KEENAI ۵ Never grow up

Bonjour mon nom est Moon Kee Nai, je suis un jeune homme de 18 ans depuis déjà quelques temps…Mon âge réel ? Il semblerait que j’aie actuellement 28 ans et que je sois d'origine coréenne. Je fais partie des vampire level 2 et je ne sais pas encore si j'ai trouvé ma vocation mais pour le moment je suis étudiant en science & mathématique. Même si ma vie privée ne vous regarde pas, je suis actuellement en liberté totale et je ressens une forte attirance pour les pingouins et les pandas -indécispourl'humainquoipervers-.

Souriant. Dynamique. Enthousiaste. Sincère. Motivant.

Lunatique. Moqueur. égocentrique. Immature. Contradictoire.

« Kee Nai est un vrai paradoxe. Un mystère. Ou bien même, une énigme. Après vingt huit ans de vie, il n'a pas vraiment changé, surtout pas en bien. Si à l'époque ses parents le trouvaient trop lunatique et changeant, disons qu'aujourd'hui, c'est pire. Ses réactions ne sont jamais les mêmes, ô grand malheur des gens qui l'entourent. Comment expliquer sa façon d'agir sans s'emmêler les pinceaux ? Faisons simple. Tout ce que fait Kee Nai, il est capable aussi de faire le contraire. Par moment, il se montre souriant et affectif, du genre à coller les gens sans aucune gêne ou à s'incruster tranquillement. Légèrement enfantin sur les bords et d'une immaturité à faire pâlir les morts. En vingt huti ans d'âge, il n'a pas fait le deuil de sa jeunesse, la gardant au plus profond de lui. Feignant, taquin, moqueur et mauvais blagueur. La plaisanterie, c'est son truc. Il aime charrier les autres, les voir dans l'embarras ou rougir. C'est tellement plaisant d'assister à ce spectacle. D'un autre côté, il peut être l'inverse. Kee Nai sera alors chiant et râleur, toujours à se plaindre à la moindre occasion. Il se montrera froid et désinvolte, à la limite du cassant ou rembarrant. Je m'en foutisme, cruel, ou brusque. L'avis des autres lui importera peu. Intelligent, adulte ou mature. C'est comme un second rôle, une seconde personnalité. Mais Kee Nai n'a aucun soucis mental, ni psychologique. Tout est normal dans sa tête, au vu de sa façon particulière et rapide de réfléchir. Pour ça, rien ne peut le changer. Le jeune homme a une locomotive à la place du cerveau, en plus d'analyser rapidement la situation, de la comprendre sans aucun effort, de deviner les choses, il a une excellente mémoire. Cela compense son caractère contradictoire qui change selon le temps ou sans aucune raison. Il peut très bien passer de la colère à la joie, comme du rire aux larmes en passant par l'impassibilité et la froideur. à savoir que Kee Nai ne mâche pas ses mots, qu'il est honnête et se contentera toujours de dire ce qu'il pense. Enfin, mentir n'est pas difficile non plus. à croire que le coréen sait tout faire, mais pas en même temps. Comme le fait de pouvoir être altruiste et serviable, ou égoïste et hypocrite. Se vexer rapidement ou encaisser facilement. Un véritable paradoxe à lui tout seul. Nos parents le disaient bien, non ? Ne jamais se fier aux apparences, car l'habit ne fait pas le moine. Kee Nai a beau avoir un visage d'ange et des sourires à faire tomber les plus costauds, ça n'empêche pas que son caractère est instable et aussi changeant que le temps. Un peu comme les averses en pleine journée ensoleillée, le genre de truc auquel on ne s'y attend pas. »




