Sinbu † In god I believe †

Bonjour mon nom est Noh Sinbu, je suis un jeune homme de 25 ans d'origine coréenne. Je fais partie des humains et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis prêtre en formation et détective privé.  Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement célibataire et je ressens une forte attirance pour les femmes (officiellement)


   

qualités    collectionneur    attentif    naïf

défauts    obsédé    timide    introverti

Le fait est que Sinbu est quelqu'un qui se veut normal, qui se clame normal même. Il a pitié de tous les malheureux, de tout ceux qui s'inventent du malheur pour donner un sens à leur vie, de tout ceux à qui la douleur manque, de tout ceux qui ont un passé horrible, de tout ceux qui s'invente un passé horrible. Il a pitié de tous et en permanence. Il pense la race humaine perdue sans Dieu et conseille au premier malheureux qui passe de prier. Dieu est comme une lubie pour lui. En fait, c'est un refuge a sa folie. Il n'a pas une folie évidente, clichée, trop détectable. Au contraire, il paraît tout à fait normal. Sa déficience n'apparaît que par bribe et de manière subtile. La déceler n'est pas à la portée de tous. Quand ils s'adresse à vous de sa voix calme et douce, lorsqu'il vous sourit angéliquement en vous remerciant, qui se douterait qu'il se flagelle après s'être masturber sur la photo d'un vampire ? Personne. Lorsqu'il vous raconte avec passion la découverte de sa foi, sans accentuer sur les traits bizarres de l'histoire, qui décélérait dans son regarder innocent, la présence d'un homme capable de poursuivre avec obsession des vampires jusque dans leur vie intime tout en priant Dieu 3 à 5 fois par jour ? Non, décidément, Sinbu n'a pas l'air fou. Et il répétera à qui veut bien l'entendre qu'il est un homme normal, qui a eu une enfance normale, sans aucun orage, sans aucune bizarrerie. Comme un traumatisme qu'il essaierait de refouler à coup de leitmotiv. D'ailleurs, il a tendance à répéter les choses en général. N'étant pas très bavard, pour éviter certains moments gênants, il répète des choses déjà dites, comme si de rien n'était. De nature timide, il aura du mal à accorder sa confiance et à parler à des inconnus sans les connaître. Cette timidité lui met des bâtons dans les roues lorsqu'il souhaite s'approcher d'un vampire pour créer un lien avec lui. Facilement impressionné, Sinbu aura tendance à bégayer dans ces situations. En général , lorsqu'il ne connait pas les gens, et surtout les humains, il reste sur la défensive à cause de ses tendances parano. Sinbu a toujours le sentiment qu'on veut lui faire du mal ou qu'on veut espionner ses faits et geste et découvrir ses secrets. C'est quelqu'un d'attentif, mais ce trait de caractère est en parti dût au fait que, la plupart du temps, il ne sait pas quoi dire. C'est quelqu'un d'introvertie, de peu démonstratif. Non pas qu'il ne ressent rien, au contraire, il pleure souvent mais il n'ose pas trop se dévoiler et montrer de sa personne. Parce qu'il a peur. Sa paranoïa lui fait imaginer que s'il est trop expensif, on pourrait chercher à lui faire du mal. Le traits de caractère qui le définit le mieux est la détermination. S'il a une idée en tête, une nouvelle cible, il ne lâchera rien jusqu’à qu'il ai eut ce qu'il désire. Souvent , ça lui prend du temps d'apprivoiser un de ces vampires. Ce sont des êtres coriaces qui mobilisent toute l'intelligence et les dons de manipulation de Sinbu. Non pas qu'il soit particulièrement manipulateur, mais il doit mentir pour son bien. Et il demande assez pardon à dieu pour ce pêché. Tout est prétexte à demander pardon au tout puissant. Il est tellement habitué à mentir que, parfois, il n'arrive plus à dissocier le vrai du faux et il se perd lui même. Ce qui laisse place a une sorte de schizophrénie dont il n'est pas conscient.

