Maeda Kyoko - Who Am I ?

Bonjour mon nom est Maeda Kyoko, je suis une jeune femme de 20 ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 21 ans et que je sois d'origine japonaise. Je fais partie des calices aureus sanguis. et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je travaille  dans un bar, en tant que danseuse burlesque . Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement célibataire, volage mais amoureuse et je ressens une forte attirance pour les beaux garçons ♥


   

qualités    séduisante ?.    Sincère    Courageuse

défauts    Séductrice    Perdue    Destructive

Si je n’avais pas été destinée à devenir une calice, j’aurai aimé être une fille souriante, entourée d’amis sincères. J’aurai profité de la vie de manière simple. Je n’aurai pas cherché à me mettre dans des situations dangereuses. J’aurai rencontré un homme bien et je serai devenue une bonne mère de famille. Cela m’aurait réellement plu. Mais tout ceci n’était qu’utopie.

A cause de ce sentiment de destin tragique, j’ai toujours voulu connaître la liberté, faire des choses insensées dans le seul but de me sentir vivante. C’est en apprenant avec des personnes libérées et aimant le risque que je me suis forgée une identité. J’ai connu l’alcool et la drogue ainsi que les plaisir de la chair. Depuis que j’ai connu ce plaisir, j’ai aimé être regardée et désirée par les hommes. La sensation de désir dans le regard d’un homme a toujours fais palpiter mon cœur. Alors je voulais être désirée jusqu’à ce qu’on en perde la raison. Et j’aimais me retrouver dans les bras des hommes. Mais c’était un plaisir dangereux car on se perd doucement. On oublie le reste mais quand on se regarde dans le miroir, on ne se comprend pas. Malgré tout je continuais ce manège. Un sourire, un regard, un croisement de jambes… ce jeu je l’ai essayé à maintes reprises. Sans jamais me lasser. Et ce, même en étant éperdument amoureuse. Parce que j’avais beau l’aimer de tout mon être, la souffrance restait difficile à supporter alors j’avais besoin d’oublier ma situation. Cette passion dangereuse qui nous unissait, ce lien indestructible faisait beaucoup trop mal. J’étais sa nourriture mais je désirais bien plus que ça. Je voulais plus. Mais en ce qui le concerne j’ai cependant toujours été indécise. Qu’est-ce que je voulais vraiment au fond ?  Après tout  il était un vampire, j’étais sa proie. Comment pouvions-nous être un couple dans cette condition ?  

J’ai toujours été sincère. Pour moi les choses devaient être dites clairement au lieu de vivre dans le mensonge. Qui plus est, il m’était important d’exprimer mon avis, de me faire entendre, de prouver que je n’étais pas simplement une calice mais aussi une personne avec des sentiments, des pensées et des idées. Cependant je ne faisais pas vraiment preuve de délicatesse, m’exprimant sans réfléchir à mes propos. J’ai souvent blessée les gens, sans le vouloir. Il faudrait peut-être que je fasse  attention avant de parler… De plus, j’étais égoïste.  J’avais besoin de me sentir vivante et d’être heureuse. Mais ma situation était compliquée ; Il était donc normal de vouloir gouter au bonheur en oubliant tous mes problèmes, non ? C’était pourquoi je pensais à moi avant les autres –mis à part en ce qui concerne celui que j’aime. On me disait que j’étais égoïste mais je m’en foutais complètement.

« Elle est prétentieuse. » Cette critique revenait souvent, tel un défaut mais je n’ai jamais compris cette façon de penser. Oui, je me sentais désirée. Alors je mettais toutes les chances de mon côté et je profitais. J’avais confiance en moi, n’étais-ce pas une bonne chose au final ?

Il ne faut pas croire que j’avais que des défauts. J’avais aussi des qualités. J’étais courageuse ! Quand il fallait agir, j’étais toujours présente, peu importe la situation. J’aimais le gout du risque, l’adrénaline. Je n’avais peur de presque que rien.

En ce qui concerne les sourires… ils n’étaient pas fréquents. J’étais plutôt froide et j’avais un sacré tempérament même envers les vampires. Je râlais souvent, je disais ma façon de voir les choses avec des propos parfois provoquants. Et j’étais assez froide, ne voulant pas être vu comme un être faible. C’était ce que je supportais le moins, qu’on me prenne pour un humain faible, alors je me montrais forte même lorsque ce n’était pas le cas. Se cacher sous un masque est plus simple que se montrer fragile.
Malgré tout, il m’arrivait de sourire, je parle bien évidemment de sourires sincères, pas les sourires audacieux, moqueurs, provoquants… des sourires de joies. Mais ils étaient faibles vu le contexte de ma vie. Je pleurais peu mais je pleurais. En cachette, loin des regards, loin de ses regards.
J’étais jalouse, également. Je n’aimais pas qu’on détache son attention de moi et je détestais le voir, lui, avec d’autres femmes que moi. Ça me rendait folle. Et folle je l’étais déjà. Après tout je ne savais pas qui j’étais ? Tout ce que je faisais c’était de profiter des plaisirs défendus sans m’arrêter, pour oublier ce que je vivais.  Etre une calice… ça m’a fait devenir une femme qui ne sait que faire de sa vie. Et par conséquent, les crises d’identités sont fréquentes… de plus en plus fréquentes.