force : ❚❚❚❚❚❚ régénération : ❚❚❚❚❚❚ sens : ❚❚❚❚❚❚

vitesse : ❚❚❚❚❚❚ adaptation : ❚❚❚❚❚❚ self-control : ❚❚❚❚❚❚

사람의 about the humans C'est une question assez compliqué, je dois l'avouer.. Surtout parce que mon choix change en fonction de mon humeur. Quand je serai bien, d'une nature gentille et amusante, mon avis se portera sur le positif. Je dirai des humains qu'ils sont vraiment cool, exemplaires et qu'ils ne me font rien. Peut-être que je pourrais les considérer comme des amis, et que je me persuaderai de ne pas boire leur sang. Dans ce cas, je penserais être végétarien, ou juste éviter de vider un pauvre être humain de sa vie. Sympa, non ? à dire vrai, dans ces moments, je me comporterai comme l'un d'entre eux, en me jouant un peu de leur naïveté. Rien de bien méchant, rassurez-vous. Disons qu'à ce stade, c'est comme voir un chien avec un chien, vous comprenez ? Je ne leur ferais aucun mal, et ils penseront de moi que je suis un gars appréciable ou détestable, à voir la personne. Dans un autre cas, quand je serais dans ma période "mauvaise humeur", froid et sarcastique. Mon jugement sera l'inverse, l'opposé de la première solution. Les humains seront pour moi des gourdes de sang, ou des enquiquineurs nés. Oui, voila. Ils m'insupporteront rapidement et je n'aurais qu'une seule envie, les faire disparaître. Mais j'ai quand même plusieurs dizaines d'années à mon compteur, et je pense savoir me contrôler suffisamment pour éviter d'égorger n'importe qui. Voler n'est pas tuer, n'est-ce pas ? Si je plante mes crocs dans leurs jolies veines, ça ne fait rien ? Regardez-moi bien, j'ai pas la tête d'un méchant vampire. j'aime les humains dans le sens où ils ne sont pas que de la bouffe. Même si parfois, à mes yeux, ils ne pourraient être qu'un cheeseburger dans un mcdo. En résumé, soit je suis le gentil Kee Nai et les humains sont mes copains, soit je suis le méchant Kee Nai et les humains sont mon déjeuner.