Malgré tous ces cotés effrayant de sa personnalité, il y a aussi du positif en lui. Sinbu s'efforce d'être quelqu'un d'aimant, qui accorde facilement le pardon, toujours prêt à aider son prochain. Il essaie de garder les vertus que lui ont inculquer sa religion, tant bien que mal. En dehors de ces préceptes imposés par les dogmes, ses réelles qualités restent discrètes. Sa personnalité s'est pliée aux demandes que lui impose la pratique du catholicisme. Il s'y est perdu. Sinbu ne sait plus totalement qui il est. Il faudra creuser pour trouver le vrai Sinbu. Son nom signifiant « Dieu prêtre », il est religion, il vit religion, et dort religion. Et pour le percer à jour, il faudra faire preuve de patience et d'acharnement.

Une dernière chose, Sinbu a tendance à croire tout ce qu'on lui dit. Il ne fait absolument pas la différence entre le vrai et le faux. On peut lui raconter ce qu'on veut, tant que ça ne tombe pas dans l'absurde, le jeune homme ne se pose pas trop de question. C'est la partie de lui encore « enfantine ». Même si ses pêchés commis n'ont rien de ceux d'un enfant.

사람의 about the vampires Sinbu est fasciné par les vampires. Depuis qu'il en a vu un à l'oeuvre par hasard, il y a deux ans. Il a été ébloui, par la beauté, la puissance, la grâce qui émanent de ces êtres à part, comme s'ils étaient des  dieux. Il a passé outre l'acte de boire le sang qui aurait pu choquer quelqu'un d'aussi pratiquant que lui. A la place il n'a vu là que pureté et beauté. D'année en année, sa fascination  pour eux a grandi pour se transformer en fanatisme aveugle. En obsession inquiétante. Ce qu'il aime, c'est par dessus tout c'est les suivre. Dés qu'il le peut, il en prend un en chasse et le photographie jusque dans son intimité. Dans son lit, à son boulot, en train de se nourrir ou même de coucher avec quelqu'un, il immortalise chaque moment de la vie de sa cible. Puis il développe lui même les photos dans sa salle de bain aménagée en chambre noire, et il colle toutes ces images sur les murs de son appartements pour les avoir toujours à sa portée. Elles sont oganisées par vampire, dans un ordre chronologique ainsi que tous les documents qui peuvent les concerner et que Sinbu a pu trouver en les traquant. Jusque là, il ne s'est jamais fait prendre. Il sait se faire discret car il a un physique passe partout. Son petit appareil photo est très performant et il ne se promène jamais sans. D'ailleurs, il ne se promène jamais sans sa petite sacoche où il range ce dernier. Il y range bien d'autres choses, mais il ne vous dira jamais quoi. Certains disent qu'il y garderait des photos dites « obscènes » de ses vampires. Qui sait .. ? Sinbu ne laissera jamais quiconque toucher à sa petite sacoche. Tout ceux qui ont oser s'y essayer l'ont vu hurler, de colère, se rouler par terre, devenir totalement incontrôlable pendant 10 longues minutes au moins. IL DEVIENT FOU. Alors, un bon conseil, n'y pensez même pas. Avec certains des vampires qu'il a suivi, Sinbu est allée jusqu'à créer un lien avec eux. Il a couché avec un grand nombre d'entre eux ; femmes, hommes, lorsqu'il s'agit de vampire, il ne fait plus la différence car ce sont des êtres divins. Ne lui dites jamais qu'il est gay. En tant qu'apprenti prêtre et homme dévot, il hait tout ce qui s'approche de près ou de loin à de l'homosexualité. Ne lui parlez jamais de sexe en général d'ailleurs. Il n'admettra jamais vivre une vie de pêché. Et après chaque acte allant à l'encontre de son amour pour dieu, il se flagelle violemment pour demander pardon au tout puissant, d'où ses multiples cicatrices sur le dos et les cuisses. Il est le paroxysme du mélange entre religion et stupre. Il se caresse en pensant à un vampire puis se punit. Il couche avec un vampire puis se punit ; la punition est encore plus violent s'il s'agissait d'un homme. Chez lui, au dessus de sa cheminée, trône les moulage de membre des différents vampires avec qui il a couché, comme des trophées. Des level 3 et des level 2 pour la plupart : ses favoris ! Il les a réalisé avec minutie , dans toutes leur splendeur. Elles tiennent sur un socle où est gravé le nom du vampire, son âge et la date de leurs ébats. Pour ne jamais oublier le jour où un être divin l'a honoré.Près de ces petites statues, on trouve une croix de Jésus qu'il utilise pour prier. Ironique, non ? A force d’idolâtrer des vampires, il s'est mit à détester la compagnie des humains. Il ne tolère plus que celle les vampires et celle de Dieu. Quelques humains font exception, bien sure, mais ils se font de plus en plus rare. Et puis, il faut bien garder un contacte avec les humaiSn pour les absoudre de leurs pêchés, une fois devenu prêtre.Il adule par dessus tout les level 3 , et ne rêve que de se faire remarquer par l'un deux. Son rêve serait de se rapprocher d'un de ces vampires ancestraux et d'en être le jouet, l'ami, l'esclave. Il veut appartenir à un de ces êtres divins. Sinbu est à la recherche du level 3 parfait. Avec acharnement, il passe de vampire en vampires dans l'espoir de trouver l'élu. Evidemment, il cache ses passe temps à tout le monde. Et personne ne peut entrer chez lui ; ils pourraient voir ses photos, ses documents, ses moulages. Alors pour conquérir un vampire, il devra continuer de cacher tout cela. Qui voudrait d'un fanatique borderline ?