Je me cherche… mais je ne me trouve pas. C’est perturbant et effrayant de ne pas savoir qui on est vraiment.

사람의 about the vampires Les vampires. Avant de le rencontrer, j’avais en horreur ces êtres. Après tout, j’étais destinée à devenir une proie de l’un d’eux, et ce, sans que je le veuille. Alors comment aurais-je pu apprécier cette race qui me faisait prisonnière ? Ils étaient ceux que je tenais pour responsables, ceux qui allaient me priver de ma liberté, qui m’avaient fait devenir cette fille insensée. Je me détestais, je détestais ce que j’étais devenue. Alors je les ai haïs de plus en plus fort. J’allais devenir une proie, de la nourriture. J’allais nourrir ces êtres infâmes, tuant sans cesse des innocents. Mon destin était tragique, je ne voulais pas d’une telle vie. Je voulais une vie toute simple mais ils m’en empêchaient. Parfois j’en ai rencontré à la maison familiale. Je devais me tenir tranquille mais je n’avais qu’une envie : les voir mourir, les voir se tordre de douleur, les voir souffrir. Car moi je souffrais, atrocement. Ca me bouffait de l’intérieur parce que je ne savais pas qui j’étais. Ma place dans ce monde ? C’était de les nourrir. Quand je me regardais dans un miroir, je ne voyais qu’une jolie fille qui attirait le regard. Et ensuite. Je voyais un gibier. Tout simplement. Quand on est une adolescente et qu’on a cette impression de nous-même… est-ce bon signe ? Avec le temps, j’ai appris à vivre au contact de vampires et quand bien même je les déteste à cause de ma condition mais j’aime le gout du risque, j’aime cet adrénaline, ce besoin d’être prudent. Ça me fait vibrer… ça me fait me sentir vivante. Cependant je reste méfiante mais à présent ils sont devenus mon quotidien. L’homme que j’aime est lui-même un vampire, j’en viens à changer de point de vu même si pour toujours ils resteront les responsables de ma prison. Ceux qui m’ont privé de liberté. Il faut toujours un responsable. Une personne sur qui on rejette la faute au lieu de l’assumer.