1 Cher journal, comme j'aurai tant voulu commencer mon histoire avec "il était une fois", tel un conte de fée où le courageux prince donnerait sa vie pour sauver sa princesse. Mais ce n'est pas le cas, et je n'ai absolument rien du petit prince. Connaissez-vous le récit du prince et du pauvre ? Et bien, je suis comme le second personnage de cette aventure, surtout pauvre et sans grand avenir. Je suis né à Busan, où j'ai vécu de longues années éreintantes et souvent très déplaisantes. Tu sais, cher journal, ma mère était le genre de fille à avoir une vie de rêve, à posséder le luxe et la famille parfaite, mais quelque chose clochait chez elle. Peut-être son cerveau était-il psychologiquement dérangé, mais dans tout les cas, elle voulait toujours le contraire de ce qu'on lui donnait. Pour cette femme, la richesse ne menait à rien et elle voulait faire comprendre à ses parents que son existence ne tenait pas dans une cuillère en or. Dans son adolescence, ma mère a décidé de défier sa propre famille et de partir dans le côté obscure de la force en traînant avec toute les racailles du quartier. à seize ans, cette folle est tombé follement amoureux qu'un voyou et a décidé de construire quelque chose avec lui. Une ruine, je peux te l'affirmer. à dix huit ans, elle m'a mise au monde et fut reniée par les siens, vivant dans un monde médiocre que j'ai toujours -et bien trop- côtoyé. Ma mère se fichait pas mal des autres, elle aimait cette triste vie à se faire berner par son copain et sa bande d'ami. Comment a-t-elle fait pour tenir autant d'année avec ce salaud ? Je l'ignore, cher journal, mais je dois aussi t'avouer que ma mère était une battante. Une princesse qui n'avait jamais peur du mal et qui le dressait telle un homme face à un tigre sauvage. Au fond, ce bout d'femme était exemplaire, même si elle a gâché sa petite vie avec des sales types. Durant dix ans, j'ai vécu dans la pauvreté, traité comme un déchet par tant de monde autour de moi. Je ne sais pas si ma mère m'a donné de sa combativité, mais je n'ai jamais cédé sous les insultes et les moqueries. Quiconque osait parler de ma famille, goûtait de mes poings. Qu'importe mon âge, j'ai grandi dans ce genre d'univers où violence est le mot d'ordre. Si tu ne veux pas terminer quasi mort dans une ruelle, battu et violé, fallait se tenir droit, le poing en avant. C'est ainsi que j'ai passé dix ans de ma pauvre existence. 2 Cher journal, j'ai oublié de préciser que ma pauvre mère avait encore fait des siennes cinq ans après ma naissance. Elle n'a pas eu assez de se faire mettre à la porte et de devoir vivre dans un taudis pourri, il a aussi fallut qu'elle nous fasse un deuxième enfant. Mon père s'en fichait pas mal, tant qu'il avait de l'argent pour se payer de la drogue et la paix pour faire ses trafiques de je ne sais quoi. Durant tant de temps, je n'ai jamais vu cet homme comme étant mon géniteur ou simplement comme un homme clean et admirable. Au contraire, c'était une pourriture de première et je le détestai tellement. Quand j'ai eu dix ans -et mon frère cinq-, il a été arrêté par la police pour une raison que j'ignorai et balancé en prison tel le déchet qu'il était. Pendant deux ans, j'ai vu ma mère virer au cauchemar, ne plus faire attention à nous. Deux ans pendant lesquels je devais prendre soin de mon petit frère et lui éviter de finir à la morgue. C'est dur de voir sa mère faire sa vie sans se soucier de ses enfants, puis par moment, de regretter ses erreurs. Oui, elle pleurait son passé, sa famille, et nos naissances. Dès fois, nous n'étions même pas désiré par notre propre mère et mon frère n'arrivait jamais à le comprendre. Deux ans plus tard, ce sale type fut libéré de prison et remit dans la rue. évidemment, il est de suite revenu vers nous et ma mère l'a accueillit les bras ouvert. J'ai jamais compris son comportement et je crois que ma haine envers elle était encore plus profonde que celle pour mon salaud de père. Ils vivaient au jour le jour comme des idiots, se fichant que leurs gosses soient bien nourri ou aillent à l'école. Une chance pour nous, l'école du coin était publique et ma mère nous y envoyait pour avoir la paix quelques heures. Ma famille était vraiment détestable, et il a fallut attendre ce jour pour le comprendre. à mes quinze ans, mon père est mort. Il a quand même fallut autant d'années merdiques pour qu'il se fasse une overdose et crève la bouche ouverte. Quinze ans à subir ses humeurs et ses traitements de chiens. Quant à ma mère, elle fermait beaucoup trop les yeux pour se croire impliqué. Finalement, c'est elle qui a assisté au décès de mon vieux et qui l'a mit sous terre pour l'éternité. Un connard de moins dans l'histoire, ça ne changera pas beaucoup notre vie, à mon frère et moi. Je m'en moquai si ma mère pleurait, si elle déprimait. De toute, elle n'a jamais fait attention à nous deux. Bien fait pour elle, comme je l'ai tant de fois pensé en voyant son état déplorable et si pathétique. 