1 Des chaussures, du maquillage, des bijoux, du parfums, des perles. Sinbu a grandit entouré de tout cela. Elevé par son père, leur petit appartement d'un quartier modeste de Séoul était un véritable boudoir empli de tutu, boa , costumes en tout genre. Tout cela n'appartenait pas à sa mère. La mère de Sinbu est morte en le mettant au monde. Toutes ces choses appartenaient à son père. Grandir avec un père travesti, c'était devenu normal pour Sinbu. Les moquerie, les insultes, ils les avaient toutes entendues pendant son enfance. Il ne comprenait pas pourquoi. Depuis toujours, il avait vu son père porter des robes, des jupes, se maquiller. Alors pourquoi tout le monde semblait lui dire qu'ils étaient différents ? Dés l'âge de  trois ans, Sinbu portait d'adorables petites robes dans des tons pastels. Son père aurait préféré avoir une fille et c'est ainsi qu'il lui fit payer ce qu'il n'avait pas choisi, en le travestissant contre son gré. Malgré ses vêtements, Sinbu ne s'est jamais senti féminin. Etrangement, il a toujours eu pleinement conscience au fond de lui d'être un homme, ce qui l'amènera plus tard à mépriser son père du plus profond de son être, pour toutes ces humiliations, ces moqueries dont il a été victime à l'école par sa faute. Grandir sans frêre, ni sœur et être le seul miroir des fantasmes de son père n'a jamais été facile. En plus de le travestir, c'était un père exigeant, qui exigeait beaucoup des capacité de son fils. Seulement, Sinbu se refusait à travailler dur à l'école, et son père l'enfermait encore plus dans une bulle sur protectrice, totalement en décalage avec le monde et où Sinbu devait travailler encore et encore, aidé par son père, en petite robe de de flanelle rose. Interdit les sorties avec les amis, les petites amies, le shopping, ou tout autre activité qu'un jeune normal pourrait pratiquer pendant ses temps libre. Sinbu devait rester la petite fille à son papa, ne sortant dehors qu'accompagné de son père. Il avait réussi à obtenir de lui en grandissant, qu'il cesse de lui faire porter des vêtements trop féminin comme les jupes et les robes. Mais même à l'adolescence, l'allure de Sinbu resta très androgyne. Ce n'est que vers ses 18 ans qu'il se virilisa d'un coup. Ses muscles s'affinèrent, il grandit d'un coup et atteignit rapidement le mètre 90, mesure ainsi bien deux têtes de plus que son père. Ce dernier dût s'y résoudre, il ne pouvait plus faire de lui sa petite poupée. Le petit garçon timide et introverti était devenu un homme. Et c'est à ce moment que Sinbu  se rebella , une fois pour toute. Toutes ces années de frustration, à obéir à son père qui l'impressionnait tant, à vivre dans ses jupons, à le laisser faire de lui ce qu'il voulait, toute la douleur, l'humiliation, la colère, la rage qu'il avait éprouvé pendant toutes ces années s'exprima au cours d'une  seule soirée., où il battit son père, le laissant presque mort à terre. Après cela, il quitta sa maison pour toujours. 2 En quittant sa maison aussi rapidement, Sinbu ne savait pas à quoi il s'exposait. Il avait toujours été protégé du monde extérieur par son père et , maintenant, il y était brutalement confronté. Qui allait le protéger des dangers de la rue ? Plus personne. Il avait laissé son père en sang sur le sol de sa cuisine. Et il ne regrettait même pas son geste. « Cette vieille tapette » pensait-il  souvent . Sinbu n'avait nulle part où aller, il n'avait jamais eu que son père pour vivre. Résultat, il est tombé dans tous les pièges que la rue met à  disposition. Récupérer par une bande de mecs douteux, il a d'abord servi de rabatteur de clients. Pour