.  M'unir à elle, fut l'une des sensations la plus effrayante que j'ai connu. « Le plaisir » n'est pas un mot assez fort pour exprimé ce que j'ai ressenti au moment où elle est devenu mienne, totalement mienne. Je n'ai jamais été quelqu'un de très expressifs, mais en achevant ce lien, je lui promettais quelque chose, tacitement. Je la protégerais. Toujours. Personne ne la toucherait jamais plus, son sang resterait mien. Et peut-être qu'un jour, je tiendrais sincèrement à elle... Que dis-je, c'était déjà le cas avant que nous couchions ensemble. Je détestais cette espèce d'appartenance, je détestais l'idée de l'apprécier en tant que femme, et pas seulement en tant que nourriture. Mais la voir avec d'autres hommes me rendaient nerveux, brutal... Jaloux. Je l'avais dans la peau. Bien plus que je ne le croyais. 4 « Tue moi. » Voici la requête que j'ai faite à ma créatrice, alors que cela faisait à peine quelque mois que je m'étais lié à Kyoko. Ma raison était toute simple, jamais je n'avais voulu de ça. A quoi est-ce que ça pouvait me servir de vivre parmi les humains si je ne pouvais rien en apprécier ? La nourriture ne me nourrissait plus, l'amour ? Quel bien grand mot. Le sexe alors ? Oh ça, je n'étais que très rarement satisfait, et n'osais plus toucher à autre chose qu'au sang de Kyoko.   Je me souviens encore de cette nuit-là. Jung Ah s'est approché de moi, avec sa démarche féline habituel, puis a disparu d'un seul coup, se retrouvant derrière moi. Ses mains sur mon cou, elles étaient gelées. Je me rappelle avoir frissonné, quand elle m'a murmuré ceci à l'oreille : « Ne sois pas si égoïste, veux-tu ? Tu ne vois sûrement pas l'intérêt de rester, alors est-ce que tu veux que je t'ouvre les yeux un peu sur ta nouvelle réalité ? Si tu meurs, tu ne vas pas partir seul. Elle, elle va partir avec toi. Elle n'y survivra pas, tu le comprends ? Kyoko va mourir en même temps que toi, c'est ce que tu veux ? » Cette femme était effrayante, comment pouvait-elle en savoir autant ? « Tu joues les durs, mais je t'ai vu agir. Tu n'es pas un mauvais bougre, je le sais. J'ai eu raison de te transformer. Tôt ou tard, tu finiras par comprendre, et par trouver une raison de continuer. Ta jolie petite Calice, si tu meurs, et qu'elle a la chance de survivre, tu sais qu'un autre vampire va se l'approprier j'espère, tu n'es pas si bête ? Rassure moi Jillian... » Si, de toute évidence, je l'étais : bête. Je ne savais pas ce qu'encourais Kyoko si je partais. Et à vrai dire, des deux options que m'offraient Jung Ah, je n'en voyais aucune qui sonnait agréablement à mes oreilles. Pour la deuxième fois en 80 ans, j'évitais la mort. Ses mains, si douces, elles auraient pu me tuer ce soir-là, mais elles m'offraient une chance, la dernière. Et je la saisissais. Kyoko valait le coup que je reste en vie, n'est-ce pas ? Tant qu'elle ne l'apprenait jamais, mon honneur serait sauf. Mais quelque-chose m'intriguait : la fierté des vampires est connue pour être sans faille, alors que gagnait ma créatrice à me laisser vivre, alors que j'étais venu la voir dans le but de mourir ? Tant de questions... …Si peu de réponses.   5 La longévité, qu'est-ce que ça peut-être chiant, quand on a aucun but dans la vie. Si encore j'avais eu une passion, j'aurai pu utiliser tout le temps que j'ai à des fins utiles pour mon éventuel « art ». Mais non, chaque jour est toujours aussi désagréable, de par sa longueur que par cette présence désagréable du soleil. Non, je ne me suis pas encore tout à fait accommodé à la vie diurne, et je ne l'apprécie d'ailleurs que très peu. Mais il faut que je gagne de l'argent. Alors j'ai réussi à trouver un travail de Barman. Du moins, j'ai «retrouvé». Dans le bar où je travaillais auparavant, un incident s'est produit. Un homme, un seul... Il tournait trop près de Kyoko à mes yeux. Et l'inconscient humain qu'il était a ignoré mes avertissements. «était » oui. Ma patience est toute limitée lorsqu'il s'agit de mes biens, tout particulièrement cette Calice. Je l'ai attiré dehors, et ai planté mes crocs dans son cou, sans le ménager. Plus une goutte de sang, je n'en ai pas laissé une seule. Je me souviens qu'il a essayé de se débattre, je sens encore ses mains sur mon visage, alors que mes crocs étaient, elles, fermement encrées dans son cou. Son sang était infecte, pâteux. Mais j'étais tellement en colère que ça n'a fait aucune différence. Il est mort, par ma faute. Aujourd'hui encore, je regrette cet acte dicté par la colère et l'impulsivité. Vous comprenez donc pourquoi j'ai dû changer de lieu de travail, hein ? Maintenant, le nouveau bar où j'ai été embauché, se nomme Le Perséphone. Une référence aux enfers, parfait pour ce que je considère être ma vie. Si vous y réfléchissez bien. Je colle parfaitement au rôle d'Hadès, et Kyoko à celui de Perséphone, cette dernière ne rate jamais une occasion de s'échapper de l'enfer que lui fait vivre Hadès, et lui, il devient fou en apprenant qu'elle est si peu fidèle. Est-ce que je devrais me résoudre à... Comme Hadès, enfermer « ma » Perséphone ?

Code:

[*]<pr>Im Seulong [2AM] </pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/u137]Song Jillian[/url]

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