3 Après la mort de mon père, quasiment rien n'avait changé. Sauf l'état de ma pauvre mère qui commençait enfin à nous regarder un peu plus. Mon frère, bien trop naïf à cette époque, retournait vers elle sans protester. Pas moi. J'avais toujours cette rancœur qui me bouffait de l'intérieur et m'empêchait d'aller vers elle pour une étreinte ou pour une autre raison. C'est pour cela qu'elle a jeté son dévolu sur le cadet, jouant la mère poule qu'elle n'a jamais été durant quinze ans. Moi, je m'en moquai éperdument. Je vivais ma petite vie d'étudiant, tranquillement dans mon coin avec mes potes. D'ailleurs, j'avais un meilleur ami avant! Il était génial. Le genre qui se pointe à pas d'heure quand tu as un soucis, qui te laisse jamais tomber, qui ne te juge pas et t'écoute. Ouais, c'était le meilleur. Le jour où tout à déraillé, il était là avec moi. C'est lui, et non ma mère, qui a apprit en premier pour ma maladie. Le nom m'échappe complètement, même à présent que j'ai l'éternité pour m'en rappeler. Un truc qui affecte je ne sais plus quel organe et te pousse chaque jour, un peu plus vers la tombe. J'avais dix sept ans quand on m'a annoncé cela. Ma vie n'était pas assez pourrie comme ça. Fallait qu'on m'ajoute une merde qui me condamnait à quelques années d’espérances, plus ou moins. Le moral n'y était plus. Mon frère semblait aller mieux, et ma mère ne réalisait pas qu'elle allait me perdre. Normal, je ne lui ai jamais dit. J'ai supplié les médecins pour qu'ils se taisent... Et c'est seulement l'année précédente qu'elle a comprit mon problème. quand on vit un an en voyant son état se dégrader, ça ne donne plus envie de continuer. Mon meilleur ami avait beau venir tout les jours me voir et tenter de me changer les idées, je n'avais plus goût à rien. Quand je pensais avoir la paix, on me retirait toute chance. Impossible de se projeter dans l'avenir avec une telle épée au dessus de la tête. Un an passé et je n'ai eu qu'une idée... Semer la maladie et ne pas la laisser gagner. C'est idiot comme pensée, surtout quand on prend la maladie comme ennemie, et la mort comme amie. Pendant l'année de mes dix huit ans, j'ai pris la décision d'en finir avec ce cauchemar et de faire un trait sur ces bonnes choses que je désirai. C'est ainsi que de ma voix tremblante, j'ai laissé un message à mon meilleur ami pour lui dire adieu, et m'excuser d'avoir été un boulet, juste avant de voir cet affreux liquide s'échapper de mes poignets se vidant sur le carrelage de ma salle de bain. à côté de moi, posé sur le lavabo, j'avais laissé une simple lettre destiné à mon frère, m'excusant pour mon geste. 4 Cher journal. Mes souvenirs sont encore frais. Je me rappel de la sensation d'une lame ouvrant la peau, déchirant la veine. Je me souviens encore le malaise en voyant ce sang tâcher le sol en un flot continu. Je me remémore à chaque fois le bruit de mon cœur battant contre mes tempes, avant de ralentir lentement pour n'être qu'un murmure dans ma poitrine. Je revois à nouveau ma vision se brouiller et la satisfaction se peindre sur mon visage en me disant que cette saloperie nommée "maladie" n'aurait pas ma peau. C'était idiot, puisque je me laissai mourir sans que personne ne vienne m'aider. Ou je le pensais. Puisque la porte s'était ouverte dans un fracas assourdissant, me parvenant comme un bruitage de fond. Juste avant de m'écrouler, juste avant de perdre connaissance, le visage de mon meilleur ami est apparu devant mes yeux et j'ai souris. Je lui ai offert la dernière chose que je désirai avant de quitter ce monde... Alors pourquoi ai-je ouvert mes paupières à nouveau ? Pourquoi ai-je revu son visage baigné de larme et déformé par