qui ? Pour quoi ? Il ne l'a pas su pendant très longtemps. Tout ce qu'il savait c'est que ces gars le logeait (dans un endroit miteux certes) et qu'on le payait assez pour ne pas mourir de faim. Ce qu'il ignorait, c'est qu'il venait de faire son entrée dans un énorme réseau de bloody. La première fois qu'on lui en a proposé, il ne se doutait pas que suivrait 3 ans d'addiction douloureuse. Il n'avait encore 18 ans, et dans sa tête, ce n'était encore qu'un enfant . Durant toute sa vie dans la rue , il n'a jamais su d'où venait cette drogue, quelle était sa nature. Tout ce qu'il savait c'est qu'il en avait besoin pour se maintenir sur pied. Jusqu'au jour où, après s'être frappé par une bande de mecs pour une dose, il a eu une révélation. Dans son délire, il a cru voir dieu lui parler et lui demande d'arrêter tout ça, pour le bien de son âme, qu'il le choisissait comme messager et qu'il devait aider les autres et cesser de se détruire. Il a fallut 6 mois à Sinbu pour se désintoxiquer. Par la force de sa volonté, il a dût s'enfermer et subir le manque. Plusieurs fois il a replongé. Mais à force d'acharnement, et de son amour grandissant pour son « sauveur », celui qui lui avait donné la force de vouloir arrêter, il a fini par y arriver. Et au bout de 6 mois, il a émergé, sevré, mais différent. Il n'avait plus rien du gamin à la bouille adorable et innocente de ses 18 ans. Maintenant âgé de 21 ans, tatoué, le corps  plus musclé  et marqué par la violence, il avait grandi, aussi bien dans sa tête  que physiquement. La rue l'avait fait grandir. Et c'est ainsi qu'il mit la première fois le pied dans une église. 3 Sinbu n'a pas été converti en un jour. Au début il a eu beaucoup de mal avec toutes les règles que la religion lui imposait. Il s'est longtemps questionné sur sa foi. Mais peu à peu, Dieu s'est imposé à lui et plus rien d'autre n'existait à ses yeux. Il a commencé par aller à l'église de plus en plus souvent. A coté, pour vivre, il a réussit à se trouver des petits boulots et un petit appartement, loin de son ancienne vie de drogué. Il s'est mit à prier de plus en plus. A aller à la messe. Mais surtout, tout a commencé le jour où il a pu se confesser pour la toute première fois. Il a pu parler de son enfance douloureuse, de son père, du jour où il a quitté le « nid familiale », de la drogue, du sexe, de son travail illégal, tout ce qu'il avait commis depuis la naissance, il l'avait révélé pour la première fois. C'est à partir de là qu'il a laissé Dieu prendre le contrôle total de sa vie pour devenir une toute nouvelle personne. Il s'est mit à étudier les textes, apprendre l'histoire de cette religion, approfondir ce qu'il savait déjà. Quand il était petit, sa pratique du christianisme se réduisait à aller à la messe avec son père le dimanche sans comprendre pourquoi. Maintenant, il devenait incollable sur chaque passage de la bible, sans exception. Ne sachant que faire de sa vie à part admirer Dieu,  il a décidé de se préparer à entrer dans les ordre un jour où l'autre et il s'y prépare avec motivation. Sinbu ne rêve plus que de ça. Un prêtre l'ayant prit sous son aile, il se perfectionne peu à peu mais une chose à laquelle il ne s'attendait pas commence à réapparaître dans la vie de Sinbu. Le pêché. 