1 J’aurai aimé être cette étudiante énamourée de son petit ami et qui profite de la vie. J’aurai être cette femme au foyer qui s’occupe de ces enfants et les regarde avec fierté. J’aurai aimé être cette petite fille à qui tout réussi. Mais je n’étais rien de tout ça… Qui j’étais ? Une Aureus Sanguis qui se savait destinée à nourrir un vampire. Lorsque vous êtes conscient d’une telle chose dès votre plus jeune âge, vous n’agissez pas comme les autres. Je savais depuis toujours quel était mon rôle. Je ne me sentais pas libre, je savais que j’allais être prisonnière et que je ne pouvais y échapper. Tout cela explique mon comportement assez spécial. Je voulais profiter des plaisirs de la vie, être différente des autres tout en étant moi-même. Je ne voulais pas correspondre à ce que ma famille attendait de moi. Je voulais tout simplement être moi. Mais au final, j’ai toujours fais le contraire, est-ce vraiment ce que je suis ? Je ne me reconnais pas dans le miroir, je ne sais pas si c’est vraiment moi. Est-ce qu’on m’aime ou est-ce qu’on me déteste ? La deuxième option semble être la plus probable. Mais c’est ce que je mérite. Quand j’ai appris ma destinée, j’étais encore une jeune fille naïve qui ne comprenait pas grand-chose. Alors mon enfance je l’ai passée simplement. Mais un jour, j’ai vu ma sœur changer, elle avait dû partir de la maison. Du jour au lendemain. Je l’ai revue quelques mois après, différente. Cette homme auprès d’elle, j’ai compris qui il était et j’ai eu peur. Peur de devenir de la nourriture et de n’être rien d’autre que ça. Mes parents me demandaient d’agir bien, d’être discrète et de ne pas révéler ce qui se faisait dans notre famille. J’allais être un calice, autant dire que ce n’était pas quelque chose à dire sur tous les toits. A partir de là, je suis devenue parano et je me suis perdue dans un cercle vicieux. J’aurai aimé être une lycéenne profitant d’une vie amoureuse palpitante mais au final, j’ai terminé dans les bras de tellement d’homme que je ne me souviens même plus de leur visage. Je voulais profiter d’une jeunesse qui m’appartenait avant de finir prisonnière car pour moi, j’allais être privée de ma vie. 2 Au lycée, j’ai commencé à sortir de plus en plus tard. J’ai rencontré diverses personnes. J’ai bu mes premières goutes d’alcool et j’ai pris des substances illégales qui m’ont fait connaitre de nouvelles sensations. J’ai gouté aux plaisirs charnels sans retenu. L’école ? Tout ceci n’était pas important. Après tout, pourquoi faire ? A la place je me retrouvais dans les bras d’inconnus qui me faisaient vibrer et oublier ma condition. J’ai toujours aimé qu’on me regarde et qu’on me désire. Parce que c’était l’effet que je faisais, moi. Parce que je le voulais, pas parce que je le devais. En réalité j’avais une logique étrange. Mais au moins je me sentais vivante, et c’était ça, que je voulais ressentir. Peu importe ce qu’on pensait de moi lorsqu’on me voyait dans la rue dans des tenus vulgaires pour une lycéenne. La question sur mon avenir s’est posé à la fin du lycée et j’ai décidé d’arrêter d’étudier pour me lancer dans la vie professionnelle. Je n’avais pas besoin de diplôme, je voulais profiter de ma jeunesse, qui m’appartenait encore. Alors j’ai travaillé. Dans un bar, dans un restaurant, dans une discothèque, j’ai même été hôtesse. Et toutes mes soirées je les ai passées dans les clubs les plus populaires de Shibuya. C’était une vie de débauche en quelque sorte mais c’était ce qui semblait le mieux me correspondre : profiter et ce, sans attaches. Les hommes, c’était mes victimes. Ils ont eu de la chance que je sois humaine car ils tombaient comme des petits pains. J’ai toujours su attirer les beaux garçons dans mes filets. Je n’ai jamais été timide, bien au contraire. J’en ai même fait fuir certains en étant trop audacieuse. 3 Je travaillais dans le bar d’une discothèque, et je me produisais parfois en tant que danseuse. Ou plutôt je me dandinais sur la piste, j’avoue. Mais tout ceci ne dura pas éternellement. Le moment approcha, j’allais enfin devenir une calice. Mes parents m’ont alors envoyée en Corée, pays que je ne connaissais absolument pas. Le vampire que j’allais nourrir si trouvait. Et c’est ainsi que j’ai rencontré ma destinée… Lorsque je l’ai rencontré, je n’étais pas rassurée. Toute l’assurance que j’avais en moi avait brusquement disparu. J’ai mis un moment à réagir. Ce qui lui a permis de me mordre pour la première fois, sans problème. Ce fut douloureux, une sensation atroce que j’ai détesté puis étrangement adorée. Au fur et à mesure, c’est devenu un acte intense qui ne me dérangeait pas. Mais avant ça, j’ai tout de même subi, le temps que le lien se crée, un lien que je n’imaginais pas si fort. Et le plaisir que j’ai ressenti lorsque nous nous sommes uni, jamais je n’avais ressenti une telle chose. C’était unique. A cet instant, il était devenu ma raison de vivre ! ici. 4 J’ai détesté me savoir éprise de lui. J’ai détesté n’être que de la nourriture pour cet être détestable. J’avais toujours hais les vampires et pourtant j’étais tombée amoureuse de lui, qui n’avait pourtant rien d’extraordinaire. IL était parfois violent, dur et insensible. Pourtant je savais que je comptais pour lui et cette seule idée me réconfortait et me redonnait de l’espoir. De toute manière, je ne pouvais plus vivre sans lui. Ce foutu lien m’empêchait de l’abandonner, car je ne pouvais pas être loin de lui. Il était devenu mon tout. Ce qui m’était le plus cher. J’ai souffert par sa faute, par son comportement à mon égard et pourtant je tombais de plus en plus amoureuse. Je pense que j’étais un peu maso. Mais je savais que sa violence lui servait de masque ; Je comptais plus qu’il ne voulait l’admettre.   5 Malgré mon attachement profond, j’avais souvent l’impression de n’être que sa proie préférée et de ne pas assez compter pour lui. J’avais besoin de savoir, de sentir qu’il tenait à moi. J’ai continué à m’évader dans les bras d’autres hommes, dans le but de rester moi-même. Je le voyais alors s’énerver contre moi,  possessif et jaloux. J’aimais ce sentiment. Mais n’est-ce pas une caractéristique du lien qui nous unit ? Je l’ai aimé, et ce depuis le premier jour et pourtant je le fuyais sans cesse. Je ne voulais pas rester de la nourriture, je voulais être Kyoko. Mais je n’ai jamais vraiment su qui j’étais. Au final, j’étais sienne. Et je voulais me prouver le contraire alors que c’était évident. Je l’ai détesté pour ça tout en l’aimant comme jamais.  Au fond, il est tout ce que j’ai de plus cher…

Code:

[*]<pr>Sawajiri Erika [Groupe] </pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/u125]Maeda Kyoko[/url]

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