la panique ? Qu'avait-il fait ? Pourquoi avais-je tant mal ? Mon corps brûlait comme s'il était en feu, il se déchirait de part en part. Si douloureux. Si long. Si frustrant. Pourquoi étais-je toujours en vie ? Pourquoi voyais-je encore cette maudite salle de bain à la tapisserie en lambeaux ? Je l'ignore mais je détestai cela. Tu sais, cher journal, quand j'ai rouvert les yeux, je n'étais même plus chez moi. Non, j'étais chez mon meilleur ami, confus et bien plus que mort. Les explications furent dure à avaler. Vampire ? Sang ? Suicide ? Oui, je me suis tranché les veines pour en finir avec cette histoire de maladie, mais je ne voulais pas survivre! Pourtant il affirmait que ce n'était pas le cas. Que j'étais réellement mort et que ma mère croyait que l'hôpital m'avait prit en charge. En fait, le père de mon ami dirigeait cet hôpital et il savait persuader les gens sur certaines choses. Ma mère n'y a vu que du feu, elle pensait que j'allais guérir de mes blessures, mais elle ignorait pourquoi j'avais fait cela. En devenant un buveur de sang, ma maladie n'existait plus, puisque je suis déjà mort. Ma mère n'avait donc rien à savoir, mon frère non plus. C'était juste un coup de déprime, une mauvaise passe et basta. Tentative loupée, on en parle plus. Mais une chose clochait. Mon frère grandissait à vue d'oeil, et pas moi. Un gamin qui ne prend même pas une ride en cinq ans, ça fait peur. J'aurai dû paraître plus adulte à vingt trois ans, mais non, rien. Ma mère se posait des questions sur mon compte, alors j'ai décidé de les fuir. Eux et cette ville. 5 Dans la vie, on a pas toujours ce que l'on veut, ou on ne fait pas forcément les bons choix. Personnellement, j'ai eu droit aux deux cas. Entre mes parents zinzins, ma maladie incurable, mon suicide et ma transformation. Je ne peux pas dire que j'ai eu de la chance, ainsi que de bonnes décisions. à dire vrai, j'aurai dû être bel et bien mort, si mon meilleur ami ne m'avait pas changé en cette chose. Devenir un vampire ne me réjouit pas tant que cela, surtout si c'est pour ruminer une éternité sur mon passé. Au final, je n'ai fait que quitter Busan pour échapper à cette fatalité que j'imposai à mes proches. Un jour, ils se rendront compte que je ne suis plus un simple humain et que mon apparence sera toujours la même alors que eux, grandissent. J'ai donc voyagé un peu, m'installant quelques petites années à Incheon pour me faire passer pour un jeune étudiant sans grande histoire, mais une fois le diplôme en poche... ça ne sert plus à rien de rester. Puisque je serai éternellement un gamin de dix huit ans. Après Incheon, je me suis définitivement posé à Séoul, où je ne sais encore si je vais rester ou non. Cela ne fait pas si longtemps que j'ai pris un appartement miteux dans un coin de la ville pour rejoindre chaque jour mon école en bus. Le permis ? J'y ai songé à plusieurs reprises, mais ma bouille enfantine m'encombre réellement pour paraître plus vieux que je devrai l'être. Vais-je passer mon existence de bahut en bahut ? Au moins, j'aurai des tonnes de diplômes dans pleeeins de matières différentes. En ce moment, j'étudie les sciences et les mathématiques, mais peut-être qu'une prochaine fois, j'irai dans les arts pour m'amuser un peu ? C'est un bel objectif, non ? Obtenir le plus d'expérience en des centaines et des centaines d'années qui me reste devant moi. évidemment, je n'éloigne pas le fait d'être tué véritablement entre temps... Comme mon meilleur ami. Autant que moi, ce dernier n'a pas eu de chance. Au fond, il n'était pas mauvais et ne touchait que très rarement aux humains. Quasiment jamais, même! Pour lui, c'était horrible de ruiner la vie des gens de la sorte, alors il se disait végétarien. Comment est-il "mort" ? Aucune idée. Il a juste disparut du jour au lendemain, comme ça, d'un coup. Hier il était là avec moi, aujourd'hui ce n'est plus le cas. évidemment, personne n'a dit qu'il s'était fait démonter le portrait ou mit en pièce, mais ça ne peut être que ça. Jamais il n'aurait quitté sa maison, ses amis et moi sans même m'en parler. Non, il a bien eu des soucis dont j'ignore les détails, mais à présent, ce ne sont que des souvenirs douloureux et pourtant surmontables.

Code:

[*]<pr>Jung Il Hoon [btob]</pr> alias [url=http://calix-sanguinis.forumactif.org/u70]Moon Kee Nai[/url]