4 Un des talents cachés de SinBu est son sens de l'observation. Il voit tout. On ne peut rien lui cacher s'il l'a vu. Pour se divertir, il s'est un jour mit à photographier un peu tout ce qu'il voyait autour de lui. Ce divertissement est vite devenu une obsession puisqu'il s'est mit à suivre des gens jusque dans leur intimité pour obtenir de nouveaux clichés. Ce n'était jamais assez, jamais trop, la photo est devenue une véritable obsession et Sinbu est lui-même devenu un véritable fétichiste. Chaque cliché qu'il a pu prendre se trouve collé aux murs de son appartement. Pas un ne manque. Chaque millimètre de son papier peint ne peut être vu. Et avec les photos, il s'est mit à se renseigner sur les gens qu'il photographiait en les suivant, comme une flic en planque. C'était devenu un passe temps malsain. Mais SinBu ne s'en rendait absolument pas compte. Tout cela le passionnait bien trop et il avait encore du mal à discerner la barrière entre le bien et le mal, ce que l'ont peut faire et ce qu'on ne doit pas faire. Mais lorsqu'il commence à sentir qu'il fait quelque chose de mal, comme lorsqu'il photographie les ébats sexuels d'un inconnu, il finit par se sentir tellement coupable qu'il finit par se faire du mal pour se faire pardonner. Car quoi qu'il fasse, il sent le regard de Dieu pesé sur lui, et il faut se repentir pour ses fautes. Ainsi, il continue ses activités, sans cesser de prier Dieu et en se faisant pardonner comme il le peut. De fil en aiguille, il a fini par trouver un travail dans un cabinet de détective privé jusqu'à finir détective privé lui même ce qui lui assure une paye, et une liberté pour adorer Dieu quand même. Sinbu se révèle être très doué pour ce job et il a réussit à se construire une petite notoriété. C'est pendant une filature qu'il a finalement fait connaissance des créatures divines qu'il n'avait encore jamais croisé de sa vie. Il avait seulement entendu parler des vampires. Mais il avait enfin pu les photographier, et en pleine action. A se nourrir sur un être humain. C'est à ce moment que Sinbu « tomba amoureux » de la race supérieur que sont pour lui les vampires. Et il se spécialisa rapidement dans la traque de ceux-ci. Leurs photos remplacèrent celles d'ennuyeux humains sur ses murs et ils devinrent son autre obsession, son fantasme ultime, la cause du retour du pêché dans sa vie presque sans tâche depuis quelque temps. 5 Après avoir observé un tel prodige, Sin Bu a cherché toutes les informations possibles et imaginables qui puissent exister sur les vampires. Qui ils étaient ? Comment vivaient-ils ? D'où venaient-ils ? Après une étude approfondi de chaque type de vampire, de chaque catégorie, et même des études sur leurs calices, leur progéniture, il en voulut encore plus. Sin Bu voulait être proche d'eux, faire parti de leur monde et s'approcher d'aussi belle créature de Dieu. Pour le plaisir, il se mit à en suivre quelques uns. Au début, il ne tombait que sur des level 1 , mais peu à peu, ceux ci le menèrent jusqu'à un plus haut niveau, le summum de ce qu'il voulait atteindre : les level 3, les vampires ancestraux. Sin Bu se mit à les fusiller avec son objectifs dés qu'il en trouvait un. Puis il passa à la vitesse supérieur en s'approchant des vampires. Il commença par de plus jeunes. Femme ou hommes avec qui il alla jusqu'à coucher plusieurs fois. Avec eux, il se sentant vivant. Il aimait se faire mordre. Mais après l'acte la culpabilité revenait et il devait se faire mal pour demander pardon au tout puissant. Mais ces vampires... ils l'excitaient au plus haut point, Sin Bu ne pouvait jamais résister. Le sexe avec eux n'était pas explicable, c'était au delà des mots. Tout ce qu'il voulait c'était appartenir à un level 3 un jour, comme un rêve inatteignable.

Code:

[*]<pr>Park Sungjin [humains] </pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/t436-sinbu-in-god-i-believe#4794] Noh Sin Bu[/url]

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